Текст и перевод песни Raly Barrionuevo - La Atardecida

La Atardecida

Qué lejana que estás otra vez
¡Oh, tu voz!
¿Dónde está?

Con el correr de los días
Pienso, a veces, que vas a volver
Ando diciendo tu nombre
Me duele la pena del atardecer

El camino me vuelve a llevar
Ay, la flor del amor

Ardida sobre mi pecho
Te recuerda como una canción
Te llora sobre los ojos
La tarde que nace de tu corazón

Ay, arroyo que sabes hablar
Palomita que al aire te vas
Cuéntale, nada más
Que, dolido, la vuelvo a llamar
Quiero cantar en la noche
La zamba que un día tendrás que llorar

Solitario, te vuelvo a pensar
Pura luz de jazmín

Cuando viene la nostalgia
Suelta el cielo su sombra otoñal
Solamente por amarte
A veces, andando, me da por cantar

Yo sé, triste, que siempre te vas
Ay, dolor de esperar

Pena del enamorado
Que solita me vuelve a crecer
En mi boca, tu recuerdo
De tanto cantarlo, se me vuelve miel

Ay, arroyo que sabes hablar
Palomita que al aire te vas
Cuéntale, nada más
Que, dolido, la vuelvo a llamar
Quiero cantar en la noche
La zamba que un día tendrás que llorar

Le crépuscule

Comme tu es loin encore une fois
Oh, ta voix !
Où est-elle ?

Avec le passage des jours
Je pense parfois que tu vas revenir
Je dis ton nom
La douleur du coucher de soleil me fait mal

Le chemin me ramène à nouveau
Oh, la fleur de l'amour

Brûlante sur ma poitrine
Elle te rappelle comme une chanson
Elle te pleure sur les yeux
Le soir qui naît de ton cœur

Oh, ruisseau qui sais parler
Petite colombe qui t'en vas dans l'air
Dis-lui, rien de plus
Que, blessé, je l'appelle à nouveau
Je veux chanter dans la nuit
La zamba que tu devras un jour pleurer

Seul, je pense à toi à nouveau
Pure lumière de jasmin

Quand la nostalgie arrive
Le ciel lâche son ombre automnale
Seulement pour t'aimer
Parfois, en marchant, j'ai envie de chanter

Je sais, triste, que tu pars toujours
Oh, douleur d'attendre

Douleur de l'amoureux
Qui grandit à nouveau seule en moi
Dans ma bouche, ton souvenir
A force de le chanter, il devient du miel

Oh, ruisseau qui sais parler
Petite colombe qui t'en vas dans l'air
Dis-lui, rien de plus
Que, blessé, je l'appelle à nouveau
Je veux chanter dans la nuit
La zamba que tu devras un jour pleurer