Текст и перевод песни Road Ramos - El Pin de la Niña Cócora

El Pin de la Niña Cócora

Niña sal a pasear convierte en realidad
Todo lo que hablas.
No es cuestión de vanidad, es cuestión de ingerir
Los defectos y esa mancha de mostaza.
No promuevas tu opinión como algo universal
Mientras no puedas contrastarla.
Los méritos propios son propios del afán.
Por demostrar algo que no hace falta.

Y qué curiosa libertad
¿Qué quisiste encauzar?
Tienes toda una ciudad
Y te falta el toque de un sol de melón
Distorsionándose al entrar por la misma ventana
Por donde entra polución, aire y zotal.
¡Cuántas ganas de darle al pausa!

Ella ha deseado masticar todo el marfil
Que anda queriendo creer que la gente se va
Porque no lo pudo resistir.
El tránsito del cólera en niñas cócora
Suele ser un pin, adiós a la lubricidad para dejar entrar
Lo que cabe aquí.

Y qué curiosa libertad
¿Qué quisiste encauzar?
Tienes toda una ciudad
Y te falta el toque de un sol de melón
Distorsionándose al entrar por la misma ventana
Por donde entra polución, aire y zotal.
¡Cuántas ganas de darle al pausa!

L'Épingle de la Fille Cócora

Ma chérie, sors te promener, fais de tes rêves une réalité.
Tout ce que tu dis.
Ce n'est pas une question de vanité, c'est une question d'avaler
Tes défauts et cette tache de moutarde.
Ne promeus pas ton opinion comme quelque chose d'universel
Tant que tu ne peux pas la confronter.
Les mérites propres sont propres à l'ardeur.
Pour démontrer quelque chose qui n'est pas nécessaire.

Et quelle curieuse liberté
Que voulais-tu canaliser ?
Tu as toute une ville
Et il te manque la touche d'un soleil de melon
Se déformant en entrant par la même fenêtre
Par où entrent la pollution, l'air et le zotal.
Combien tu as envie de mettre sur pause !

Elle a souhaité mâcher tout l'ivoire
Qui veut croire que les gens partent
Parce qu'ils n'ont pas pu résister.
Le transit du choléra chez les filles cócora
Est généralement une épingle, adieu à la lubricité pour laisser entrer
Ce qui tient ici.

Et quelle curieuse liberté
Que voulais-tu canaliser ?
Tu as toute une ville
Et il te manque la touche d'un soleil de melon
Se déformant en entrant par la même fenêtre
Par où entrent la pollution, l'air et le zotal.
Combien tu as envie de mettre sur pause !