Текст и перевод песни Mägo de Oz - Fiesta pagana

Fiesta pagana

Yeah!

Cuando despiertes un día y sientas que no puedes más
Que en el nombre del de arriba tu vida van a manejar
Si sientes que el miedo se pega a tu piel
Por ser comunero y justicia querer
Si te rindes, hermano, por ti nunca pensarás

Cuando vayan a pedirte los diezmos a fin de mes
Y la Santa Inquisición te invite a confesar
Por eso, amigo, tú alza la voz
Di que nunca pediste opinión
Si es verdad que existe un Dios, que trabaje de sol a sol

Ponte en pie, alza el puño y ven
A la fiesta pagana, en la hoguera hay de beber
De la misma condición no es el pueblo ni un señor
Ellos tienen el clero y nosotros nuestro sudor

Si no hay pan para los tuyos y ves muy gordo al abad
Si su virgen viste de oro, ¡desnúdala!
¿Cómo van a silenciar al jilguero o al canario?
Si no hay cárcel ni tumba para el canto libertario

Ponte en pie, alza el puño y ven
A la fiesta pagana, en la hoguera hay de beber
De la misma condición no es el pueblo ni un señor
Ellos tienen el clero y nosotros nuestro sudor

Ponte en pie, alza el puño y ven
A la fiesta pagana, en la hoguera hay de beber
De la misma condición no es el pueblo ni un señor
Ellos tienen el clero y nosotros nuestro sudor

Ponte en pie, alza el puño y ven
A la fiesta pagana, en la hoguera hay de beber
De la misma condición no es el pueblo ni un señor
Ellos tienen el clero y nosotros nuestro sudor

¡Cabrones!
Ah, ah-ah, ah
Ah-ah, ah
Ah-ah, ah-ah, ah-ah, ah
Ah-ah, ah
Ah-ah, ah
Ah-ah, ah-ah, ah-ah, ah

Fête païenne

Ouais !

Quand tu te réveilleras un jour et que tu sentiras que tu n’en peux plus
Que sous l’ordre de celui d’en haut ta vie va être contrôlée
Si tu sens que la peur s’accroche à ta peau
À cause de ton statut social et de ta soif de justice
Si tu abandonnes, mon frère, tu ne penses jamais à toi

Quand ils viendront te réclamer les dîmes à la fin du mois
Et que la Sainte Inquisition t'invitera à confesser
Alors ma chère, lève la voix
Dis-leur que tu n’as jamais demandé leur avis
Si c’est vrai qu’il existe un Dieu, qu'il trime du matin au soir

Rejoins-nous, lève le poing
Et célèbre cette fête païenne ; il y a de la cervoise à boire autour du feu
Le peuple n’est pas du même rang qu’un seigneur
Eux ont le clergé et nous notre transpiration

S’il n’y a pas de pain pour les tiens et que tu vois l’abbé trop gras
Si sa vierge est vêtue d’or, déshabille-la !
Comment pourront-ils faire taire le chardonneret ou le canari ?
S’il n’y a ni prison ni tombe pour le chant libertaire

Rejoins-nous, lève le poing
Et célèbre cette fête païenne ; il y a de la cervoise à boire autour du feu
Le peuple n’est pas du même rang qu’un seigneur
Eux ont le clergé et nous notre transpiration

Rejoins-nous, lève le poing
Et célèbre cette fête païenne ; il y a de la cervoise à boire autour du feu
Le peuple n’est pas du même rang qu’un seigneur
Eux ont le clergé et nous notre transpiration

Rejoins-nous, lève le poing
Et célèbre cette fête païenne ; il y a de la cervoise à boire autour du feu
Le peuple n’est pas du même rang qu’un seigneur
Eux ont le clergé et nous notre transpiration

Salauds !
Ah, ah-ah, ah
Ah-ah, ah
Ah-ah, ah-ah, ah-ah, ah
Ah-ah, ah
Ah-ah, ah
Ah-ah, ah-ah, ah-ah, ah