Текст и перевод песни Peter Mulvey - Abilene (The Eisenhower Waltz)

Abilene (The Eisenhower Waltz)

God bless you, Dwight D. Eisenhower
As I stand next to the truck stop shower
Watching our bright destiny unfold
Now your highway moves from here to gone
This land we've laid out hands upon
And sir, it is a sight just to behold

Oh God bless you, Dwight D. Eisenhower
Though this is not our finest hour
Highwaymen have made off with your creed
And now the band is marching, no matter what
The eyes of history are shut
This is the hour of our deepest need

Oh, and the wind howls
Mmm, and the wind howls
Oh the wind howls, through the fields of Abilene

So God bless you, Dwight D. Eisenhower
As now the youth in all their flower
Hang on the iron cross you warned us of
And they say you wept to hang them slow
And you among us all might know
These things it seems we sometimes do for love
Oh these things we do for love

Oh, and the wind howls
Mmm, and the wind howls
Oh the wind howls through the fields of Abilene
Mmm, and the wind howls
Oh, and the wind howls
Oh the wind howls through the fields of Abilene

Abilene (La valse d'Eisenhower)

Que Dieu te bénisse, Dwight D. Eisenhower
Alors que je me tiens à côté de la douche de la station-service
En regardant notre brillant destin se dérouler
Maintenant, ton autoroute va d'ici à là-bas
Cette terre sur laquelle nous avons posé nos mains
Et, mon cher, c'est un spectacle à voir

Oh, que Dieu te bénisse, Dwight D. Eisenhower
Bien que ce ne soit pas notre heure la plus glorieuse
Les routiers ont emporté ton crédo
Et maintenant la bande marche, quoi qu'il arrive
Les yeux de l'histoire sont fermés
C'est l'heure de notre besoin le plus profond

Oh, et le vent hurle
Mmm, et le vent hurle
Oh, le vent hurle à travers les champs d'Abilene

Alors, que Dieu te bénisse, Dwight D. Eisenhower
Alors que maintenant la jeunesse dans toute sa floraison
S'accroche à la croix de fer dont tu nous as mis en garde
Et ils disent que tu as pleuré pour les pendre lentement
Et toi parmi nous tous pourrais savoir
Ces choses, il semble que nous les fassions parfois par amour
Oh, ces choses que nous faisons par amour

Oh, et le vent hurle
Mmm, et le vent hurle
Oh, le vent hurle à travers les champs d'Abilene
Mmm, et le vent hurle
Oh, et le vent hurle
Oh, le vent hurle à travers les champs d'Abilene