Текст и перевод песни Raimundo Amador - ¡Que Maravilla!

¡Que Maravilla!

La niña de mi vecina
Me tiene la cabeza medio loca
Primo, cuando me mira
Parece la Monna Lisa
Cuando asoma por la ventana
Del patio el interior de su sonrisa

Su padre era el alcalde
De un pueblo de Sevilla
Su madre era la reina
De un burdel que había en Tarifa

La dejaron siendo niña
En un hospicio de Melilla
Se casó com Mohammed
Que mojando la hizo diez

¡Qué maravilla!

Que maravilla. Que maravilla, ayayaya
Que maravilla. Que maravilla, ayayaya

Se suelta primero el pelo
Después tira la blusa lentamente
Y yo caigo en el suelo
Que mala cuando adivina
Que estoy en la penumbra de mi cuarto
Detrás de la cortina

Y decidí mandarle una carta clandestina
Con una cita a ciegas en el bar que hay en la esquina
Yo me pondré un pañuelo solapao en mi chaquetilla
Pa que tú me puedas ver lo apañao que puedo ser

Y como todos los días enganchao a las pasiones
Formulando sentimientos, trajinando corazones
Sentaíto en la escalera, sentaíto en la escalera
Ay, todo lo que sube baja
Y mi niña que no llega

Ay, que no llega

Que maravilla. Que maravilla, ayayaya
Que maravilla. Que maravilla, ayayaya

Quelle merveille !

La fille de ma voisine
Me rend fou
Mon ami, quand elle me regarde
Elle ressemble à la Joconde
Quand elle se penche par la fenêtre
Du patio, l’intérieur de son sourire

Son père était le maire
D’un village de Séville
Sa mère était la reine
D’un bordel à Tarifa

Elle a été laissée enfant
Dans un orphelinat de Melilla
Elle s’est mariée avec Mohammed
Qui l’a rendue mère de dix

Quelle merveille !

Quelle merveille. Quelle merveille, ayayaya
Quelle merveille. Quelle merveille, ayayaya

Elle relâche d’abord ses cheveux
Puis elle retire lentement son chemisier
Et je tombe au sol
Elle est mauvaise quand elle devine
Que je suis dans la pénombre de ma chambre
Derrière le rideau

Et j’ai décidé de lui envoyer une lettre clandestine
Avec un rendez-vous aveugle au bar du coin
Je mettrai un mouchoir sur ma veste
Pour que tu puisses voir à quel point je suis bien habillé

Et comme tous les jours accroché aux passions
Formulant des sentiments, triplant les cœurs
Assis sur l’escalier, assis sur l’escalier
Oh, tout ce qui monte descend
Et ma fille qui n’arrive pas

Oh, elle n’arrive pas

Quelle merveille. Quelle merveille, ayayaya
Quelle merveille. Quelle merveille, ayayaya