Текст и перевод песни Rapsoda - La Importancia de las Cosas

La Importancia de las Cosas

Soy un loco me desfogo hablando a la Luna,
Mi protocolo hago pogos solo entre la bruma,
Esfuman tus sueños, mis deseos son sencillos,
Me rasco mis bolos a través de los bolsillos.
Con los míos, vivo y esquivo dramas
Chico, no descuides nunca a la gente que amas.
La traición de un amigo es una cicatriz.
Aunque se cure la herida siempre queda ese matiz
Dolor, freno para no herirte tu mismo,
La crueldad, veneno del narcisismo.
Vacías, infravaloran las charlas banales,
Cubren los vacíos de quien no quiere contar sus planes.
Placeres parten de la necesidad sino cagar no molaría
¿Y que me dices de follar?
Y a volar man que la suerte es transitoria
Es normal que me entren pivas pero solo cuando tengo novia
Que es lo que te vuelve a pasar, que es lo que no soportas más,
Que agonía que eres chaval, que es lo que realmente importa,
Y ahora que no soportas que es lo que te tira pa atrás,
Que cansino que eres chaval, que es lo q realmente importa...
Que si hace frío, calor, poco, demasiado,
Nunca es suficiente para curar el tic del amargado,
Hipotecas, paro, palos crisis, problemas varios
Ahogarse en un vaso, es un acto rutinario.
Compara para ver te ha tocado el gordo
Guantánamo tornó al mundo mudo ciego y sordo
Sin juicios ni indicios, tortura en siglo XXI,
Otros se auto asfixian con sus malos humos.
Galanes preocupaos demasiado por su apariencia.
Don Juanes desdichados no encontraron aun parienta.
Casados, cansados, malviven su abstinencia,
El amor libre es más falso que el abrazo de la fiesta.
Sigo mi Objetivo, como un aprendiz,
Persigo lo q quiero y quiero ser feliz.
Que lo sean los míos coño seguimos vivos
Es fácil no, para que gruñir sin motivos
Que es lo que te vuelve a pasar, que es lo que no soportas más,
Que agonía que eres chaval, que es lo que realmente importa,
Y ahora que no soportas que es lo que te tira pa atrás,
Que cansino que eres chaval, que es lo q realmente importa...
El consumo, conduce a los mortales,
Confunde la calidad de vida con los bienes materiales.
Culto a los billetes, promesas, mentiras,
La vida son dos días no confundas tu punto de mira.
Yo también quiero vivir como reyes,
Chupar sin trabajar, viajar y que te paguen los hoteles
Más mis placeres son laureles que no están en venta,
Los pobres ricos preocupaos por engordar la cuenta.
Ansiedades, consecuencia de ansias,
Hacia algo que no alcanzas, aun fuera de distancia.
Constancia, la esencia del perfeccionista,
La libertad, mi conquista idealista,
Pequeños seres Somos homos con egos gigantes,
Hormigas desde el cielo en suelo somos contrincantes,
Sin orgullo, como no, si te pisa hasta el de adelante,
Pudiera ser motivo también pa que no te aguante.
Que es lo que te vuelve a pasar, que es lo que no soportas más,
Que agonía que eres chaval, que es lo que realmente importa,
Y ahora que no soportas que es lo que te tira pa atrás,
Que cansino que eres chaval, que es lo q realmente importa...

L'importance des choses

Je suis un fou, je me défoule en parlant à la Lune,
Mon protocole, je fais des pogos seul dans la brume,
Tes rêves s'évaporent, mes désirs sont simples,
Je me gratte les bijoux de famille à travers mes poches.
Avec les miens, je vis et j'évite les drames,
Mec, ne néglige jamais les gens que tu aimes.
La trahison d'un ami est une cicatrice.
Même si la blessure guérit, il reste toujours cette nuance
Douleur, je freine pour ne pas te blesser toi-même,
Cruauté, poison du narcissisme.
Vides, ils sous-estiment les conversations banales,
Ils comblent les vides de celui qui ne veut pas raconter ses plans.
Les plaisirs naissent du besoin, sinon chier ne serait pas cool
Et que dis-tu de baiser ?
Et de voler mec, la chance est transitoire
C'est normal que des filles me draguent, mais seulement quand j'ai une copine
Qu'est-ce qui t'arrive encore, qu'est-ce que tu ne supportes plus,
Quelle agonie tu es mon pote, qu'est-ce qui compte vraiment,
Et maintenant que tu ne supportes plus, qu'est-ce qui te tire en arrière,
Comme tu es pénible mon pote, qu'est-ce qui compte vraiment...
Qu'il fasse froid, chaud, peu, trop,
Ce n'est jamais assez pour guérir le tic de l'amer,
Hypothèques, chômage, coups durs, crises, problèmes divers
Se noyer dans un verre d'eau est un acte routinier.
Compare pour voir, tu as touché le jackpot
Guantánamo a rendu le monde muet, aveugle et sourd
Sans jugement ni indice, la torture au XXIe siècle,
D'autres s'auto-asphyxient avec leurs mauvaises fumées.
Des beaux gosses trop préoccupés par leur apparence.
Don Juan malheureux n'ont pas encore trouvé de compagne.
Mariés, fatigués, ils vivent mal leur abstinence,
L'amour libre est plus faux que l'étreinte de la fête.
Je poursuis mon objectif, comme un apprenti,
Je poursuis ce que je veux et je veux être heureux.
Que les miens le soient aussi, on est encore en vie
Ce n'est pas facile, pourquoi grogner sans raison
Qu'est-ce qui t'arrive encore, qu'est-ce que tu ne supportes plus,
Quelle agonie tu es mon pote, qu'est-ce qui compte vraiment,
Et maintenant que tu ne supportes plus, qu'est-ce qui te tire en arrière,
Comme tu es pénible mon pote, qu'est-ce qui compte vraiment...
La consommation conduit les mortels,
Confond la qualité de vie avec les biens matériels.
Culte des billets, promesses, mensonges,
La vie ne dure que deux jours, ne confonds pas ton objectif.
Moi aussi je veux vivre comme des rois,
Sucer sans travailler, voyager et se faire payer les hôtels
Mais mes plaisirs sont des lauriers qui ne sont pas à vendre,
Les pauvres riches préoccupés par l'engraissement du compte.
Anxiétés, conséquence des envies,
Vers quelque chose que tu n'atteins pas, même à distance.
Constance, l'essence du perfectionniste,
La liberté, ma conquête idéaliste,
Petits êtres, nous sommes des hommes aux ego gigantesques,
Fourmis vues du ciel, sur le sol nous sommes des adversaires,
Sans fierté, comment le pourrait-on, si même celui de devant te marche dessus,
Ce pourrait être une raison aussi pour qu'il ne te supporte pas.
Qu'est-ce qui t'arrive encore, qu'est-ce que tu ne supportes plus,
Quelle agonie tu es mon pote, qu'est-ce qui compte vraiment,
Et maintenant que tu ne supportes plus, qu'est-ce qui te tire en arrière,
Comme tu es pénible mon pote, qu'est-ce qui compte vraiment...