Текст и перевод песни Pablo Alejandro - Duele Verte

Duele Verte

Duele verte con un tipo al que le
Faltan las ideas y le sobran argumentos
Duele verte anestesiada porque así se
Dio la cosa porque así quiso tu suerte
Mientras yo caliento el banco de suplentes
Con la camiseta puesta pa incluirme en tu futuro.

Mientras yo te doy de día lo que él no cumple en las noches
Aquí está tu clandestino pa jugar al escondite como amante guerrillero
Pa cubrirte tus carencias de ternura y desenfreno
Aunque yo no esté en la foto de la sala
De tus padres ni en el bautizo del sobrino
Y es que tu ahora tienes dos y a mi me dividen una

Cierra puertas y ventanas quel mismísimo cielo pondrá una sucursal
En el séptimo piso,
A las once cincuenta mientras duren los besos y permita el reloj
Cierra puertas y ventanas que en noventa minutos habrá que condensar
Las caricias que caben en los huecos que
Dejan los encuentros furtivos y la soledad
Y es que tu ahora tienes dos y a mi me dividen una
Puede ser que tu conciencia te castigue
Por las noches y te aliente en las mañanas
Puede ser que un día de tantos nos
Quedemos sin futuro y tu sigas con tu teatro
Mientras tanto dame un beso atrincherado de esos que por ser culpables
Son como agua en el desierto
Tomáme como al tequila, de un golpe y sin pensarlo
Que si alguien sale ganando eres tu
Querida amiga aunque pienses lo contrario
Y es que tu ahora tienes dos y a mi me dividen una

Cierra puertas y ventanas quel mismísimo cielo pondrá una sucursal
En el séptimo piso,
A las once cincuenta mientras duren los besos y permita el reloj
Cierra puertas y ventanas que en noventa minutos habrá que condensar
Las caricias que caben en los huecos que
Dejan los encuentros furtivos y la soledad
Y es que tu ahora tienes dos y a mi me dividen una

Ça fait mal de te voir

Ça fait mal de te voir avec un mec à qui
Manquent les idées et qui a trop d'arguments
Ça fait mal de te voir anesthésiée parce que c'est comme ça que
Les choses se sont passées, parce que c'est ce que ton destin a voulu
Pendant que je chauffe le banc des remplaçants
Avec le maillot porté pour m'intégrer dans ton avenir.

Pendant que je te donne la journée ce qu'il ne t'offre pas la nuit
Voici ton clandestin pour jouer à cache-cache comme un amant guérillero
Pour combler tes carences en tendresse et en déchaînement
Même si je ne suis pas sur la photo du salon
De tes parents ni au baptême de ton neveu
Et c'est que tu en as maintenant deux et moi, on me divise en une

Ferme les portes et les fenêtres, que le ciel lui-même ouvre une succursale
Au septième étage,
À onze cinquante tant que les baisers durent et que l'horloge le permet
Ferme les portes et les fenêtres, qu'en quatre-vingt-dix minutes il faudra condenser
Les caresses qui tiennent dans les trous qui
Laissent les rencontres furtives et la solitude
Et c'est que tu en as maintenant deux et moi, on me divise en une
Peut-être que ta conscience te punira
La nuit et t'encouragera le matin
Peut-être qu'un jour parmi tant d'autres nous
Serons sans avenir et que tu continueras ton théâtre
En attendant, donne-moi un baiser retranché de ceux qui, par leur culpabilité,
Sont comme de l'eau dans le désert
Prends-moi comme de la tequila, d'un coup et sans réfléchir
Que si quelqu'un y gagne, c'est toi
Chère amie, même si tu penses le contraire
Et c'est que tu en as maintenant deux et moi, on me divise en une

Ferme les portes et les fenêtres, que le ciel lui-même ouvre une succursale
Au septième étage,
À onze cinquante tant que les baisers durent et que l'horloge le permet
Ferme les portes et les fenêtres, qu'en quatre-vingt-dix minutes il faudra condenser
Les caresses qui tiennent dans les trous qui
Laissent les rencontres furtives et la solitude
Et c'est que tu en as maintenant deux et moi, on me divise en une