Текст и перевод песни Nek - Cuando era hora

Cuando era hora

Hoy te vuelvo a ver aquí, dudando
Por cada paso al frente, dos atrás rodando
No deberías preocuparte más por esto, n
o es cosa tuya el pedir perdón al resto
Es menos fuerte el que condena y da la
espalda, que quien se pone siempre a tiro y te respalda
Y ahora amiga mía dime lo que defiendes
Si al alma o ese llanto que apretó tus dientes
Y son historias que no terminan jamás,
después comprendes que se acercaba el final
Al tiempo te consume una guerra de fe,
vas contra el cielo mientras te acuerdas que...
Cuando era hora de una palabra más
Cuando era hora te echaste para atrás
Y gritarías, no sabes contra quién
Luego dices y dices que, que no tenía que ser así
Decir siempre la verdad divide
Amar se va a salvarte, como va a matarte
Y tú en hilo que soporta la tormenta,
así comprendes que ya no estarás dispuesta
Y son heridas que no se curan jamás,
un nudo en la garganta intenta decirte que
Avaro es el orgullo si responde porque
Te has dado cuenta y reconoces que...
Cuando era hora de una palabra más
Cuando era hora te echaste para atrás
Y gritarías, no sabes contra quién
Y luego dices y dices, no me quedan más fuerzas
Cuenda era hora y ahora es así
Cuando bastaba nunca creíste en ti
Date la vuelta, el tiempo sigue aquí
Poder decirle y decirle, que esto no se quedará así
No se quedará así
Cuando era hora
Y son las puertas que no se cierran jamás
El sendero que se quebró a la mitad
Del castigo al indulto ¿La distancia cuál es?
Es la que no ves entre tú y él
Cuando era hora de una palabra más
Cuando era hora te echaste para atrás
Y gritarías, no sabes contra quién
Luego dices y dices que, que no tenía que ser así
No se quedará así
No se quedará así
Cuando era hora
No tenía que ser así

Quand il était temps

Je te revois aujourd'hui, hésitante,
Pour chaque pas en avant, deux en arrière, roulant.
Tu ne devrais plus t'en faire,
ce n'est pas à toi de demander pardon aux autres.
Celui qui condamne et tourne le dos est moins fort
que celui qui se met toujours en première ligne et te soutient.
Et maintenant, mon amie, dis-moi ce que tu défends,
si c'est ton âme ou ces larmes qui ont serré tes dents.
Ce sont des histoires qui ne finissent jamais,
après tu comprends que la fin approchait.
Avec le temps, tu es consumée par une guerre de foi,
tu vas contre le ciel tout en te souvenant que...
Quand il était temps d'un mot de plus,
Quand il était temps, tu t'es dérobée.
Et tu voudrais crier, tu ne sais pas contre qui.
Puis tu dis et redis que ça n'aurait pas dû se passer ainsi.
Dire toujours la vérité divise,
Aimer te sauvera, comme cela te tuera.
Et toi, sur le fil qui supporte la tempête,
tu comprends alors que tu ne seras plus prête.
Ce sont des blessures qui ne guérissent jamais,
un nœud dans la gorge essaie de te dire que
L'orgueil est avare s'il répond parce que
Tu t'es rendu compte et tu reconnais que...
Quand il était temps d'un mot de plus,
Quand il était temps, tu t'es dérobée.
Et tu voudrais crier, tu ne sais pas contre qui.
Et puis tu dis et redis, je n'ai plus de force.
Il était temps et maintenant c'est comme ça.
Quand c'était suffisant, tu n'as jamais cru en toi.
Retourne-toi, le temps est encore là.
Pouvoir lui dire et lui répéter que cela ne restera pas ainsi.
Cela ne restera pas ainsi.
Quand il était temps.
Ce sont les portes qui ne se ferment jamais,
Le sentier qui s'est brisé en deux.
Du châtiment au pardon, quelle est la distance ?
C'est celle que tu ne vois pas entre toi et lui.
Quand il était temps d'un mot de plus,
Quand il était temps, tu t'es dérobée.
Et tu voudrais crier, tu ne sais pas contre qui.
Puis tu dis et redis que ça n'aurait pas dû se passer ainsi.
Cela ne restera pas ainsi.
Cela ne restera pas ainsi.
Quand il était temps.
Ça n'aurait pas dû se passer ainsi.