Текст и перевод песни Rapsusklei feat. AL2 El Aldeano - Hasta Que Sucedió

Hasta Que Sucedió

Solo por un segundo, imaginémonos,
Que estamos frente a frente en un cuarto usted y yo,
Que en la pasión de un beso, nos fundimos los dos,
Tanto lo soñamos hasta que sucedió.
Que te quito la ropa,
Y te beso en la boca he!
Tanto lo soñamos hasta que sucedió,
El deseo del alma unió nuestros cuerpos,
Revivió lo que estaba en si ya casi muerto,
Los ojos cerrados y el corazón abierto,
Tanto lo soñamos hasta que sucedió.

Mi cuerpo es como un planeta igual, en el tuyo estrello,
Me vuelve loco enredarme en la magia de tu cabello,
No puedes dejar que muera este sentimiento bello,
Tú solo seras princesa en la choza de este plebeyo.
Yo busco una explicación mas no sé lo que sucede,
Y me pongo nervioso no existe pastilla que me sede,
Solo sé cuando te veo que algo dentro se me mueve,
Y me quedo mojado, como la calle cuando llueve.
Eres algo inexplicable, preciosa como un jazmín,
Al verte, mami mi estomago brinca como un delfín,
Mirarte me hace sentir, un escalofrío sin fin,
Flotar como un simple globo en un huracán bailarín.
Quiero ser el caballo que entre tus tierras galopa,
Mientras tu aliento y el mío por el camino se topan,
Para que tanta etiqueta, atuendos, lujos y copas,
Si los mejores instantes, mi amor, se pasan sin ropa.
So, no quiero sexo, quiero su amor,
Sentir en mis huesos sus besos también su calor,

Estar preso en su interior sin regreso al dolor.
Por eso le pido que me deje darle esta flor ¡Ah!

Solo por un segundo, imaginémonos,
Que estamos frente a frente en un cuarto usted y yo,
Que en la pasión de un beso, nos fundimos los dos,
Tanto lo soñamos hasta que sucedió.
Que te quito la ropa,
Y te beso en la boca he!
Tanto lo soñamos hasta que sucedió,
El deseo del alma unió nuestros cuerpos,

Revivió lo que estaba en si ya casi muerto,
Los ojos cerrados y el corazón abierto,
Tanto lo soñamos hasta que sucedió.

Hasta que sucedió y volamos en destellos,
Calmando la sed, como en el desierto los camellos,
Que complicados son los sueños,
Que quieren ser libres pero viven siempre a manos de sus dueños.
Y yo que soñaba las estrellas,
Tú me subías al cielo, y del cielo te bajaba todas ellas,
Para acercarlas al barco de tú fortuna,
Y pescar entre charcos...¡Uf! retazos de luz de luna.
Y ya no sé vivir sin ti, y no puedo morirme aun,
Tantas veces que perdí, niña el sentido común,
Si alguna vez te mentí, es por que arrastro una cruz,
Pero no me arrepentí de soñarte tu eres la luz de mis pupilas.
El amor esta llamando a mi puerta,
Es como un blues, esta llorando en una lengua muerta,
El dolor queda lejos, la pasión esta cerca,

Y los versos del poeta murieron a ciencia cierta.

So, no quiero sexo, quiero su amor,
Sentir en mis huesos sus besos también su calor,
Estar preso en su interior sin regreso al dolor,
Por eso le pido que me deje darle esta flor ¡Ah!

Solo por un segundo, imaginémonos,
Que estamos frente a frente en un cuarto usted y yo,
Que en la pasión de un beso, nos fundimos los dos,
Tanto lo soñamos hasta que sucedió.
Que te quito la ropa,
Y te beso en la boca he!
Tanto lo soñamos hasta que sucedió,
El deseo del alma unió nuestros cuerpos,
Revivió lo que estaba en si ya casi muerto,
Los ojos cerrados y el corazón abierto,
Tanto lo soñamos hasta que sucedió.

Jusqu'à ce que ça se produise

Juste pour une seconde, imaginons,
Que nous sommes face à face dans une chambre, toi et moi,
Que dans la passion d'un baiser, nous fusionnons tous les deux,
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise.
Que je te déshabille,
Et que je t'embrasse sur la bouche hé !
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise,
Le désir de l'âme a uni nos corps,
Il a ravivé ce qui était presque mort,
Les yeux fermés et le cœur ouvert,
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise.

Mon corps est comme une planète semblable, dans le tien, je m'écrase,
Je deviens fou en m'emmêlant dans la magie de tes cheveux,
Tu ne peux pas laisser mourir ce beau sentiment,
Tu seras la seule princesse dans la cabane de ce plébéien.
Je cherche une explication mais je ne sais pas ce qui se passe,
Et je deviens nerveux, il n'y a pas de pilule qui puisse me calmer,
Je sais seulement que quand je te vois, quelque chose bouge en moi,
Et je me retrouve trempé, comme la rue quand il pleut.
Tu es inexplicable, précieuse comme un jasmin,
Quand je te vois, ma belle, mon estomac saute comme un dauphin,
Te regarder me donne des frisssons sans fin,
Flotter comme un simple ballon dans un ouragan dansant.
Je veux être le cheval qui galope sur tes terres,
Pendant que ton souffle et le mien se rencontrent sur le chemin,
Pourquoi tant d'étiquettes, de tenues, de luxe et de coupes,
Si les meilleurs moments, mon amour, se passent sans vêtements.
Alors, je ne veux pas de sexe, je veux ton amour,
Sentir sur mes os tes baisers et ta chaleur,

Être prisonnier de ton être sans retour à la douleur.
C'est pourquoi je te demande de me laisser t'offrir cette fleur ¡Ah!

Juste pour une seconde, imaginons,
Que nous sommes face à face dans une chambre, toi et moi,
Que dans la passion d'un baiser, nous fusionnons tous les deux,
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise.
Que je te déshabille,
Et que je t'embrasse sur la bouche hé !
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise,
Le désir de l'âme a uni nos corps,

Il a ravivé ce qui était presque mort,
Les yeux fermés et le cœur ouvert,
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise.

Jusqu'à ce que ça arrive et qu'on s'envole en éclats,
Étanchant la soif, comme les chameaux dans le désert,
Que les rêves sont compliqués,
Ils veulent être libres mais vivent toujours entre les mains de leurs maîtres.
Et moi qui rêvait des étoiles,
Tu me faisais monter au ciel, et du ciel, tu me les faisais toutes descendre,
Pour les rapprocher du navire de ta fortune,
Et pêcher dans les flaques... ¡Uf! des morceaux de clair de lune.
Et je ne sais plus vivre sans toi, et je ne peux pas encore mourir,
Tant de fois j'ai perdu, ma belle, le sens commun,
Si jamais je t'ai menti, c'est parce que je traîne une croix,
Mais je ne regrette pas de t'avoir rêvée, tu es la lumière de mes yeux.
L'amour frappe à ma porte,
C'est comme un blues, il pleure dans une langue morte,
La douleur est loin, la passion est proche,

Et les vers du poète sont morts à coup sûr.

Alors, je ne veux pas de sexe, je veux ton amour,
Sentir sur mes os tes baisers et ta chaleur,
Être prisonnier de ton être sans retour à la douleur,
C'est pourquoi je te demande de me laisser t'offrir cette fleur ¡Ah!

Juste pour une seconde, imaginons,
Que nous sommes face à face dans une chambre, toi et moi,
Que dans la passion d'un baiser, nous fusionnons tous les deux,
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise.
Que je te déshabille,
Et que je t'embrasse sur la bouche hé !
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise,
Le désir de l'âme a uni nos corps,
Il a ravivé ce qui était presque mort,
Les yeux fermés et le cœur ouvert,
On l'a tellement rêvé jusqu'à ce que ça se produise.