Текст и перевод песни Nas - N.Y. State of Mind (Live)

N.Y. State of Mind (Live)

nas
Yeah yeah, aiyyo black it's time (word?)
(word, it's time nigga?)
yeah, it's time man (aight nigga, begin)
yeah, straight out the fuckin dungeons of rap
where fake niggaz don't make it back
i don't know how to start this shit, yo, now
one: nas
Rappers i monkey flip em with the funky rhythm i be kickin
musician, inflictin composition
of pain i'm like scarface sniffin cocaine
holdin a m-16, see with the pen i'm extreme, now
bulletholes left in my peepholes
i'm suited up in street clothes
hand me a nine and i'll defeat foes
y'all know my steelo with or without the airplay
i keep some e&j, sittin bent up in the stairway
or either on the corner bettin grants with the celo champs
laughin at baseheads, tryin to sell some broken amps
g-packs get off quick, forever niggaz talk shit
remeniscing about the last time the task force flipped
niggaz be runnin through the block shootin
time to start the revolution, catch a body head for houston
once they caught us off guard, the mac-10 was in the grass and
i ran like a cheetah with thoughts of an assassin
pick the mac up, told brothers, "back up," the mac spit
lead was hittin niggaz one ran, i made him backflip
heard a few chicks scream my arm shook, couldn't look
gave another squeeze heard it click yo, my shit is stuck
try to cock it, it wouldn't shoot now i'm in danger
finally pulled it back and saw three bullets caught up in the chamber
so now i'm jetting to the building lobby
and it was filled with children probably couldn't see as high as i be
(so whatchu sayin?) it's like the game ain't the same
got younger niggaz pullin the triggers bringing fame to they name
and claim some corners, crews without guns are goners
in broad daylight, stickup kids, they run up on us
fo'-fives and gauges, macs in fact
same niggaz'll catch a back to back, snatchin yo' cracks in black
there was a snitch on the block gettin niggaz knocked
so hold your stash until the coke price drop
i know this crackhead, who said she gotta smoke nice rock
and if it's good she'll bring ya customers in measuring pots, but yo
you gotta slide on a vacation
inside information keeps large niggaz erasin and they wives basin
it drops deep as it does in my breath
i never sleep, cause sleep is the cousin of death
beyond the walls of intelligence, life is defined
i think of crime when i'm in a new york state of mind
("new york state of mine" --> rakim *repeat 4x*)
two: nas
Be havin dreams that i'ma gangster -- drinkin moets, holdin tecs
makin sure the cash came correct then i stepped
investments in stocks, sewein up the blocks
to sell rocks, winnin gunfights with mega cops
but just a nigga, walking with his finger on the trigger
make enough figures until my pockets get bigger
i ain't the type of brother made for you to start testin
give me a smith and wessun i'll have niggaz undressin
thinkin of cash flow, buddah and shelter
whenever frustrated i'ma hijack delta
in the p.j.'s, my blend tape plays, bullets are strays
young bitches is grazed each block is like a maze
full of black rats trapped, plus the island is packed
from what i hear in all the stories when my peoples come back, black
i'm livin where the nights is jet black
the fiends fight to get crack i just max, i dream i can sit back
and lamp like capone, with drug scripts sewn
or the legal luxury life, rings flooded with stones, homes
i got so many rhymes i don't think i'm too sane
life is parallel to hell but i must maintain
and be prosperous, though we live dangerous
cops could just arrest me, blamin us, we're held like hostages
it's only right that i was born to use mics
and the stuff that i write, is even tougher than dice
i'm takin rappers to a new plateau, through rap slow
my rhymin is a vitamin, hell without a capsule
the smooth criminal on beat breaks
never put me in your box if your shit eats tapes
the city never sleeps, full of villians and creeps
that's where i learned to do my hustle had to scuffle with freaks
i'ma addict for sneakers, twenties of buddah and bitches with beepers
in the streets i can greet ya, about blunts i teach ya
inhale deep like the words of my breath
i never sleep, cause sleep is the cousin of death
i lay puzzle as i backtrack to earlier times
nothing's equivalent, to the new york state of mind
("new york state of mind" --> rakim *repeat 4x*)
("nasty nas" --> cut and scratched 8x)

L'état d'esprit de N.Y. (Live)

nas
Ouais ouais, aiyyo black c'est l'heure (le mot?)
(le mot, c'est l'heure négro?)
ouais, c'est l'heure mec (allez négro, commence)
ouais, tout droit sortis des putains de donjons du rap
où les faux négros ne reviennent pas
je ne sais pas comment commencer cette merde, yo, maintenant
un : nas
Les rappeurs, je les retourne comme des singes avec le rythme funky que je balance
musicien, infligeant une composition
de douleur je suis comme Scarface qui sniffe de la cocaïne
tenant un m-16, tu vois avec le stylo je suis extrême, maintenant
des trous de balles laissés dans mes judas
je suis habillé en tenue de ville
passe-moi un flingue et je vaincrai mes ennemis
vous connaissez tous mon style avec ou sans les ondes
je garde un peu de E&J, assis affalé dans la cage d'escalier
ou alors au coin de la rue à parier des billets avec les champions du violoncelle
à rire des camés, qui essaient de vendre des amplis cassés
les paquets de weed partent vite, les négros passent leur temps à parler
à se souvenir de la dernière fois que la brigade des stups a débarqué
les négros courent dans le quartier en tirant
il est temps de commencer la révolution, de choper un corps et de se diriger vers Houston
une fois qu'ils nous ont pris au dépourvu, le mac-10 était dans l'herbe et
j'ai couru comme un guépard avec des pensées d'assassin
j'ai ramassé le mac, j'ai dit aux frères, "reculez", le mac a craché
le plomb touchait les négros, l'un d'eux a couru, je l'ai fait faire un salto arrière
j'ai entendu quelques nanas crier, mon bras a tremblé, je ne pouvais pas regarder
j'ai appuyé encore une fois sur la détente, j'ai entendu un clic, yo, ma merde est coincée
j'ai essayé de la décoincer, ça ne voulait pas tirer, maintenant je suis en danger
finalement je l'ai retirée et j'ai vu trois balles coincées dans la chambre
alors maintenant je fonce vers le hall de l'immeuble
et il était rempli d'enfants qui ne pouvaient probablement pas voir aussi haut que moi
(alors qu'est-ce que tu racontes?) c'est comme si le jeu n'était plus le même
des négros plus jeunes appuient sur la détente pour se faire un nom
et s'approprient des coins de rue, les équipes sans flingues sont fichues
en plein jour, des gamins qui font des hold-up, ils nous tombent dessus
des 45 et des jauges, des macs en fait
les mêmes négros qui se prennent deux balles dans le dos, à piquer votre crack en noir
il y avait une balance dans le quartier qui faisait tomber des négros
alors garde ta came jusqu'à ce que le prix de la coke baisse
je connais cette camée, qui disait qu'elle devait fumer de la bonne came
et si c'est bon, elle t'amènera des clients dans des casseroles à mesurer, mais yo
tu dois te barrer en vacances
les informations privilégiées permettent aux gros bonnets d'effacer les traces et leurs femmes se font faire les ongles
ça va aussi loin que mon souffle
je ne dors jamais, car le sommeil est le cousin de la mort
au-delà des murs de l'intelligence, la vie est définie
je pense au crime quand je suis dans un état d'esprit new-yorkais
("New York state of mind" --> Rakim *répété 4x*)
deux : nas
J'ai des rêves où je suis un gangster -- je bois du Moët, je tiens des flingues
je m'assure que le fric est bon, puis j'ai fait un pas
des investissements dans des actions, en train de verrouiller les blocs
pour vendre de la drogue, gagner des fusillades avec des super flics
mais juste un négro, qui marche le doigt sur la détente
faire suffisamment de chiffres jusqu'à ce que mes poches grossissent
je ne suis pas le genre de frère fait pour que tu commences à me tester
donne-moi un Smith & Wesson et je ferai déshabiller des négros
en pensant au cash-flow, à Buddha et à un abri
chaque fois que je suis frustré, je braque un avion de la Delta
dans le pyjama, ma mixtape passe, les balles sont des balles perdues
les jeunes femmes sont touchées, chaque pâté de maisons est comme un labyrinthe
plein de rats noirs pris au piège, en plus l'île est bondée
d'après ce que j'entends dans toutes les histoires quand mon peuple revient, noir
je vis là où les nuits sont noires de jais
les drogués se battent pour avoir du crack, je suis au max, je rêve de pouvoir me détendre
et me reposer comme Capone, avec des ordonnances cousues
ou la vie de luxe légale, les bagues inondées de pierres, les maisons
j'ai tellement de rimes que je ne pense pas être très sain d'esprit
la vie est parallèle à l'enfer mais je dois tenir bon
et être prospère, bien que nous vivions dangereusement
les flics pourraient m'arrêter, nous accuser, nous sommes retenus en otage
c'est normal que je sois né pour utiliser des micros
et les trucs que j'écris sont encore plus durs que les dés
j'emmène les rappeurs vers un nouveau palier, à travers le rap lent
mes rimes sont une vitamine, l'enfer sans capsule
le criminel élégant sur des breaks de batterie
ne me mets jamais dans ta boîte si ta merde bouffe des cassettes
la ville ne dort jamais, pleine de bandits et de tarés
c'est là que j'ai appris à faire mes affaires, j'ai dû me battre avec des monstres
je suis accro aux baskets, aux billets de 20, à Buddha et aux nanas avec des bipeurs
dans la rue, je peux te saluer, te parler de joints
inspire profondément comme les mots de mon souffle
je ne dors jamais, car le sommeil est le cousin de la mort
je pose un puzzle en retournant à des époques antérieures
rien n'est équivalent à l'état d'esprit new-yorkais
("New York state of mind" --> Rakim *répété 4x*)
("Nasty Nas" --> coupé et scratché 8x)