Текст и перевод песни Nacho Vegas - Reality

Reality

Y nací ¿y quién me manda a mí?
Ese fue mi primer error,
Sí me descubres mirándote ponte a pensar en lo peor.

Lo que soy te lo debo a ti
No creas que sigo asustado,
Cuando me veas acercándome ponte a pensar en algo malo.

Puedes gritar ¡Máaas! fuerte, venga grita ¡Máaas! fuerte
No vas a hacerme temblar,
Ahora lo tienes jodido amigo aunque no se te daba mal.

Te vi una vez, por televisión, tenias la edad que yo tengo hoy,
No hiciste mas que mentir pero no es eso a lo que voy.

Lo recordé al contemplar desde aquí
La mierda que trague de crió,
Me presentáste al miedo pero el placer jamas fue mio.

Puedes pegar ¡Máaas! fuerte, puedes pegarme ¡Máaas! fuerte,
No vas a hacerme llorar.
Todo está más que llorado ahora te toca a ti. pagar.

Puedes gritar más, ¡Máaas! alto y golpeárme ¡Máaas! fuerte,
No vas a hacerme temblar,
No puedes hacerme llorar ya lo intenté y no he podido.

Al menos yo sigo aún en pie
Y ahora tú estás ahí postrado,
Cuando me veas acercándome ponte a pensar en algo raro.

Réalité

Et je suis né, et qui me l'a fait faire ?
Ce fut ma première erreur,
Si tu me vois te regarder, réfléchis au pire.

Ce que je suis, je te le dois
Ne crois pas que j'ai encore peur,
Quand tu me verras arriver, pense à quelque chose de mal.

Tu peux crier ! Plus fort, allez, crie ! Plus fort
Tu ne me feras pas trembler,
Maintenant, tu es dans le pétrin, mon ami, même si tu ne t'en sortais pas si mal.

Je t'ai vu une fois, à la télévision, tu avais l'âge que j'ai aujourd'hui,
Tu n'as fait que mentir, mais ce n'est pas ce que je veux dire.

Je me suis souvenu en contemplant d'ici
La merde que j'ai avalée quand j'étais enfant,
Tu m'as présenté la peur, mais le plaisir n'a jamais été mien.

Tu peux frapper ! Plus fort, tu peux me frapper ! Plus fort,
Tu ne me feras pas pleurer.
Tout est plus que pleuré, maintenant c'est à toi de payer.

Tu peux crier ! Plus haut, et me frapper ! Plus fort,
Tu ne me feras pas trembler,
Tu ne peux pas me faire pleurer, j'ai essayé et je n'ai pas pu.

Au moins, je suis toujours debout
Et maintenant, tu es là, prostré,
Quand tu me verras arriver, pense à quelque chose de bizarre.