Текст и перевод песни Natos y Waor feat. Suite soprano y Stefi - Dreams

Dreams

Por la primera vez que me calcé unas Patrick
Marqué un hattrick
Por la primera vez que me escuché el Illmatic
Por la última que te perdí
I got my wings, bitch. I still got dreams, bitch.
Vivo en tus labios, a kiss.
Estuve enamorao' de ti,
Ahora estoy enamorao' de mí.
Hating this, rest in peace
Viendo el futuro en bolas de hachís.
No digas nada,
Al final es verdad estás más guapa callada.
Te lleno de amor la cara
Pa' que sepas quién manda.
Hacerte el amor es tocar el cielo.
Mirarte, besarte, tocarte el pelo.
El tiempo es oro, yo tengo mucho tiempo.
A ti te lo regalo, a ellos se los vendo.
Tu cuerpo es el templo de mi religión.
No digas nada solo pon...
...te encima mío, dame lo que ansio, llevame a otra dimensión.
Déjame vacío sin respiración.
El niño creció, convirtió vicio en afición
Desde crío despreció a la policía,
Confía poco para evitar la traición.
Y mejor solo, lejos de todo,
Buscando otro modo de ser feliz
Pero los engranajes de mi cabeza
Solo dejan de dar vueltas si estoy dentro de ti.
Soy el niño del colegio que un día mata a toda la clase.
Se lo merecían, como explicarte.
Encontrar algo a lo que amar para dejar que te mate
Matarnos lentamente es lo que nos queda a los grandes.
A veces se gana y otras aprendes.
El tiempo pasa y las agujas del reloj clavándose.
Estoy quitándome de beber los martes
Por esta boca acabarán por fusilarme.
No sé en qué día vivo, nena, soy un desastre total.
Idas y venidas como un puto boomerang.
En el infierno al fin y al cabo no se está tan mal.
Días que duran tres otoños, resacas y tal
Dijo nunca más, pero míranos al final.
Acabo dando la nota siempre como el que más.
Aspiro a todo y pongo cara de no saber na'
Mi historia acaba en boda o en funeral.
Es tan larga la distancia
De mi cerebro a mi lengua
Que recuerdo haber tenido planes de futuro
Y haberles mandao a la mierda
Estoy leyéndote otra vez porque mis pensamientos me distraen.
Vuelvo al párrafo
Psicoanalízame. Dime, ¿Qué ves?
Al Eros o al Thanatos.
Soy tan ellos, tan necio.
Que confundo el valor de las cosas con su precio.
Y desprecio la vida
Y disfruto más las cosas a escondidas.
Esclavo de mis sueños, so so sick,
Porque nunca tengo pocos.
Sin llegar ya quiero huir,
Antes de probarte sé que voy a repetir.

Rêves

Pour la première fois que j'ai enfilé des Patrick
J'ai marqué un hat-trick
Pour la première fois que j'ai écouté Illmatic
Pour la dernière fois que je t'ai perdue
J'ai mes ailes, ma chérie. J'ai encore des rêves, ma chérie.
Je vis sur tes lèvres, un baiser.
J'étais amoureux de toi,
Maintenant je suis amoureux de moi.
Détester ça, repose en paix
Voir l'avenir dans des boules de haschich.
Ne dis rien,
Au final c'est vrai, tu es plus belle quand tu te tais.
Je te remplis le visage d'amour
Pour que tu saches qui commande.
Faire l'amour avec toi, c'est toucher le ciel.
Te regarder, t'embrasser, te caresser les cheveux.
Le temps c'est de l'or, j'ai beaucoup de temps.
Je te le donne, je le vends aux autres.
Ton corps est le temple de ma religion.
Ne dis rien, juste...
...mets-toi sur moi, donne-moi ce que j'aspire, emmène-moi dans une autre dimension.
Laisse-moi vide, sans respiration.
Le garçon a grandi, il a transformé le vice en passion
Depuis tout petit, il méprisait la police,
Il ne se fie à personne pour éviter la trahison.
Et mieux vaut seul, loin de tout,
Chercher un autre moyen d'être heureux
Mais les engrenages de ma tête
Ne cessent de tourner que si je suis à l'intérieur de toi.
Je suis le garçon de l'école qui un jour tue toute la classe.
Ils le méritaient, comment t'expliquer.
Trouver quelque chose à aimer pour te laisser me tuer
Se tuer lentement, c'est ce qu'il reste aux grands.
Parfois on gagne et parfois on apprend.
Le temps passe et les aiguilles de l'horloge se plantent.
J'arrête de boire le mardi
Par cette bouche, ils finiront par me fusiller.
Je ne sais pas quel jour je vis, chérie, je suis un désastre total.
Allées et venues comme un putain de boomerang.
En enfer, au final, ce n'est pas si mal.
Des jours qui durent trois automnes, des gueules de bois et tout ça
Il a dit plus jamais, mais regarde-nous à la fin.
Je finis toujours par donner le ton comme celui qui sait le mieux.
J'aspire à tout et je fais semblant de ne rien savoir
Mon histoire se termine par un mariage ou un enterrement.
La distance est si longue
De mon cerveau à ma langue
Que je me souviens avoir eu des projets d'avenir
Et les avoir envoyés au diable
Je te relis parce que mes pensées me distraient.
Je retourne au paragraphe
Psychoanalyse-moi. Dis-moi, que vois-tu ?
Éros ou Thanatos.
Je suis comme eux, si bête.
Que je confonds la valeur des choses avec leur prix.
Et je méprise la vie
Et j'apprécie davantage les choses en cachette.
Esclave de mes rêves, si malade,
Parce que je n'en ai jamais assez.
Sans y arriver, je veux déjà fuir,
Avant de te goûter, je sais que je vais recommencer.