Текст и перевод песни Patrick Bruel - Medley - 2 - Live

Medley - 2 - Live

Je me suis aperçu que vous chantiez très bien
Mais est-ce que vous dansez très bien?
Est-ce que vous êtes capable de transformer ce magnifique stade Pierre Mauroy
En immense bal populaire
Alors tous les gradins debout
Partout dans le stade
Et faut que ça tourne, partout il faut que ça tourne

Je ne sais pourquoi elle allait danser
À Saint-Jean, aux musettes
Mais quand ce gars lui a pris un baiser
Elle frissonnait, était chipée
Comment ne pas perdre la tête
Serrée par des bras audacieux?
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux

Elle qui l'aimait tant
Elle le trouvait le plus beau de Saint-Jean
Elle restait grisée
Sans volonté sous ses baisers

Sans plus réfléchir, elle lui donnait
Le meilleur de son être
Beau parleur chaque fois qu'il mentait
Elle le savait, mais elle l'aimait

Comment ne pas perdre la tête
Serrée par des bras audacieux?
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux

Elle qui l'aimait tant
Elle le trouvait le plus beau de Saint-Jean
Elle restait grisée
Sans volonté sous ses baisers

Elle qui l'aimait tant
Elle le trouvait le plus beau de Saint Jean
Il ne l'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus

Il ne l'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus

J'ai l'impression que ça vous plaît cette petite guinguette
J'ai l'impression qu'on a encore envie de danser
Qu'on a encore envie de tourner

Il est au bal musette
Un air rempli de douceur
Qui fait tourner les têtes
Qui fait chavirer les cœurs
Quand on la danse à petits pas
Serrant celle qu'on aime dans ses bras
On lui murmure dans un frisson
En écoutant chanter l'accordéon

C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Celle qu'on danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue

Ils s'aimaient depuis deux jours à peine
Y'a toujours du bonheur dans la peine
Mais depuis qu'ils étaient amoureux
Leur destin n'était plus malheureux
Ils vivaient avec un rêve étrange
Et ce rêve était bleu comme les anges
Leur amour était un vrai printemps, oui
Aussi pur que leurs tendres vingt ans

C'est la romance de Paris
Au coin des rues, elle fleurit
Ça met au coeur des amoureux
Un peu de rêve et de ciel bleu
Ce doux refrain de nos faubourgs
Parle si gentiment d'amour
Que tout le monde en est épris
C'est la romance de Paris
Que tout le monde en est épris
C'est la romance de Paris

Ce soir le vent qui frappe à ma porte
Me parle des amours mortes
Devant le feu qui s'éteint
Ce soir c'est une chanson d'automne
Dans la maison qui frissonne
Et je pense aux jours lointains

Que reste-t-il de nos amours?
Que reste-t-il de ces beaux jours?
Une photo, vieille photo
De ma jeunesse
Que reste-t-il des billets doux?
Des mois d'avril, des rendez-vous
Un souvenir qui me poursuit
Sans cesse

Bonheur fané, cheveux au vent
Baisers volés, rêves mouvants
Que reste-t-il de tout cela?
Dites-le-moi

Un petit village, un vieux clocher
Un paysage si bien caché
Et dans un nuage le cher visage
De mon passé

Elle était jeune et belle
Comme de bien entendu
Il eut le béguin pour elle
Comme de bien entendu
Elle était demoiselle
Comme de bien entendu
Il se débrouilla pour qu'elle ne le soit plus
Comme de bien entendu

Ils se mirent en ménage
Comme de bien entendu
Elle avait du courage
Comme de bien entendu
Il était au chômage
Comme de bien entendu
Ça lui faisait déjà un gentil petit revenu
Comme de bien entendu

Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?
Qu'est-ce qu'on attend pour perdre la tête?
La route est prête
Le ciel est bleu
Y'a des chansons dans le piano à queue
Il y a de l'espoir dans tous les yeux
Et des sourires dans chaque fossette
La joie nous guette
C'est merveilleux
Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?
Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?

Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fête?
Y'a des noisettes dans le chemin creux
Y'a des raisins, des rouges, des blancs, des bleus
Les papillons s'en vont par deux
Et le mille-pattes met ses chaussettes
Les alouettes se font des aveux
Qu'est-ce qu'on attend
Qu'est-ce qu'on attend
Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?

Qu'est-ce qu'on attend
Qu'est-ce qu'on attend
Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?

Qu'est-ce qu'on attend
Qu'est-ce qu'on attend
Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?

La lune trop blême
Pose un diadème
Sur tes cheveux roux.
La lune trop rousse
De gloire éclabousse
Ton jupon plein d'trous.
La lune trop pâle
Caresse l'opale
De tes yeux blasés.
Princesse de la rue
Soit la bienvenue
Dans mon coeur blessé

Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux

Petite mandigote
Je sens ta menotte
Qui cherche ma main
Je sens ta poitrine
Et ta taille fine
J'oublie mon chagrin

Je sens sur tes lèvres
Une odeur de fièvre
De gosse mal nourri
Mais sous ta caresse
Je sens une ivresse
Qui m'anéantit

Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux

Encore une fois

Les escaliers de la butte sont tristes aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux

À votre bon coeur, M'sieur Dames

Medley - 2 - Live

I've noticed that you sing very well.
But do you dance very well?
Are you capable of transforming this magnificent Pierre Mauroy Stadium
Into a huge dance hall
So everyone in the stands, up on your feet!
Everywhere in the stadium
And we need to get this spinning, it has to spin everywhere!

I don't know why she was going dancing
In Saint-Jean, at the dance halls
But when this guy kissed her
She shivered, she was smitten
How can you not lose your head
Held tight by audacious arms?
Because we always believe sweet words of love
When they're said with the eyes

She who loved him so much
She found him the most handsome in Saint-Jean
She remained dazed
Without will under his kisses

Without thinking twice, she gave him
The best of herself
Smooth talker, every time he lied
She knew it, but she loved him

How can you not lose your head
Held tight by audacious arms?
Because we always believe sweet words of love
When they're said with the eyes

She who loved him so much
She found him the most handsome in Saint-Jean
She remained dazed
Without will under his kisses

She who loved him so much
She found him the most handsome in Saint-Jean
He doesn't love her anymore
It's in the past
Let's not talk about it anymore

He doesn't love her anymore
It's in the past
Let's not talk about it anymore

I have a feeling you like this little dance hall
I have a feeling we still want to dance
That we still want to spin

He is at the dance hall
An air filled with sweetness
That makes heads spin
That makes hearts capsize
When you dance it with small steps
Holding the one you love in your arms
You whisper to her with a thrill
Listening to the accordion sing

It's the blue java
The most beautiful java
The one that bewitches
The one you dance with your eyes locked
To the joyful rhythm
When bodies merge
Like it, there's no other in the world
There are no two like it in the world
It's the blue java

They had only been in love for two days
There's always happiness in sorrow
But since they were in love
Their destiny was no longer unhappy
They lived with a strange dream
And this dream was as blue as angels
Their love was a real spring, yes
As pure as their tender twenty years

It's the romance of Paris
On street corners, it blossoms
It puts in the hearts of lovers
A little bit of dreams and blue sky
This sweet refrain of our suburbs
Speaks so gently of love
That everyone is smitten with it
It's the romance of Paris
That everyone is smitten with it
It's the romance of Paris

Tonight the wind knocking at my door
Speaks to me of dead loves
Before the dying fire
Tonight it's an autumn song
In the shivering house
And I think of the distant days

What remains of our love?
What remains of those beautiful days?
A picture, an old picture
Of my youth
What remains of the love letters?
Of Aprils, of rendezvous
A memory that haunts me
Endlessly

Faded happiness, hair in the wind
Stolen kisses, shifting dreams
What remains of all that?
Tell me

A small village, an old bell tower
A landscape so well hidden
And in a cloud the dear face
Of my past

She was young and beautiful
Of course
He fell for her
Of course
She was a maiden
Of course
He made sure she wasn't anymore
Of course

They set up house
Of course
She was courageous
Of course
He was unemployed
Of course
It already gave him a nice little income
Of course

What are we waiting for to be happy?
What are we waiting for to lose our minds?
The road is ready
The sky is blue
There are songs in the grand piano
There is hope in every eye
And smiles in every dimple
Joy awaits us
It's wonderful
What are we waiting for to be happy?
What are we waiting for to be happy?

What are we waiting for to celebrate?
There are hazelnuts in the hollow path
There are grapes, red, white, blue
The butterflies go in pairs
And the millipede puts on his socks
The larks declare their love
What are we waiting for?
What are we waiting for?
What are we waiting for to be happy?

What are we waiting for?
What are we waiting for?
What are we waiting for to be happy?

What are we waiting for?
What are we waiting for?
What are we waiting for to be happy?

The too pale moon
Places a diadem
On your red hair.
The moon, too red,
Splashes glory
On your skirt full of holes.
The too pale moon
Caresses the opal
Of your jaded eyes.
Princess of the street,
Be welcome
In my wounded heart.

The stairs of the hill are hard on the poor
The wings of the windmills protect lovers

Little beggar girl,
I feel your little hand
Searching for mine.
I feel your chest
And your fine waist
I forget my sorrow

I smell on your lips
A smell of fever,
Of an underfed child.
But under your caress
I feel a drunkenness
That annihilates me.

The stairs of the hill are hard on the poor
The wings of the windmills protect lovers

Once again

The stairs of the hill are sad for the poor
The wings of the windmills protect lovers

To your good heart, ladies and gentlemen