Текст и перевод песни Radical Face - Summer Skeletons

Summer Skeletons

We were sun-burned and shoeless kids
It was the dead of July
We were skippin′ stones in the failing light
I smelled the fire place
Although we were miles away
We were infinite
There was no time in those days
When all we knew wasn't stolen
There was nothing real to lose
When our heads were still simple
We′d sleep beneath the moon
You were something
That would always be around
When regrets were nowhere to be found
Lost out among the trees
Our hands scraped the bark
You still had bloody knees
From your spill in the dark
We were both laughing then
While carving bad words in the wood
We had no need to speak
Night, down by the shore
We were down by the shore
When the skies opened up
And all the stars fell into the lake
When the water was warm
Walked in over my head
But you pulled me out by the collar of my shirt
Dirt in our ears, sun in our eyes
Shirts hung in rags, head in the clouds
Our fears had no teeth, hearts were still blind
You barely talked and I didn't mind

Squelettes d'été

Nous étions des enfants brûlés par le soleil, pieds nus
C'était le cœur de juillet
On lançait des pierres plates sur l'eau, dans la lumière déclinante
Je sentais l'odeur du feu de cheminée
Bien que nous en soyons éloignés de plusieurs kilomètres
Nous étions infinis
Il n'y avait pas de temps à cette époque
Où tout ce que nous connaissions n'était pas volé
Il n'y avait rien de réel à perdre
Quand nos esprits étaient encore simples
On dormait sous la lune
Tu étais quelque chose
Qui serait toujours là
Quand les regrets n'existaient pas encore
Perdus dans les arbres
Nos mains grattaient l'écorce
Tu avais encore les genoux ensanglantés
De ta chute dans l'obscurité
On riait tous les deux à ce moment-là
En gravant des mots grossiers dans le bois
On n'avait pas besoin de parler
La nuit, au bord de la mer
On était au bord de la mer
Quand le ciel s'est ouvert
Et que toutes les étoiles sont tombées dans le lac
Quand l'eau était chaude
J'ai marché jusqu'à la tête
Mais tu m'as sorti par le col de ma chemise
De la terre dans nos oreilles, du soleil dans nos yeux
Chemises en lambeaux, tête dans les nuages
Nos peurs n'avaient pas de dents, nos cœurs étaient encore aveugles
Tu ne parlais presque pas et ça ne me dérangeait pas