Текст и перевод песни Oscar Chavez - Popurrí No. 2

Popurrí No. 2

Desgracia
Desgracia mía
Tragedia
En mi palpitar

Maldita
Siempre maldita
Las hora
En que te conocí

He de arrastrar
Esta cadenas fatal
Hasta romper
Los eslabones del mar

Desgracia
Desgracia mía
Tragedia en mi corazón

Me tienes
Pero de nada te vale
Soy tuyo
Porque lo dicta un papel

Mi vida
La controlan las leyes
Pero en mi corazón
Que es el que siente amor
Tan sólo mando yo

El mar y el cielo
Se ven igual de azules
Y en la distancia
Parece que se unen

Mejor es que recuerdes
Que el cielo es siempre cielo
Que nunca, nunca, nunca
El mar lo alcanzará
Permiteme igualarme con el cielo
Que a ti te corresponde ser el mar

Cuan falso fue tu amor
Me has engañado
El sentimiento aquél
Era fingido
Solo siento
Mujer haber creído
Que eras el ángel
Con el que había soñado

Con que te vendes eh,
Noticia grata
No por eso
Te odio ni te desprecio
Aunque tengo
Poco oro y poca plata
En materia
De compras soy un necio

Espero
A que te pongas más barata
Pues algún día
Bajarás de precio

Quise hallar
En otras bocas
El alivio
Al cruel daño
Que tú engaño
Me causará

Y al buscar
En el aliento
De otras bocas
El perfume
Que embriagara mis tristezas

Encontré
Que también
Ellas mentían
Y fingían
Como tú
Lo hacías conmigo

Finalmente
Comprendo
Que en la vida
Todo es falso
Pero tú eres mucho más

Popurrí No. 2

Malheur
Malheur à moi
Tragédie
Dans mon cœur battant

Maudite
Toujours maudite
Les heures
Où je t'ai rencontrée

Je dois traîner
Ces chaînes fatales
Jusqu'à briser
Les maillons de la mer

Malheur
Malheur à moi
Tragédie dans mon cœur

Tu me possèdes
Mais cela ne te sert à rien
Je suis à toi
Parce que le papier le dicte

Ma vie
Est contrôlée par les lois
Mais dans mon cœur
Qui est celui qui ressent l'amour
Je suis le seul maître

La mer et le ciel
Ont l'air tout aussi bleus
Et dans la distance
Ils semblent se rejoindre

Il est préférable que tu te souviennes
Que le ciel est toujours le ciel
Que jamais, jamais, jamais
La mer ne l'atteindra
Permets-moi de m'égaler au ciel
Il te revient d'être la mer

Comme ton amour était faux
Tu m'as trompé
Ce sentiment-là
Était feint
Je ne ressens que
Femme, avoir cru
Que tu étais l'ange
Dont j'avais rêvé

Tu te vends, hein,
Bonne nouvelle
Ce n'est pas pour ça
Que je te hais ni que je te méprise
Bien que j'aie
Peu d'or et peu d'argent
En matière
D'achats, je suis un imbécile

J'attends
Que tu deviennes moins chère
Car un jour
Tu baisseras de prix

Je voulais trouver
Dans d'autres bouches
Le soulagement
À la cruelle blessure
Que ta tromperie
M'a causée

Et en cherchant
Dans le souffle
D'autres bouches
Le parfum
Qui enivrerait mes tristesses

J'ai trouvé
Qu'elles aussi
Mentaient
Et simulaient
Comme toi
Le faisais avec moi

Finalement
Je comprends
Que dans la vie
Tout est faux
Mais toi, tu es bien pire