Текст и перевод песни Rayden con Zeidah y El Chojin - Da igual

Da igual

Tu mierda de letra va directa al retrete,
No procede que hables de verdes
Si tu rap no es consecuentemente fuerte.
Estoy hablando de esas bocas grandes,
No saben medirse y luego dan vergüenza ajena siempre.
No eres un gangster, atiende:
La única pipa que ves es la que se pela y se vende.
No represento nada más de lo que estoy diciendo,
Otros dicen ser eso que nunca podrán serlo.
Ocupo el tiempo, yo respeto al Hip-Hop,
Ellos quieren joderlo, mi voz esta en el micro.
Esos son los que hablan de respeto,
Luego se piran de la sala cuando terminan el concierto.
Los mas frescos, tontos que creen ser Dios,
Yo estoy sonando en bombos sobre ritmos sucios.
Trabajo mejor a presión, y sé seguro que hasta
El dia de mi muerte seré consecuente con lo que escupo.
Da igual... Lo que hagas,
Dime de que presumes y luego echaremos cuentas.
Da igual... Lo que te metas,
Si luego en una sala no te metes una mierda.
Da igual... Lo que muevas,
Si nunca llegas, siempre te quedas a las puertas.
Porque tú, porque yo y todo ese royo de siempre ante el micro,
Rapero de viernes cada finde el mismo rito, no compito.
De cada escrito mío se desprende,
Que prefiero mi padre y mis letras a porros y litros.
No os necesito. Y tampoco me divierte,
Mitad de diferente, verte puesto de perico.
Estar en tu garito viendo pasar pan caliente,
Con más frío que Diciembre mas nieve que en villancicos.
Si quieres lo repito, paso de treces catorces,
De tus ciegos del 15, pareces de la Once.
Quizás un niño rico que está jugando a ser hombre
Y nunca pasar hambre lo hará mas mayorcito.
Haz esfuerzos de vicios, yo canciones de mis dones
Daños y decir que de si solo pongan que te pone.
Dices que el mundo es drama y mueves armas caballero
Quien tiene mala fama no hablaría de ello.
Da igual... Lo que hagas,
Dime de que presumes y luego echaremos cuentas.
Da igual... Lo que te metas,
Si luego en una sala no te metes una mierda.
Da igual... Lo que muevas,
Si nunca llegas, siempre te quedas a las puertas.
Amigo pon atención,
Te voy ha hacer un favor, comparteme una lección.
Y es que estoy harto de decir que no soy profesor
Pero conozco el Hip-Hop y usted comete un error.
Verás, yo también creía haber inventado el Hip-Hop
Que yollevaba razón, en toda conversación.
Y no, todo lo que inventes tío ya se inventó
Y te disfraces o no, no llamarás la atención.
Así que no te flipes, no imites.
Ni eres Yankee ni eres un Killer.
La peña sólo quiere a alguien con quien se identifique,
Un tipo que rinde, el crimen es para el cine.
No es que me importe que del Hip-Hop te suicides,
Chaval tu decides, puedes hacerlo que estimes.
Pero estudia la historia y si ves que algo se repite,
Los que inventan no sobreviven.
Da igual... Lo que hagas,
Dime de que presumes y luego echaremos cuentas.
Da igual... Lo que te metas,
Si luego en una sala no te metes una mierda.
Da igual... Lo que muevas,
Si nunca llegas, siempre te quedas a las puertas.

Peu importe

Tes paroles à la con vont direct aux toilettes,
Tu n'es pas en position de parler d'oseille
Si ton rap n'est pas assez costaud.
Je parle de ces grandes gueules,
Ils ne savent pas se contrôler et finissent toujours par nous mettre mal à l'aise.
Tu n'es pas un gangster, écoute :
La seule pipe que tu vois, c'est celle qui s'épluche et se vend.
Je ne représente rien de plus que ce que je dis,
D'autres prétendent être ce qu'ils ne pourront jamais être.
J'occupe le temps, je respecte le Hip-Hop,
Ils veulent le baiser, ma voix est au micro.
Ce sont eux qui parlent de respect,
Puis ils se tirent de la salle quand le concert est fini.
Les plus frais, des imbéciles qui se prennent pour Dieu,
Je tourne sur des grosses caisses, des rythmes crades.
Je travaille mieux sous pression, et je sais qu'au moins
Jusqu'à ma mort, je serai en accord avec ce que je crache.
Peu importe... Ce que tu fais,
Dis-moi de quoi tu te vantes et on réglera nos comptes plus tard.
Peu importe... Ce que tu vises,
Si au final, dans une salle, tu ne fous rien.
Peu importe... Ce que tu bouges,
Si tu n'arrives jamais, tu restes toujours à la porte.
Parce que toi, parce que moi et tout ce baratin habituel devant le micro,
Rappeur du vendredi, chaque week-end le même rituel, je ne suis pas en compétition.
De chacun de mes écrits se dégage,
Que je préfère mon père et mes textes aux joints et aux litres.
Je n'ai pas besoin de vous. Et ça ne m'amuse pas non plus,
Moitié différent, de te voir défoncé à la coke.
Être dans ton appart' à regarder passer la came,
Avec plus froid qu'en Décembre, plus de neige que dans les chants de Noël.
Si tu veux je répète, je me fous de tes treize quatorze,
De tes aveugles du 15, on dirait la Loterie Nationale.
Peut-être un fils à papa qui joue à être un homme
Et ne jamais avoir faim le rendra plus mature.
Fais des efforts de vices, moi des chansons de mes dons
Des dégâts et dis que oui seulement s'ils te font bander.
Tu dis que le monde est un drame et tu brandis des armes, chevalier
Celui qui a mauvaise réputation n'en parlerait pas.
Peu importe... Ce que tu fais,
Dis-moi de quoi tu te vantes et on réglera nos comptes plus tard.
Peu importe... Ce que tu vises,
Si au final, dans une salle, tu ne fous rien.
Peu importe... Ce que tu bouges,
Si tu n'arrives jamais, tu restes toujours à la porte.
Mon pote, fais attention,
Je vais te faire une fleur, partage une leçon avec moi.
Et j'en ai marre de dire que je ne suis pas un professeur
Mais je connais le Hip-Hop et tu fais une erreur.
Tu vois, moi aussi je pensais avoir inventé le Hip-Hop
Que j'avais raison, dans chaque conversation.
Et non, tout ce que tu inventes, mec, ça a déjà été inventé
Et que tu te déguises ou non, tu n'attireras pas l'attention.
Alors ne t'enflamme pas, n'imite pas.
Tu n'es ni un Yankee ni un Killer.
Les gens veulent juste quelqu'un à qui s'identifier,
Un mec qui assure, le crime c'est pour le cinéma.
Ce n'est pas que ça me dérange que tu te suicides pour le Hip-Hop,
Mec, c'est toi qui décides, tu peux faire ce que tu veux.
Mais étudie l'histoire et si tu vois que quelque chose se répète,
Ceux qui inventent ne survivent pas.
Peu importe... Ce que tu fais,
Dis-moi de quoi tu te vantes et on réglera nos comptes plus tard.
Peu importe... Ce que tu vises,
Si au final, dans une salle, tu ne fous rien.
Peu importe... Ce que tu bouges,
Si tu n'arrives jamais, tu restes toujours à la porte.