Текст и перевод песни Muerdo - Luz natural (feat. El Kanka)

Luz natural (feat. El Kanka)

Eran tan felices que no lo contaban por redes sociales,
Y vivían lejos de los aires sucios de ciudades grises.
Eran tan felices bajo el cielo azul,
Sin fumigaciones, y estrellado.

Luz natural, como el calor que se dan,
Luna brillando arriba, la calma.
Y alguna estrella fugaz, fuego,
Tabaco y rezos, deseos.

Eran tan felices en aquellos días
Que olvidaban siempre las fotografías.
Eran tan felices, tanto que creían,
Y soñaban siempre con echar raíces,
Lejos del infierno de las calles frías.

Luz natural, como el calor que se dan,
Luna brillando arriba, la calma.
Y alguna estrella fugas, fuego,
Tabaco y rezos, deseos.

Nos mean, y dicen que llueve
Nos cuentan el cuento de nunca acabar,
Y dicen que ha dicho la tele,
Y entre tanto tonto nos cierran el bar,
Se cagan con sus telediarios
Cada medio día sobre los manteles
Vacíos de un pueblo que traga
Bajo el escenario su mediocridad.

Lumière naturelle (feat. El Kanka)

Ils étaient tellement heureux qu'ils n'en parlaient pas sur les réseaux sociaux,
Et ils vivaient loin de l'air pollué des villes grises.
Ils étaient tellement heureux sous le ciel bleu,
Sans fumigation, et étoilé.

Lumière naturelle, comme la chaleur qu'ils se donnent,
La lune brille au-dessus, le calme.
Et une étoile filante, le feu,
Tabac et prières, désirs.

Ils étaient tellement heureux à cette époque
Qu'ils oubliaient toujours les photos.
Ils étaient tellement heureux, tellement qu'ils croyaient,
Et ils rêvaient toujours de mettre des racines,
Loin de l'enfer des rues froides.

Lumière naturelle, comme la chaleur qu'ils se donnent,
La lune brille au-dessus, le calme.
Et une étoile filante, le feu,
Tabac et prières, désirs.

Ils nous pissent dessus et disent qu'il pleut
Ils nous racontent l'histoire sans fin,
Et disent que la télé l'a dit,
Et parmi tous ces imbéciles, ils nous ferment le bar,
Ils se laissent aller avec leurs journaux télévisés
Chaque midi sur les nappes
Vides d'un village qui avale
Sous la scène leur médiocrité.