Текст и перевод песни Patti Page - Green Green Grass of Home

Green Green Grass of Home

The old home town looked the same,
As he stepped down from the train,
And there to meet him was his mamma and his poppa;
Down the road he looked, and there was Mary,
Hair of gold, and lips like cherries,
It was good to touch the green, green grass of home.
Yes, they'll all come to meet you,
Arms reachin', smilin' sweetly,
It's good to touch the green, green grass of home,
The old house was still standin,
'Though the paint ws cracked and dry,
And there's that old oak tree,
That he used to play on.
Down the lane he walked with his sweet Mary,
Hair of gold and lips like cherries,
Was good to touch the green, green grass of home.
Yes, they'll all come to meet you,
Arms a-reachin', smilin' sweetly,
It's good to touch the green, green grass of home,
Then he awoke and looked around him,
At the four gray walls that surround him,
And he realized that he was only dreaming, only dreaming
For there's a guard and there's a sad old padre,
And arm in arm they'll all walk at daybreak,
Where once again he'll touch the green, green grass of home.
Yes they'll all come to see him
In the shade of that old oak tree
As they lay him 'neath the green, green grass of home.

L'herbe verte de la maison

Ma ville natale avait l'air la même,
Alors que je descendais du train,
Et là pour m'accueillir étaient ma mère et mon père ;
J'ai regardé au loin, et là était Marie,
Cheveux d'or, et lèvres comme des cerises,
C'était bon de toucher l'herbe verte de la maison.
Oui, ils vont tous venir te rencontrer,
Les bras tendus, souriant gentiment,
C'est bon de toucher l'herbe verte de la maison,
La vieille maison était toujours debout,
Bien que la peinture soit craquelée et sèche,
Et voici ce vieux chêne,
Sur lequel j'avais l'habitude de jouer.
J'ai marché dans la ruelle avec ma douce Marie,
Cheveux d'or et lèvres comme des cerises,
C'était bon de toucher l'herbe verte de la maison.
Oui, ils vont tous venir te rencontrer,
Les bras tendus, souriant gentiment,
C'est bon de toucher l'herbe verte de la maison,
Puis je me suis réveillé et j'ai regardé autour de moi,
Les quatre murs gris qui m'entourent,
Et j'ai réalisé que je ne faisais que rêver, ne faisais que rêver
Car il y a un garde et un vieux prêtre triste,
Et bras dessus bras dessous, ils marcheront tous à l'aube,
Là où je toucherai à nouveau l'herbe verte de la maison.
Oui, ils vont tous venir me voir
À l'ombre de ce vieux chêne
Alors qu'ils me coucheront sous l'herbe verte de la maison.