Текст и перевод песни Pierre Vassiliu - En vadrouille à Montpellier

En vadrouille à Montpellier

Sur la piste glacée de la boite de nuit à Montpellier
Petite blondinette avec qui je danse
Quel âge peux-tu avoir
16 ans, 17 sept ans?
Tes seins sont déjà lourds
Mais aussi déjà durs contre moi
Tu te colles tu provoques, mon sexe devient dur
Il danse avec le tien
Il l′enlace, il l'embrasse, il le presse
Et dans le noir superbe de cette boite de nuit
Ta main se pose alors sans chercher à l′endroit le plus dur
Et tu serres, tu serres, tu serres, tu serres
Tu serres, tu serres, tu serres, tu serres

Tu souris j'en suis sûr
Je te sens divaguer
Et mes lèvres se posent sur ton épaule tiède
Je frémis, je bondis de baisers en baisers tout le long de ton cou
Puis j'attrape ta bouche
Tes lèvres sont humides et ta langue fait ce soir je crois
Un peu ses premiers pas
Et tu t′agrippes à moi, et je te fais aller partout où je veux bien
Tandis que tout au bout, tout au bout de mes doigts
Roule, s′étend, soupire le début de ton sein droit qui se gonfle en sourire
Rire, rire, rire, rire, rire, rire

Tu ne portes pas de slip
Et mes mains se baladent autour de tes poils chauds
Tu tressailles, tu sursautes
Et les yeux dans les yeux nous regardons au fond
Tout au fond de nous-mêmes, tu as compris?
Tu as compris je sais
Puisque tu lis en moi tout ce que je te donne

Incrustée et collée
Consciemment tu t'écroules et je trouve que c′est bien
Et maintenant c'est toi qui dirige ma main
C′est toi qui dirige ma main et tu pleures de joie
Nous nous sommes trouvés à une seule soirée
Et tu pleures, tu pleures, tu pleures
Tu pleures, tu pleures, tu pleures, tu pleures

Des couples nous regardent et sourient gentiment
Je cherche comme un malade les clefs de l'appartement
Je finis mon cognac, nous traversons la salle
Voilà que je vois double
Les odeurs de ton corps volent au-dessus des tables
Et tes jantes miroitent sur la piste glacée
Sur mon cheval noir qui nous conduit au pas
Ta jupe est retroussée
Et tes cuisses bronzées éclatent sous mes mains
Le vent prend la musique qui tourne dans tes cheveux
On arrive chez moi
Tu m′écrases le bras, tu entres dans la chambre et tu te déshabilles
Tu m'attrapes, tu m'agrippes et tu m′enfonces en toi
Tu me veux tout entier
Tu me manges, tu me bois, tu me veux, et tu ris
Et tu cris et tu jouis
Tu jouis, tu jouis, tu jouis, tu jouis, tu jouis
Tu jouis, tu jouis, tu jouis, tu jouis, tu jouis

Wandering in Montpellier

On the icy dance floor of the nightclub in Montpellier
Little blonde girl with whom I dance
How old could you be
16 years old, 17, maybe 18?
Your breasts are already heavy
But also already firm against me
You press yourself, you provoke, my sex becomes hard
It dances with yours
It embraces it, kisses it, presses it
And in the superb darkness of this nightclub
Your hand then lands, without searching, on the hardest spot
And you squeeze, you squeeze, you squeeze, you squeeze
You squeeze, you squeeze, you squeeze, you squeeze

You smile, I'm sure of it
I feel you drifting away
And my lips land on your warm shoulder
I tremble, I leap from kiss to kiss all along your neck
Then I catch your mouth
Your lips are moist and your tongue, I believe, is taking
Its first steps tonight
And you cling to me, and I make you go wherever I please
While at the very tip, the very tip of my fingers
Rolls, stretches, sighs the beginning of your right breast swelling with a smile
Laughter, laughter, laughter, laughter, laughter, laughter

You're not wearing any panties
And my hands wander around your warm hairs
You flinch, you jump
And eyes locked in eyes, we look deep down
Deep down inside ourselves, do you understand?
You understand, I know
Since you read in me everything I give you

Embedded and glued
Consciously you collapse and I think it's good
And now it's you who directs my hand
It's you who directs my hand and you cry with joy
We found each other in a single evening
And you cry, you cry, you cry
You cry, you cry, you cry, you cry

Couples look at us and smile kindly
I search like a madman for the keys to the apartment
I finish my cognac, we cross the room
Now I'm seeing double
The scents of your body fly over the tables
And your curves shimmer on the icy dance floor
On my black horse that leads us at a walk
Your skirt is pulled up
And your tanned thighs explode under my hands
The wind carries the music that spins in your hair
We arrive at my place
You crush my arm, you enter the room and undress
You grab me, you grip me, and you sink me into you
You want me whole
You eat me, you drink me, you want me, and you laugh
And you scream and you come
You come, you come, you come, you come, you come
You come, you come, you come, you come, you come