Historias
del
polen
dale
un
pokitin
de
fuerza
armonia
y
respiracion
a
este
dislocado
cuerpo
a
este
preciado
instrumento
a
este
proceso
de
argumentos
a
este
jumento
con
sobrepeso
lanzo
un
beso
al
aire
y
pegara
en
tus
movimientos
os
lo
aseguro
hijos
de
se
que
las
estrellas
mueren
la
vida
es
corta
se
que
las
buenas
cosas
desaparecen
pero
no
me
importa
sois
tan
falsos
que
pensais
que
soy
mentira
en
el
ambiente
se
respira
ira
falsedad
y
alguna
que
otra
ansiedad
suicida
mundo
no
es
nuestro
el
mundo
era
de
unos
a
los
que
mataron
y
por
eso
apesto
el
mundo
era
de
unos
y
de
unas
animales
y
hombres
honestos
y
mis
anfestros
despues
de
haber
estao
en
la
pobreza
pura
de
saber
que
ni
si
quiera
el
tiempo
tiene
cura
a
esta
esquizofrenia
a
esta
anemia
inmadura
esta
locura
campoco
digna
de
ser
mia
despues
de
haber
estao
en
la
pobreza
pura
se
se
que
circula
la
sangre
a
duras
y
maduras
mis
aventuras
deben
de
ser
buen
punto
de
mirase
que
vida
no
gira
en
torno
a
la
"dura
suicida"
porque
vivir
cuando
no
es
justo
y
porque
morir
del
susto
y
ser
un
muerto
viviente
con
disgusto
a
penas
pido
un
equilibrio
deberas
quisera
morirme
en
aquellos
momentos
que
soy
secuestrado
por
putos
delirios
y
olvidarme
el
par
de
lirios
en
el
jardin
saber
que
llego
mi
fila
siendo
un
chavalin
me
voy
a
hechar
una
meada
en
tu
palacio
me
voy
a
quedar
como
si
nada
nada
despacio
otro
epitacio
precio
de
otra
balada
otro
mal
o
buen
presagio
sacio
mi
atolondrada-da
di-di
voy
en
busca
de
otra
actividad
ya
que-que
me
fustra
la
dramatica
ansiedad
que
nos
de-depara
por
esta
triste
ciudad
donde-de
pecamos
en
mental
enfermedad
porque-que
quemamos
toda
naturalidad
buscan-can
buscando
la
mentira
a
la
verdad
nos
han-han
comido
el
tarro
con
tanta
facilidad
y
hoy
por
hoy
felicidad
pocos
la
conocen
ya
la
gente
ya
no
cree
en
vosotras
estrellas
piedras
señales
de
la
vida
con
sus
pros
y
sus
contras
la
gente
ahora
aprovechan
el
tiempo
para
irse
de
compras
en
vez
de
irse
a
las
montañas
tontos
y
tontas
España
si
algo
de
tormenta
y
de
migrañas
la
fiebre
la
acompaña
la
liebre
corre
asi
se
las
apaña
para
escaparse
del
zorro
el
perro
y
la
alimaña
que
es
el
hombre
que
actua
en
el
nombre
de
la
nada
yo
camino
despacio
hacia
el
palacio
de
la
suerte
condenada
a
otro
epitacio
precio
de
otra
balada
otro
mal
o
buen
presagio
sacio
mi
atolondrada
reaccion
de
la
sagrada
condición
de
no
querer
aprovecharme
de
esta
jodida
nación
de
no
querer
ser
producto
viven
de
el
cada
canción
no
ser
agua
de
acueducto
y
encontrarme
en
la
prisión
yes
yes
you
dame
un
poco
de
esto
necesitas
un
niño
con
problemas
yo
me
presto
pero
escuchenme
escuchense
saquen
conclusiones
con
clase
acerca
de
la
ley
la
desesperacion
del
mundohumano
el
hombre
se
lava
las
manos
se
pelean
jankys
con
afganos
ahora
se
juntan
los
payos
con
los
gitanos
los
moros
con
los
blancos
que
lo
he
visto
en
los
bancos
los
de
la
marga
mi
barrio
mi
carma
mi
radio
mi
año
tras
año
en
el
calendario
magdalena
la
la
crema
de
la
crema
la
hierbabuena
y
la
buena
mierda
no
te
suena
yeah
yeah
historias
del
polen
no
te
suena
en
este
tango
de
palabras
es
este
dislocado
cuerpo
lleno
de
amargas
circunstancias
que
desangran
historias
del
polen
yeahh
bien
bien
otro
epitacio
otra
balada
ayer
con
ignacio
cuando
ahaciamos
rap
bayviribay
yeahhh
aki
estamos
hijos
de
que
Histoires
du
pollen,
donne
un
peu
de
force,
d'harmonie
et
de
respiration
à
ce
corps
disloqué,
à
cet
instrument
précieux,
à
ce
processus
d'arguments,
à
ce
bourricot
en
surpoids.
J'envoie
un
baiser
en
l'air
et
il
se
posera
sur
tes
mouvements,
je
t'assure
ma
belle.
Les
étoiles
meurent,
la
vie
est
courte,
je
sais
que
les
bonnes
choses
disparaissent
mais
je
m'en
fous.
Vous
êtes
si
faux
que
vous
pensez
que
je
suis
un
mensonge.
On
respire
la
colère,
la
fausseté
et
une
certaine
anxiété
suicidaire
dans
l'air.
Le
monde
n'est
pas
le
nôtre,
le
monde
appartenait
à
ceux
qu'on
a
tués
et
c'est
pour
ça
qu'il
pue.
Le
monde
appartenait
à
des
hommes
et
des
femmes,
des
animaux
honnêtes,
et
à
mes
ancêtres.
Après
avoir
connu
la
misère
noire,
savoir
que
même
le
temps
ne
peut
guérir
cette
schizophrénie,
cette
anémie
immature,
cette
folie
champêtre
digne
d'être
mienne.
Après
avoir
connu
la
misère
noire,
je
sais
que
le
sang
circule
à
travers
mes
veines,
mes
aventures
doivent
être
un
bon
sujet
de
conversation.
Tu
sais,
la
vie
ne
tourne
pas
autour
de
la
"dure
suicidaire",
pourquoi
vivre
quand
ce
n'est
pas
juste
et
pourquoi
mourir
de
peur
et
être
un
mort-vivant
dégoûté
? Je
ne
demande
qu'un
équilibre,
j'aimerais
mourir
dans
ces
moments
où
je
suis
kidnappé
par
de
foutus
délires,
et
oublier
la
paire
de
lys
dans
le
jardin,
savoir
que
mon
tour
est
arrivé
alors
que
je
suis
encore
un
gamin.
Je
vais
aller
pisser
sur
ton
palais,
je
vais
rester
là
comme
si
de
rien
n'était,
un
autre
épitaphe,
le
prix
d'une
autre
ballade,
un
autre
mauvais
ou
bon
présage,
je
comble
ma
folie
douce.
Je
pars
à
la
recherche
d'une
autre
activité,
car
l'anxiété
dramatique
que
nous
procure
cette
triste
ville
me
frustre,
où
nous
péchons
par
maladie
mentale
parce
que
nous
brûlons
toute
naturalité.
Ils
cherchent
la
vérité
dans
le
mensonge,
ils
nous
ont
eu
à
l'usure
avec
tant
de
facilité
et
aujourd'hui,
le
bonheur,
peu
le
connaissent.
Les
gens
ne
croient
plus
en
vous,
les
étoiles,
les
pierres,
les
signes
de
la
vie
avec
ses
avantages
et
ses
inconvénients.
Les
gens
profitent
maintenant
du
temps
pour
faire
du
shopping
au
lieu
d'aller
à
la
montagne,
imbéciles.
L'Espagne,
c'est
un
peu
d'orage
et
de
migraines,
la
fièvre
l'accompagne,
le
lièvre
court,
c'est
comme
ça
qu'il
s'en
sort
pour
échapper
au
renard,
au
chien
et
à
la
bête
qu'est
l'homme
qui
agit
au
nom
de
rien.
Je
marche
lentement
vers
le
palais
de
la
chance
condamnée
à
un
autre
épitaphe,
le
prix
d'une
autre
ballade,
un
autre
mauvais
ou
bon
présage,
je
comble
ma
réaction
folle,
la
sainte
condition
de
ne
pas
vouloir
profiter
de
cette
putain
de
nation,
de
ne
pas
vouloir
être
un
produit
dont
chaque
chanson
vit,
de
ne
pas
être
de
l'eau
du
robinet
et
de
me
retrouver
en
prison.
Oui,
oui,
donne-moi
un
peu
de
ça,
tu
as
besoin
d'un
enfant
à
problèmes,
je
me
porte
volontaire,
mais
écoutez-moi,
tirez
des
conclusions
avec
classe
sur
la
loi,
le
désespoir
du
monde
humain.
L'homme
se
lave
les
mains,
les
Yankees
se
battent
contre
les
Afghans,
maintenant
les
gitans
s'unissent
aux
gitans,
les
Maures
aux
Blancs,
je
l'ai
vu
dans
les
banques,
ceux
de
la
marge,
mon
quartier,
mon
karma,
ma
radio,
mon
année
après
année
dans
le
calendrier,
Madeleine,
la
crème
de
la
crème,
la
verveine
et
la
bonne
merde,
ça
ne
te
parle
pas
hein
? Ouais,
ouais,
les
histoires
du
pollen,
ça
ne
te
parle
pas
dans
ce
tango
de
mots,
c'est
ce
corps
disloqué
plein
de
circonstances
amères
qui
saignent
des
histoires
de
pollen.
Ouais,
bien,
bien,
un
autre
épitaphe,
une
autre
ballade,
hier
avec
Ignacio,
quand
on
faisait
du
rap
bayviribay,
ouais,
on
est
là
les
enfants
de...