Текст и перевод песни Parrita - Contando las Horas

Contando las Horas

Mi alma es como un ave torpe y fría
Que no puede alzar el vuelo y va llorando su añoranza
Y buscando otro horizonte, que no puede y que no alcanza
Porque vive a ras de suelo
Allí, donde agonizan las estrellas
Allí no llegan los vientos, porque aquello es otro mundo
Y me estoy cayendo muerto de contar las horas muertas
Que va marcando un reloj

Pero una voz oculta y temblorosa
Resurgiendo del silencio, como por arte de magia
Una voz muy parecida a la voz de aquella lámpara
Que Aladino se encontró
Me dice y me aconseja muy despacio:
"No pierdas la compostura, tienes que salir a flote
Con ayuda, o sin ayuda, tienes que recuperarte"
Y seré el mismo de ayer

Después de preguntármelo mil veces
La respuesta es muy sencilla
Simplemente yo te quiero, te quiero
Te quiero, te quiero, te quiero
Después de preguntármelo mil veces
La respuesta es muy sencilla
Simplemente yo te quiero, te quiero
Te quiero, te quiero, te quiero

Mi alma es como un ave torpe y fría
Que no puede alzar el vuelo, y va llorando su añoranza
Y buscando otro horizonte, que no puede y que no alcanza
Porque vive a ras de suelo
Allí, donde agonizan las estrellas
Allí no llegan los vientos, porque aquello es otro mundo
Y me estoy cayendo muerto de contar las horas muertas
Que va marcando un reloj

Después de preguntármelo mil veces
La respuesta es muy sencilla
Simplemente yo te quiero, te quiero
Te quiero, te quiero, te quiero
Después de preguntármelo mil veces
La respuesta es muy sencilla
Simplemente yo te quiero, te quiero
Te quiero, te quiero, te quiero

Después de preguntármelo mil veces
La respuesta es muy sencilla
Simplemente yo te quiero, te quiero
Te quiero, te quiero, te quiero
Después de preguntármelo mil veces
La respuesta es muy sencilla
Simplemente yo te quiero...

Compter les heures

Mon âme est comme un oiseau maladroit et froid
Qui ne peut pas s'envoler et pleure son désir
Et recherche un autre horizon, qu'il ne peut pas atteindre
Car il vit à ras du sol
Là où les étoiles agonisent
Là où les vents ne parviennent pas, car c'est un autre monde
Et je suis en train de mourir en comptant les heures mortes
Que marque une horloge

Mais une voix cachée et tremblante
Réémergeant du silence, comme par magie
Une voix très semblable à la voix de cette lampe
Que Aladin a trouvée
Me dit et me conseille très lentement :
"Ne perds pas ton sang-froid, tu dois remonter à la surface
Avec de l'aide, ou sans aide, tu dois te remettre"
Et je serai le même qu'hier

Après me l'être demandé mille fois
La réponse est très simple
Je t'aime simplement, je t'aime
Je t'aime, je t'aime, je t'aime
Après me l'être demandé mille fois
La réponse est très simple
Je t'aime simplement, je t'aime
Je t'aime, je t'aime, je t'aime

Mon âme est comme un oiseau maladroit et froid
Qui ne peut pas s'envoler, et pleure son désir
Et recherche un autre horizon, qu'il ne peut pas atteindre
Car il vit à ras du sol
Là où les étoiles agonisent
Là où les vents ne parviennent pas, car c'est un autre monde
Et je suis en train de mourir en comptant les heures mortes
Que marque une horloge

Après me l'être demandé mille fois
La réponse est très simple
Je t'aime simplement, je t'aime
Je t'aime, je t'aime, je t'aime
Après me l'être demandé mille fois
La réponse est très simple
Je t'aime simplement, je t'aime
Je t'aime, je t'aime, je t'aime

Après me l'être demandé mille fois
La réponse est très simple
Je t'aime simplement, je t'aime
Je t'aime, je t'aime, je t'aime
Après me l'être demandé mille fois
La réponse est très simple
Je t'aime simplement...