Текст и перевод песни Pekado feat. McMoi - Jazzgrimas

Jazzgrimas

(Pekado & Mc Moi) (Estribillo)

Confundiendo el cielo con el infierno,
Entre Jazzgrimas buscando otro comienzo,
Encontrando los lamentos, escondiendo sentimientos,
Abriéndole el paso a los remordimient0o0os...

(Charla con piano de fondo)

(Miguel - He tío, yo me voy ya, que se ha hecho muy tarde.

Moisés - Venga, tipo.

Miguel - Digo, a ver si voy a casa y escribo algo, tío.

Moisés - Venga, hasta luego.

Miguel - Nos vemos.)

(Pekado)

Se hizo la luz en mi cuarto, de nuevo artificial, pero suficiente,
Para escribir en soledad líneas, de recuerdos presentes,
Presencio un antes y un después, mentes pensantes
No descansan, (no) mañana quizás cuando me acueste te levantes.

Momentos dulces, como el chocolate,
Y entre el humo de un café doy brillo a este papel blanco mate,
Mi corazón debate la presencia de fe (fe)
Las palabras que me dices,... (dices)

Di que son dioses los que deciden por nosotros,
Di que a veces no sentía nada en tus ojos, Dilo,
Pues ya está cerrado este cerrojo, (puah) Sinceridad ante todo
Y esta mentira,
Nunca sustituirá a la verdad ni ocupará su lugar(¿Qué va?)

Son las 3, en punto, y pese a tener tú los colores,
Ya nada pintas, (ja, ja) punto, yo no pido tanto, (¿Qué va?)
Quizás los pequeños detalles juntos,
Nunca se unan en este punto,... de melancolía me inundo.

Y por mis propios sueños ando, (ando)
Cuando el despertador suena, me despierta y me confundo,
Me levanto pensando en tu persona, perdona
(¿Por qué?) por no percatarme (ja, ¿Qué va?)

Yo soy esclavo de una percusión y nadie vendrá a rescatarme, (nadie)
Oíste mi voz ya más veces (más veces) desde que era adolescente, (¿y?)
Sabía dónde desemboca la corriente, pero
Me lancé al agua (ja, ja) a ver si tú lo averiguas (¿Qué va?)

Saboreo el sabor del honor con mi lengua,
Me gusta ver cómo la luna mengua,
He venido a contarte mis historias, mis memorias,
Mis pequeños momentos de gloria, ¿Y tú?¿Tú en quién confías?

Unos le cantan a Babilonia, otros saborean alcohol,
Incluso a veces la colonia (quizás)
Quizás la asocian con la melancolía,
Otros elogian al que se divorcia del verso,
¿Ver sólo lo malo del ser humano?. (del ser humano)

Mi mente es un pantano, mi cuarto no es una patena, (no)
Pero para mí es como un templo, (¿Cómo?) como los de Atenas,
A ver si atinas y adivinas, en qué colmena está mi reina, (A ver)
Palabra de un poeta que con la rima se deleita.

(McMoi) (Estribillo)

Confundiendo el cielo con el infierno,
Entre Jazzgrimas buscando otro comienzo,
Encontrando los lamentos, escondiendo sentimientos,
Abriéndole el paso a los remordimient0o0os...

(McMoi)

Si levantas la vista, podrás ver sólo una estrella, (¿Qué?)
Detrás de ella escondió un suspiro la verdad que más destella
Algo falla, si todos los deseos fueron hacia ella
Y se aleja junto a esta época. (ah)

De vacas flacas, ya arranqué tantas, (ssshh)
Hojas de almanaque que estuve, al parecer,
Viviendo lejos de este cuerpo inerte, sin tenerte,
Palabras en internet solamente inventé.

Desconecté del alma, inquieta, engañada,
En el presente calmada, menguó la tempestad,
Hablo de la niebla que me pegaba,
Desapareció ¿Quién fue el que me meció,...

Para así soñar contigo?, Co, desahogar al llorar.
Pensé como una roca solitaria en el rompeolas, (ssshh)
Despertando sin recordar,
Como un trotamundos que después de años retornó a su hogar.

(Ah) A eso se le llama, recapacitar,
Retirarse a tiempo de la partida,
Mereció la pena y ¿Dónde está
El candado que cautiva mis cadenas?

Son las preguntas que más se pasean por mi cabeza,
Les cobraré carreras, como si un taxista fuera, (ah)
Lo recuerdo todo, empezó en aquella feria, Málaga,
Suave brisa de mar, Apaga la antorcha de mi felicidad,

(Clic) (ssshh) Para de tararear, (clic),
Esa melodía, (clic),que me hacía ilusionar, (clic)
Oh, sirena que (clic) me tomaste por (clic)
El pito del sereno, (clic) escondiste el antídoto.

Me ofreciste veneno, (oh, oh) por ti lo hubiera dado todo ¿Sabes?,
(Ssshh) sólo encontré el Éxodo al desenchufar los cables,
Ahora la diferencia es notable,
Él será el que te bese, yo el que te olvidaré. (ajá)

No hay más, (ssshh) y aunque páginas
De un viejo libro he titula ′o Donde desembocan las lágrimas,
(Ssshh) Llenos de capítulos desordenados,
No me sorprendió será por algo.

Lo supe desde el prólogo, cerré los ojos,
Seguí ocupando párrafos, aun saltándome semáforos,
No me alcancé, corazón congelé,
Sin ser invierno, sabes también, no volveré. (no, no, no, no, no)

(McMoi) (Estribillo)

Confundiendo el cielo con el infierno,
Entre Jazzgrimas buscando otro comienzo,
Encontrando los lamentos, escondiendo sentimientos,
Abriéndole el paso a los remordimient0o0os...

Ajá, ajá,...

(Ajá, ajá,...ajá, ajá,...ajá, ajá,...ajá, ajá,...)

Larmes de jazz

(Pekado & Mc Moi) (Refrain)

Confondant le ciel et l'enfer,
Entre larmes de jazz, cherchant un nouveau départ,
Trouvant les lamentations, cachant les sentiments,
Ouvrant la voie aux remords...

(Conversation avec piano en fond sonore)

(Miguel - Bon mec, je me tire, il se fait vraiment tard.

Moisés - Allez, mon pote.

Miguel - Je me disais, comme ça je rentre et j'écris un truc, mec.

Moisés - Allez, à plus tard.

Miguel - On se voit.)

(Pekado)

La lumière s'est faite dans ma chambre, artificielle à nouveau, mais suffisante,
Pour écrire dans la solitude des lignes, de souvenirs présents,
Je suis témoin d'un avant et d'un après, les esprits pensants
Ne se reposent pas, (non) demain peut-être que lorsque je me coucherai tu te lèveras.

Des moments doux, comme le chocolat,
Et dans la fumée d'un café, je donne de l'éclat à ce papier blanc mat,
Mon cœur débat de la présence de la foi (foi)
Les mots que tu me dis,... (dis)

Dis que ce sont des dieux qui décident pour nous,
Dis que parfois tu ne ressentais rien dans mes yeux, Dis-le,
Car ce verrou est déjà fermé, (puah) La sincérité avant tout
Et ce mensonge,
Ne remplacera jamais la vérité ni ne prendra sa place (Quoi ?)

Il est 3 heures précises, et bien que tu aies toutes les couleurs,
Tu ne représentes plus rien, (ha, ha) point, je n'en demande pas tant, (Quoi ?)
Peut-être que les petits détails ensemble,
Ne s'uniront jamais à ce point,... je suis inondé de mélancolie.

Et je marche pour mes propres rêves, (je marche)
Quand le réveil sonne, il me réveille et me perturbe,
Je me lève en pensant à toi, pardonne-moi
(Pourquoi ?) de ne pas m'en être rendu compte (ha, Quoi ?)

Je suis esclave d'une percussion et personne ne viendra me sauver, (personne)
Tu as déjà entendu ma voix (plus souvent) depuis mon adolescence, (et ?)
Je savais où le courant se jetait, mais
Je me suis jeté à l'eau (ha, ha) pour voir si tu le découvrirais (Quoi ?)

Je savoure le goût de l'honneur avec ma langue,
J'aime voir la lune décliner,
Je suis venu te raconter mes histoires, mes souvenirs,
Mes petits moments de gloire, et toi ? En qui as-tu confiance ?

Certains chantent Babylone, d'autres savourent l'alcool,
Parfois même l'eau de Cologne (peut-être)
Peut-être l'associent-ils à la mélancolie,
D'autres font l'éloge de celui qui divorce du vers,
Ne voir que le mal de l'être humain ?. (de l'être humain)

Mon esprit est un marécage, ma chambre n'est pas une patène, (non)
Mais pour moi c'est comme un temple, (Comment ?) comme ceux d'Athènes,
Voyons si tu peux deviner, dans quelle ruche se trouve ma reine, (Voyons)
Parole d'un poète qui se délecte de la rime.

(McMoi) (Refrain)

Confondant le ciel et l'enfer,
Entre larmes de jazz, cherchant un nouveau départ,
Trouvant les lamentations, cachant les sentiments,
Ouvrant la voie aux remords...

(McMoi)

Si tu lèves les yeux, tu ne verras qu'une seule étoile, (Quoi ?)
Derrière elle, la vérité la plus éclatante a caché un soupir
Quelque chose cloche, si tous les souhaits étaient pour elle
Et elle s'éloigne avec cette époque. (ah)

De vaches maigres, j'en ai déjà arraché tant, (chut)
Des feuilles d'almanach que j'ai vécues, semble-t-il,
Vivant loin de ce corps inerte, sans te tenir,
Je n'ai inventé que des mots sur Internet.

J'ai déconnecté de l'âme, agitée, trompée,
Dans le présent apaisée, la tempête s'est calmée,
Je parle du brouillard qui me collait à la peau,
Il a disparu, qui m'a bercé,...

Pour que je rêve de toi ?, Co, me soulager en pleurant.
J'ai pensé comme un rocher solitaire sur la digue, (chut)
Me réveillant sans me souvenir,
Comme un globe-trotter qui, après des années, est rentré chez lui.

(Ah) C'est ce qu'on appelle se ressaisir,
Se retirer à temps du jeu,
Ça en valait la peine et où est
Le cadenas qui captive mes chaînes ?

Ce sont les questions qui me trottent le plus dans la tête,
Je vais leur faire payer la course, comme un chauffeur de taxi, (ah)
Je me souviens de tout, ça a commencé à cette foire, Malaga,
Douce brise marine, éteins la torche de mon bonheur,

(Clic) (chut) Arrête de fredonner, (clic),
Cette mélodie, (clic), qui me faisait rêver, (clic)
Oh, sirène qui (clic) m'a pris pour (clic)
Le sifflet du veilleur de nuit, (clic) tu as caché l'antidote.

Tu m'as offert du poison, (oh, oh) pour toi j'aurais tout donné tu sais ?,
(Chut) je n'ai trouvé l'Exode qu'en débranchant les câbles,
Maintenant la différence est notable,
Ce sera lui qui t'embrassera, moi qui t'oublierai. (aha)

Il n'y a rien de plus, (chut) et bien que des pages
D'un vieux livre que j'ai intitulé "Où se jettent les larmes",
(Chut) Plein de chapitres désordonnés,
Cela ne m'a pas surpris, c'est pour une raison.

Je le savais dès le prologue, j'ai fermé les yeux,
J'ai continué à occuper des paragraphes, même en grillant des feux rouges,
Je ne me suis pas rattrapé, j'ai congelé mon cœur,
Sans que ce soit l'hiver, tu sais aussi, je ne reviendrai pas. (non, non, non, non, non)

(McMoi) (Refrain)

Confondant le ciel et l'enfer,
Entre larmes de jazz, cherchant un nouveau départ,
Trouvant les lamentations, cachant les sentiments,
Ouvrant la voie aux remords...

Aha, aha,...

(Aha, aha,...aha, aha,...aha, aha,...aha, aha,...)