Текст и перевод песни Renaud feat. Axelle Red - Manhattan-Kaboul (Live, Tournée Rouge Sang)

Manhattan-Kaboul (Live, Tournée Rouge Sang)

Petit porto riquin
Bien intégré quasiment new yorkais
Dans mon building tout de verre et d'acier
Je prend mon job un ral de coach en café
Petite fille à Cannes
De l'autre côté de la terre
Jamais entendu parler de Manhattan
Mon petit gain c'est la misère et la guerre
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes et pourtant...
Pulvérisé sur l'hôtel, d'la violence éternelle...
Un 747
S'est explosé dans mes fenêtres
Mon ciel si bleu est devenu orage
Lorsque les pauvres ont rasé mon village
Deux étrangers au bout du monde si différents
Deux inconnus, deux anonymes et pourtant...
Pulvérisé sur l'hôtel, d'la violence éternelle
So langue à de mon rêve américain
Moi, plus jamais esclave des chiens
Puis d'un porai esclave des tyrans
Sur la route qui jamais haie le courant
Suis redevenu poussière
Je serai pas maître de l'univers
Ce pays que j'aimais tellement serait-il
Finalement colosse au pied d'argile?
Les Dieux, les religions
L' égard de civilisation
Les années dras pour les patries, les nations
Font toujours de nous de la chair à canon
Deux étrangers au bout du monde si différents
Deux inconnus, deux anonymes et pourtant...
Pulvérisé sur l'hôtel, d'la violence éternelle (2)
End

Manhattan-Kabul (Live, Red Blood Tour)

Little Puerto Rican
Almost like a New Yorker
In my glass and steel building
I take my job with a coffee coach in hand
Little girl in Cannes
On the other side of the world
Never heard of Manhattan
My little life is misery and war
Two strangers on opposite ends of the world, so different
Two strangers, two unknowns, and yet...
Sprayed on the hotel, eternal violence...
A 747
Exploded in my windows
My sky so blue turned stormy
When the poor leveled my village
Two strangers on opposite ends of the world, so different
Two strangers, two unknowns, and yet...
Sprayed on the hotel, eternal violence
My tongue aches for my American dream
Me, never again a slave to dogs
And then as a leek slave to tyrants
On the road that never swims against the current
Became dust again
I will not be master of the universe
Will this land I loved so much become
Finally a colossus with feet of clay?
The gods, the religions
The faith in civilization
The years of hardship for the fatherlands, the nations
Always make us cannon fodder
Two strangers on opposite ends of the world, so different
Two strangers, two unknowns, and yet...
Sprayed on the hotel, eternal violence (2)
End