Текст и перевод песни Ojos de Brujo - Bailaores

Bailaores

Bailadores, bailadoras
Yo quiero que ahora bailen con esta rica rumbita
Tiene salsa, y no pica
Solo tienes que bailarla para gozar mi rumbita.

Como mi ritmo no hay dos
Como mi ritmo no hay dos

Bailaores, bailaoras
Las que sudan en la pista
Las que gozan con mi rumba y la bailan con buen compás.
A tí, a tí, a tí
Que rompes los zapatos cuando oyes la rumba
Ay! a tí, pa tí, pa tí
Toma! con los Amaya a gozar

Como mi ritmo no hay dos
Como mi ritmo no hay dos
Porque tú lo vales rumbero...

Latiendo están corazones de rumberos y rumberas
La timba sigue aunque suba la portera
Que desalojen o que venga la madera
Belleza sobra y hay que celebrar más.
Toca las palmas cuando suene esta guitarra
Ventiladores suenan por toas las ventanas
Revolucionan en el metro, en la casa
En el patio del colegio y en la barra del "Bass"
Sobrevolando el barrio peleando rumba.
Este es el ritmo callejero que te tumba rumbero
Porque tú lo vales rumbero!

Como mi ritmo no hay dos
Como mi ritmo no hay dos

Bailaores

Danseurs, danseuses
Je veux que vous dansiez maintenant avec cette belle rumba
Elle a du salsa, et ne pique pas
Tu n'as qu'à la danser pour profiter de ma rumba.

Comme mon rythme, il n'y en a pas deux
Comme mon rythme, il n'y en a pas deux

Danseurs, danseuses
Celles qui transpirent sur la piste
Celles qui s'amusent avec ma rumba et la dansent avec un bon rythme.
A toi, à toi, à toi
Qui abîmes tes chaussures quand tu entends la rumba
Ah! à toi, pour toi, pour toi
Prends! avec les Amaya pour profiter

Comme mon rythme, il n'y en a pas deux
Comme mon rythme, il n'y en a pas deux
Parce que tu le vaux bien, rumbero...

Les cœurs des rumberos et des rumberas battent
La timba continue même si le portier monte
Qu'ils nous expulsent ou que le bois arrive
La beauté est abondante et il faut célébrer plus.
Tape des mains quand cette guitare sonne
Les ventilateurs sonnent dans toutes les fenêtres
Ils révolutionnent dans le métro, à la maison
Dans la cour de l'école et au bar du "Bass"
Survolant le quartier en se battant pour la rumba.
C'est le rythme de la rue qui te fait tomber, rumbero
Parce que tu le vaux bien, rumbero!

Comme mon rythme, il n'y en a pas deux
Comme mon rythme, il n'y en a pas deux