Текст и перевод песни Nomadi - In favelas

In favelas

Non ci sono prati, solo muri consumati
Per giocare poche pietre o qualche canna di bambù
Per vivere, rubare, per sopravvivere, ammazzare
Strana legge della vita di tribù
In favelas
In favelas
Sembra che qualcuno ha disdegnato loro il cielo
Negli occhi brilla l'odio e nelle vene scorre il gelo
Nati tra ingiustizie, tra rifiuti ed immondizie
Prima ancora di acquistarla han già perso dignità (Favelas)
Sogni tra le stelle in mano poche caramelle
Il passato è inesistente, non ha volto il presente
Sfilano le squadre della morte per le strade
Alla ricerca di giustizia e giustizia non sarà
In favelas
In favelas
Brucia tra le fiamme il cuore dentro le capanne
Uccisi sopra un marciapiede, tanto nessuno vede
Il mondo li rifiuta perché il mondo non aiuta
Ti ha chiamato a stare zitto, questo è l'unico diritto (Favelas)
Sogni tra le stelle in mano poche caramelle
Il passato è inesistente, non ha volto il presente
Sfilano le squadre della morte per le strade
Alla ricerca di giustizia e giustizia non sarà
In favelas
In favelas
In favelas
In favelas

Dans les favelas

Il n'y a pas de pelouse, juste des murs usés
Pour jouer, quelques pierres ou quelques tiges de bambou
Pour vivre, voler, pour survivre, tuer
Étrange loi de la vie tribale
Dans les favelas
Dans les favelas
On dirait que quelqu'un leur a refusé le ciel
La haine brille dans leurs yeux et le gel coule dans leurs veines
Nés dans l'injustice, parmi les déchets et la saleté
Avant même de l'acquérir, ils ont déjà perdu leur dignité (Favelas)
Des rêves parmi les étoiles, quelques bonbons en main
Le passé est inexistant, le présent n'a pas de visage
Les escadrons de la mort défilent dans les rues
À la recherche de justice, et il n'y aura pas de justice
Dans les favelas
Dans les favelas
Le cœur brûle dans les huttes
Tués sur un trottoir, personne ne voit rien
Le monde les rejette parce que le monde n'aide pas
Il t'a appelé au silence, c'est ton seul droit (Favelas)
Des rêves parmi les étoiles, quelques bonbons en main
Le passé est inexistant, le présent n'a pas de visage
Les escadrons de la mort défilent dans les rues
À la recherche de justice, et il n'y aura pas de justice
Dans les favelas
Dans les favelas
Dans les favelas
Dans les favelas