Текст и перевод песни Pierre Perret - La mère des cons

La mère des cons

Lyrics to La Mère Des Cons:
Chacun croise des cons.
Moi j′ai les miens, c'est des bons.
Ils sont constants, ils sont profonds, c′est des experts, ils ont un don.
Mais les cons les plus heureux,
Sont ceux qui baisent entre eux,
Une fois par an, pour être féconds,
Ensemble ils baisent comme des cons.
Si la race des cons n'est jamais éteinte,
C'est qu′la mère des cons est toujours enceinte.
Au fil des saisons,
La garce prolifère,
Elle pond des p′tits cons,
Dans tout l'univers!
Si elle s′en était doutée,
Elle se serait fait avorter,
Mais eu-t-elle su, par un scanner,
S'il vient Jeanne d′Arc ou bien Hitler.
Qu'il peut penser pondre un con?
Même si tant d′autres le font.
Y'a pas marqué, sur le foetus,
S'il s′ra côté à l′argus.
Si la race des cons n'est jamais éteinte,
C′est qu'la mère des cons est toujours enceinte.
Si on leur dit qu′ils le sont,
Les cons sortent de leur gonds,
Con humilié, devient grincheux, sa nulité le rend hargneux.
Doublement si armontrant
Sa femme lui lance en riant:
" T'avais pas dit, p′tit cachotier, que t'es l'plus con du quartier! "
Si la race des cons n′est jamais éteinte,
C′est qu'la mère des cons est toujours enceinte.
Le paradoxe c′est qu'le con,
Croit qu′c'est les autres qui le sont
Un tonneau vide, et un vrai con,
Résonnent tous deux, d′la même façon.
Pour prouver qu'il n'est pas bête,
Il a son site internet,
Là ils échangent, avec d′autreaux,
La diarrhée de leur cerveaux.
Si la race des cons n′est jamais éteinte,
C'est qu′la mère des cons est toujours enceinte.
Sur la toile de simples cons,
Se transforment en méchants cons.
Là ils balancent, leur vomi sur,
Sur le talent, ça les rassure.
Cas c'est leur médiocrité
Qui rend teigneux les ratés
Un grand auteur a écrit ça,
Les ratés vous rateront pas.
Si la race des cons n′est jamais éteinte,
C'est qu′la mère des cons est toujours enceinte.
Au fil des saisons, la garce prolifère, c'est pourquoi les cons, remplissent l'univers.

The Mother of Idiots

Lyrics to The Mother of Idiots:
Everybody comes across idiots.
I have my own, they're good ones.
They're consistent, they're deep, they're experts, they have a gift.
But the most fortunate idiots
Are those who procreate among themselves,
Once a year, to be fruitful,
Together they make whoopee like a bunch of idiots.
If the race of idiots never dies out,
It's because the mother of idiots is always pregnant.
Season after season,
The wicked woman proliferates,
She lays little idiots,
Throughout the universe!
If she had suspected it,
She would have had an abortion,
But could she have known, by a scanner,
Whether she would deliver a Joan of Arc or a Hitler.
Who would think they could spawn an idiot?
Even if so many others do it.
It's not written on the fetus,
Whether it will be worth a pittance.
If the race of idiots never dies out,
It's because the mother of idiots is always pregnant.
If you tell them they are idiots,
Idiots get angry,
A humiliated idiot becomes ill-tempered, his nullity makes him quarrelsome.
It's even worse if, in a sermon,
His wife tells him with a laugh:
"You didn't tell me, you little sneak, that you're the biggest idiot in the neighborhood!"
If the race of idiots never dies out,
It's because the mother of idiots is always pregnant.
The paradox is that the idiot
Believes that others are the idiots,
An empty barrel and a real idiot
Both resonate in the same way.
To prove that he's not stupid,
He has his own website.
There, he exchanges, with idiots,
The diarrhoea of their brains.
If the race of idiots never dies out,
It's because the mother of idiots is always pregnant.
On the web, simple idiots
Become mean idiots.
There, they spew their vomit,
On talent, which reassures them.
Because it's their mediocrity
That makes them miserable failures.
A great author wrote this,
The losers will not miss you.
If the race of idiots never dies out,
It's because the mother of idiots is always pregnant.
Season after season, the wicked woman proliferates, that's why idiots fill the universe.