Текст и перевод песни Primordial - The Seed of Tyrants

The Seed of Tyrants

Traitor

These are the traitors you called out
One by one against the wall
You wanted the President's dead
And the wrists of the state
Bound in the books of the dead

The myths of martyrs
That you created
In the revolution
What will you do?

When the barren earth
That bears your scar (Your scar)
Demands the seed of tyrants (Of tyrants)
And not the reason (Reason) is stopping the mob (The mob)
And bound to the brothers of them all

The myths of martyrs (Martyrs)
That you created (You created)
In the revolution
Ring deep and hollow (Ring deep and hollow)
Now what will you do?
You know what you have today
For freedom

Where there should be rage
There is weeping and silent conformity
Where cities should burn
There is defeat
Raise pyre to infamy

Where are the hands that hewed our future from rubble
Not every statue to the great was conceit

If the church had one neck
I would wring it
If the state had one artery
I would sever it
Torches to the parliament of swine
And iron to the rights of fools

La graine des tyrans

Traître

Ce sont les traîtres que tu as dénoncés
Un par un contre le mur
Tu voulais la mort du président
Et les poignets de l'État
Liés dans les livres des morts

Les mythes des martyrs
Que tu as créés
Dans la révolution
Que feras-tu ?

Lorsque la terre stérile
Qui porte ta cicatrice (Ta cicatrice)
Exige la graine des tyrans (Des tyrans)
Et ce n'est pas la raison (La raison) qui arrête la foule (La foule)
Et liés aux frères de tous

Les mythes des martyrs (Martyrs)
Que tu as créés (Tu as créés)
Dans la révolution
Résonnent profond et creux (Résonnent profond et creux)
Maintenant, que feras-tu ?
Tu sais ce que tu as aujourd'hui
Pour la liberté

Là où il devrait y avoir de la rage
Il y a des pleurs et une conformité silencieuse
Là où les villes devraient brûler
Il y a la défaite
Élève un bûcher à l'infamie

Où sont les mains qui ont taillé notre avenir des décombres
Pas toutes les statues des grands étaient de la vanité

Si l'église avait un cou
Je l'étranglerais
Si l'État avait une artère
Je la couperais
Des torches pour le parlement des cochons
Et du fer pour les droits des imbéciles