Текст и перевод песни Rayden - Malaria

Malaria

Nunca desearé el mal a nadie,
Pero a males que son indeseables,
Males con nombre y apellidos,
Que aunque no les nombre saben quién les digo.
Mal de muchos nunca nos consuela,
Mal de muchos nunca nos consuela,
Si no hay males que por bien no vengan,
Que se vayan y no den la vuelta.

Hay males innombrables, con paraísos fiscales,
Males sucesivos, supresivos, subversivos, males...
Con escaños dando el esquinazo, esquivos,
Tapando el número de placa, males consentidos,
Males con sotana, males mantenidos,
Homófobos, xenófobos y reprimidos.
Males en la banca, males en obras sociales,
Robando con preferentes, desahuciando familiares,
Males que mal quieren con orden de alejamiento,
Males maquillados, males en cubierto,
Que levantan la voz y la mano al viento,
Males malparidos que provocan sufrimiento,
Males con tijera recortando libertades,
Males con guadaña matando en son de paz,
Males que desolan tierras y etnias por petróleo,
Oro blanco, oro verde, oro negro, Trump.
Males con enchufe, en compañías eléctricas,
Males con inmunidad diplomática,
Sin moral ni ética, que están en farmacéuticas,
Males que niegan la ayuda y asistencia médica.
Males de muchos, males de tontos,
Males de ojo y el mal de amor
Tengan cuidado si vienen por nosotros,
Si ellos se creen malos nosotros seremos peor.

De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno pero tonto no.

Hay grandes males creados por ellos,
Grandes remedios, males virales, males en medios,
Males con bienes, que salen y evaden impuestos,
Males que van puestos y se evaden, animales.
Males que vienen y se van,
Que andan tan preocupados por el miedo al qué dirán,
Malparados, que se irán para buscar el pan,
Y el mal actual, el acomodo, cambiar el globo desde el sofá
Males como el heteropatriarcado,
Que no conciben dos papas cogidos de la mano,
Males de estado, el machismo comercializado
Que cosifica a la mujer como mujer objeto,
De un sujeto rebajado,
Males no se arreglan, no se solucionarán,
Males que se hacen más grandes y que vienen con la edad,
Y para colmo de males, el que está a pie de las calles,
Que solo buscan bondades cuando el mal está hecho ya.

De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno pero tonto no.

Y cuando soplen las serpentinas las serpientes de mala lengua,
Las nuestras serán las únicas que no se corten ni se muerdan,
Sin con la misma moneda los venderemos al mejor postor
Y haremos del mundo un lugar mejor, un mundo en el que se queden fuera.

De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno, a malas lo peor,
De buenas bueno pero tonto no.

Nunca desearé el mal a nadie,
Pero a males que son indeseables,
Males con nombre y apellidos,
Que aunque no les nombre saben quien les digo,
Mal de muchos nunca nos consuela,
Mal de muchos nunca nos consuela,
Si no hay males que por bien no vengan,
Que se vayan y no den la vuelta.

Malaria

Jamais je ne souhaiterai le mal à personne,
Mais à des maux qui sont indésirables,
Des maux avec noms et prénoms,
Que même si je ne les nomme pas, ils savent à qui je parle.
Le malheur des autres ne nous console jamais,
Le malheur des autres ne nous console jamais,
S’il n'y a pas de mal qui n'arrive sans bien,
Qu'ils s'en aillent et ne reviennent pas.

Il y a des maux innommables, avec des paradis fiscaux,
Des maux successifs, suppressifs, subversifs, des maux...
Avec des sièges faisant le trottoir, esquives,
Cachant le numéro de plaque, des maux consentis,
Des maux en soutane, des maux entretenus,
Homophobes, xénophobes et réprimés.
Des maux dans la banque, des maux dans les œuvres sociales,
Voler avec des actions privilégiées, expulser des familles,
Des maux qui veulent du mal avec une ordonnance d'éloignement,
Des maux maquillés, des maux cachés,
Qui élèvent la voix et la main au vent,
Des maux pourris qui provoquent la souffrance,
Des maux avec des ciseaux coupant les libertés,
Des maux avec une faux tuant au son de la paix,
Des maux qui dévastent des terres et des ethnies pour le pétrole,
Or blanc, or vert, or noir, Trump.
Des maux avec piston, dans les compagnies électriques,
Des maux avec immunité diplomatique,
Sans morale ni éthique, qui sont dans les produits pharmaceutiques,
Des maux qui refusent l'aide et l'assistance médicale.
Malheurs des autres, malheurs des sots,
Mauvais œil et mal d'amour
Faites attention s'ils viennent nous chercher,
S'ils se croient mauvais, nous serons pires.

De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes mais pas bête.

Il y a de grands maux créés par eux,
De grands remèdes, des maux viraux, des maux dans les médias,
Des maux avec des biens, qui sortent et évadent les impôts,
Des maux qui se pointent et s’échappent, des animaux.
Des maux qui vont et viennent,
Qui sont tellement préoccupés par la peur du qu'en-dira-t-on,
Mal en point, qui partiront chercher le pain,
Et le mal actuel, le confort, changer le monde depuis son canapé
Des maux comme l'hétéropatriarcat,
Qui ne conçoivent pas deux papas se tenant la main,
Des maux d'état, le machisme commercialisé
Qui chosifie la femme comme femme objet,
D'un sujet rabaissé,
Les maux ne s'arrangent pas, ne se résoudront pas,
Des maux qui s'aggravent et qui viennent avec l'âge,
Et pour couronner le tout, celui qui est au ras des pâquerettes,
Qui ne cherchent des bontés que lorsque le mal est fait.

De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes mais pas bête.

Et quand souffleront les serpentins, les serpents de mauvaise langue,
Les nôtres seront les seules à ne pas se couper ni se mordre,
Sans pour autant, nous ne les vendrons pas au plus offrant
Et nous ferons du monde un meilleur endroit, un monde où ils resteront dehors.

De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes, de mauvaises, les pires,
De bonnes, bonnes mais pas bête.

Jamais je ne souhaiterai le mal à personne,
Mais à des maux qui sont indésirables,
Des maux avec noms et prénoms,
Que même si je ne les nomme pas, ils savent à qui je parle.
Le malheur des autres ne nous console jamais,
Le malheur des autres ne nous console jamais,
S’il n'y a pas de mal qui n'arrive sans bien,
Qu'ils s'en aillent et ne reviennent pas.