Текст и перевод песни Rudolf Schock - Es waren zwei Königskinder
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Es waren zwei Königskinder
Il y avait deux enfants royaux
Es
waren
zwei
Königskinder,
Il
y
avait
deux
enfants
royaux,
Die
hatten
einander
so
lieb,
Qui
s'aimaient
tellement,
Sie
konnten
zusammen
nicht
kommen,
Ils
ne
pouvaient
pas
être
ensemble,
Das
Wasser
war
viel
zu
tief.
L'eau
était
trop
profonde.
"Ach,
Liebster,
könntest
du
schwimmen,
"Oh,
mon
amour,
si
tu
pouvais
nager,
So
schwimm
doch
herüber
zu
mir!
Alors
nage
jusqu'à
moi !
Drei
Kerzen
will
ich
anzünden,
Je
vais
allumer
trois
bougies,
Und
die
sollen
leuchten
zu
dir."
Et
elles
brilleront
pour
toi."
Das
hört
ein
falsches
Nönnchen,
Une
fausse
religieuse
a
entendu
cela,
Die
tat,
als
wenn
sie
schlief;
Elle
a
fait
semblant
de
dormir ;
Sie
tät
die
Kerzlein
auslöschen,
Elle
a
éteint
les
bougies,
Der
Jüngling
ertrank
so
tief.
Le
jeune
homme
s'est
noyé
dans
les
profondeurs.
Es
war
an
ein′m
Sonntagmorgen,
C'était
un
dimanche
matin,
Die
Leut
waren
alle
so
froh;
Les
gens
étaient
tous
si
joyeux ;
Nicht
so
die
Königstocher,
Pas
la
fille
du
roi,
Ihre
Augen
saßen
ihr
zu.
Ses
yeux
étaient
baissés.
"Ach
Mutter,
herzliebste
Mutter,
"Oh,
mère,
ma
très
chère
mère,
Der
Kopf
tut
mir
so
weh!
Ma
tête
me
fait
tellement
mal !
Ich
möcht
so
gern
spazieren
J'aimerais
tellement
me
promener
Wohl
an
die
grüne
See."
Près
de
la
mer
verte."
"Ach
Tochter,
herzliebste
Tochter
"Oh,
ma
fille,
ma
très
chère
fille,
Allein
sollst
du
nicht
gehn,
Tu
ne
dois
pas
y
aller
seule,
Weck
auf
Deine
jüngste
Schwester,
Réveille
ta
plus
jeune
sœur,
Und
die
soll
mit
dir
gehn."
Et
elle
ira
avec
toi."
"Ach
Mutter,
herzliebste
Mutter,
"Oh,
mère,
ma
très
chère
mère,
Meine
Schwester
ist
noch
ein
Kind,
Ma
sœur
est
encore
une
enfant,
Die
pflückt
ja
alle
Blümlein,
Elle
cueille
toutes
les
fleurs,
Die
auf
Grünheide
sind."
Qui
sont
sur
le
vert
pâturage."
"Ach
Tochter,
herzliebste
Tochter
"Oh,
ma
fille,
ma
très
chère
fille,
Allein
sollst
du
nicht
gehn
Tu
ne
dois
pas
y
aller
seule,
Weck
auf
deinen
jüngsten
Bruder
Réveille
ton
plus
jeune
frère,
Und
der
soll
mit
dir
gehn!"
Et
il
ira
avec
toi !"
"Ach
Mutter,
herzliebste
Mutter,
"Oh,
mère,
ma
très
chère
mère,
Mein
Bruder
ist
noch
ein
Kind
Mon
frère
est
encore
un
enfant,
Der
schießt
mir
alle
Vöglein,
Il
tire
sur
tous
les
oiseaux,
Die
auf
Grünheide
sind."
Qui
sont
sur
le
vert
pâturage."
Die
Mutter
ging
nach
der
Kirche,
La
mère
est
allée
à
l'église,
Die
Tochter
hielt
ihren
Gang.
La
fille
a
continué
son
chemin.
Sie
ging
so
lang
spazieren,
Elle
s'est
promenée
pendant
longtemps,
Bis
sie
den
Fischer
fand.
Jusqu'à
ce
qu'elle
trouve
le
pêcheur.
"Ach
Fischer,
liebster
Fischer,
"Oh,
pêcheur,
cher
pêcheur,
Willst
du
verdienen
großen
Lohn?
Veux-tu
gagner
une
grande
récompense ?
So
wirf
dein
Netz
ins
Wasser,
Alors
jette
ton
filet
à
l'eau,
Und
fisch
mir
den
Königssohn!"
Et
pêche
le
fils
du
roi
pour
moi !"
Er
warf
das
Netz
ins
Wasser,
Il
a
jeté
son
filet
à
l'eau,
Es
ging
bis
auf
den
Grund.
Il
est
descendu
jusqu'au
fond.
Er
fischte
und
fischte
so
lange,
Il
a
pêché
et
pêché
pendant
longtemps,
Bis
er
den
Königssohn
fand.
Jusqu'à
ce
qu'il
trouve
le
fils
du
roi.
Sie
schloß
ihn
in
ihre
Arme
Elle
l'a
pris
dans
ses
bras,
Und
küßt
seinen
bleichen
Mund:
Et
a
embrassé
sa
pâle
bouche :
"Ach
Mündlein,
könntest
du
sprechen,
"Oh,
ma
bouche,
si
tu
pouvais
parler,
So
wär
mein
jung
Herze
gesund!"
Alors
mon
jeune
cœur
serait
en
bonne
santé !"
Was
nahm
sie
von
ihrem
Haupte?
Qu'a-t-elle
pris
de
sa
tête ?
Eine
goldene
Königskron
Une
couronne
royale
d'or
"Sieh
da,
wohledler
Fischer,
"Regarde,
noble
pêcheur,
Hast
dein
verdienten
Lohn!
Tu
as
gagné
ta
récompense !
Was
zog
sie
von
ihrem
Finger?
Qu'a-t-elle
retiré
de
son
doigt ?
Ein
Ringlein
von
Gold
so
rot:
Une
bague
d'or
rouge :
Sieh
da,
wohledler
Fischer,
Regarde,
noble
pêcheur,
Kauf
deinen
Kindern
Brot!
Achète
du
pain
à
tes
enfants !
Sie
schwang
um
sich
ihren
Mantel
Elle
a
jeté
son
manteau
sur
elle
Und
sprang
wohl
in
die
See:
Et
s'est
jetée
à
la
mer :
"Gut
Nacht,
mein
Vater
und
Mutter,
"Bonne
nuit,
mon
père
et
ma
mère,
Ihr
seht
mich
nimmermeh'!"
Vous
ne
me
reverrez
plus !"
Da
hört
man
Glöcklein
läuten,
On
entend
les
cloches
sonner,
Da
hört
man
Jammer
und
Not,
On
entend
le
deuil
et
le
malheur,
Hier
liegen
zwei
Königskinder,
Voici
deux
enfants
royaux,
Die
sind
alle
beide
tot!
Ils
sont
tous
les
deux
morts !
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Авторы: Franz Lehár
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