Текст и перевод песни Rytmus feat. Druhá strana & Ego - Ivan T. z Prešova

Ivan T. z Prešova

Ivan máš dres, Ivan máš dres, Ivan, Ivan, Ivan.
Ivan konaj riť ma bozaj, tvoju mamku j*bem, tak stonaj ty vyj*baný feťák.
Na keru p*ču sa ty roker j*beš do hip hopu, takýchto buzerantov jak si ty tu máme kopu.
Pred dvoma rokmi si nevedel nič o našej scéne, to že si chcel zarobiť na Vrabcovi to už vieme, zeber si svoju mŕtvu gitaru a pál do p*če, lebo ti ju rozj*bem o gebulu.
Choď do p*če!
Hybaj vystupovať na Den otvorených dverí, tam robiš ze seba k*kota to ti každý verí.
Vystupuješ po plesoch a firemných akciách, tam máš svoju klientelu ty j*bnutý úchylák.
Si zdegenerovaný narkoman a blbeček, načo sa ty roker j*beš do hip hopu...
Partiu ti robi Samo Tomeček .
Ze Smatanovou tu nahrávaš plytké duety, nikto neni zvedavý na tvoje feťácke úlety.
Svojich vlastných ľudí si oj*bal o penaze, teraz si veľký Blavak za východ sa nepriznáš, že?
Yeah, zjedol si mi k*kot, neber si ma do huby, lebo ti dolámem chrbticu aj tvoje hnilé zuby.
Na dovolenkách si točíš klipy j*b už nato, keď si bol malý do riti ťa j*bával tvoj tato.
V Hip hope si chcel dosiahnuť zlato máš to zato, vypadni do p*če aj s tvojim d*bnutým bratom.
Trepať p*čoviny o rape to sa ti hodí ale nezabúdaj, že si s Koščovou na jednej lodi.
Do rádia vyprávaš, že nevím rapovat, volal si ma na tvoj album kery môžem oj*bať.
S kým asi tak j*bala Ivova mama, keď potom porodila špinavého narkomana.
Asi vyj*bala niakeho ludoopa, lebo narodila sa jej iba veľká hoven kopa.
Ivan v rannom veku fetoval moc LSD, tak si teraz mysli, že je raper keď mu z času zaj*be.
Chcel v rape preraziť zaplatil inzerát, hľadám j*ba z východu značka musí byt buzerant.
A vytiahol len odkukane finty, zavolal Vrabcovi či nepodpíše za cestu a štyri drinky.
Tak vznikol v hip hop z východu rockové saldo, Ivan páĺ do p*či smerom k Moskve s týmto kontrabandom.
Venuj sa radšej na preteky a nijaké firmy, a radšej drž p*ču tej svojej zubatej indi.
N*jeb sa sem, víš o tom p*ču ty tupá trubka, porodila j*ba, sk*rvysyna tvoja mater čubka.
Prajem iba zlobu, AIDS od dverí do života, veľa peňazí a pred ľuďmi byt za k*kota.
Ivan, Takahumaj máš pekne telo, medzi panelákmi čaká proti lietadlové delo.
S kým asi tak j*bala Ivova mama, keď potom porodila špinavého narkomana.
Asi vyj*bala niakeho ludoopa, lebo narodila sa jej iba veľká hoven kopa.
Tak gadžo opálený s k*kota v šupe, pôsobím v agresívnej tlupe, sem tam byt biknujem konope, Spartak ťa z nich dokope kto z nich ti hlavu dokope, mater ti j*bem, jej meno, moje v tejto veci Ivan, Ivan, pozor na mňa daj, inač máš nôž v pleci, to neni od veci, že som blázon na k*kotov jak si ty, nemusím byť ani opitý, nelezem raklom do riti, nemám dobre pocity, keď do rapu sa j*bu k*koti.
S tvojou hlavou si jak žaluď, do teba som opretý, si na k*kot svojou mysľou si zarytí ja som Petržálčan, vyj*bal a chcem pozdraviť aj tvoju máti.
Nemáš pocit, že máš veľké skraty, nič sa na dobre neobráti, lebo mi sme gati, s rapom ťa zodere s pastou na tvoj *****a s ňou zoberiem na teba budem, jak na bandu lupiči, ono to kričí, to ťa zničí, budeš v p*či.
Teba to vynúti zároveň aj naučí, neobúvaj nohy do rapovych papuči, inak vytečú tvoje oči, puči.
Nebude ťa mať kto uchýliť v náruči, to sa slučí.
Jooo, more cítiš ten smrad, to je Ivan, starý tučný buzerant.
Naložil som zrád, naložím aj dva, toto je rana do srdca.
Videl som ťa koksovať vtedy v Kenvele na záchode, toto je holi fakt a nepripisuj to náhode.
Ve feťáckem svete si jak ryba ve vode, v médiach sa robíš, jak si v pohode.
Na východe mam vácej ľudí jak ty, s tvojim plešatým tatkom do kopy.
Svoju skupinu si potopil, moja skupina sú bezcitný k*koti, dúfam, že sto pochopil.
Pamatáš j*bo jak si volal Čekymu, plakal si do telefónu, hral si to na rovinu.
Že ťa pofukoval maličký EGO, na rovinu ti povím, zedz mi moju cicinu.
Keď si mi podával fajku s Ganju, podal si mi ruku Ivan, to si si robil srandu, mal by si v hre nájsť holú pravdu, že netreba ohlásiť tvoju bývalú bandu, volal mi tvoj gitarista, basista, hovoril, že si bývali fašista.
Volala mi aj tvoja bývala, že vraj ci v kuse smrzdeli nohy, k*rva špinavá!
Máš obrovskú gebuľu nedá sa na teba kukať, svokrovci ťa nechcú, si beznádejný prípad.
Na prezliekanie kabátov si dokonalý príklad, s kým asi tak, s kým asi tak, eee s kým asi tak.
S kým asi tak j*bala Ivova mama, keď potom porodila špinavého narkomana.
Asi vyj*bala niakeho ludoopa, lebo narodila sa jej iba veľká hoven kopa

Hej, hej, ty gádžo.
Ty hlava veľká poj*baná.
Čo máš gebulu jak televízor.
N*jeb sa do rapu, zeber si tu svoju lacnú gitaru a pál do p*če pri vatru.
Ty pampúch poj*bany.
Čo keď spívaš tak sa traseš jak keby drbol hrom do teba ty k*kot...

Ivan T. de Prešov

Ivan t'as le maillot, Ivan t'as le maillot, Ivan, Ivan, Ivan.
Ivan bouge ton cul et suce-moi, je vais niquer ta mère, alors gémis, espèce de drogué de merde.
Putain, pourquoi tu te fous du hip-hop, espèce de connard de rocker ? On a plein de tafioles comme toi ici.
Il y a deux ans, tu ne connaissais rien à notre scène, on sait que tu voulais juste te faire du fric sur le dos de Vrabec, alors prends ta guitare morte et va te faire foutre, ou je te la casse sur la gueule.
Va te faire foutre !
Vas-y, va jouer aux portes ouvertes, là où tu te fais passer pour un con, tout le monde te croit.
Tu joues dans des bals et des soirées d'entreprise, c'est là que tu trouves tes clients, espèce de pervers de merde.
T'es un toxico dégénéré et un abruti, pourquoi tu te fous du hip-hop, espèce de connard de rocker...
Tu fais équipe avec Samo Tomeček.
Tu enregistres des duos merdiques avec Smatanova, personne n'en a rien à foutre de tes délires de camé.
Tu as arnaqué tes propres potes, maintenant t'es un grand de Bratislava, tu ne veux pas admettre que t'es de l'est, hein ?
Yeah, tu m'as bouffé les couilles, ne m'emmerde pas, ou je te brise la colonne vertébrale et tes dents pourries.
Tu tournes tes clips en vacances, arrête ça, quand t'étais petit, c'est ton père qui te sodomisait.
Tu voulais gagner de l'or dans le hip-hop, tu l'as bien cherché, va te faire foutre avec ton frère débile.
Tu racontes des conneries sur le viol, ça te va bien, mais n'oublie pas que t'es dans le même bateau que Koščová.
Tu racontes à la radio que je ne sais pas rapper, tu m'as appelé pour ton album que je peux sucer.
Avec qui la mère d'Ivo a bien pu coucher pour pondre un sale toxico pareil ?
Elle a dû se faire un yéti, vu le tas de merde qu'elle a mis au monde.
Ivan se shootait au LSD quand il était jeune, alors maintenant il se prend pour un rappeur quand il est défoncé.
Il voulait percer dans le rap, il a payé une annonce : "Recherche tapette de l'est, doit être un pédé".
Et il n'a sorti que des trucs pompés, il a appelé Vrabec pour savoir s'il voulait signer pour le voyage et quatre verres.
C'est comme ça qu'est né le rock de l'est dans le hip-hop, Ivan va te faire foutre, direction Moscou avec ta contrebande.
Tu ferais mieux de te concentrer sur les courses et les entreprises, et de baiser la chatte de ton Indienne édentée.
Ne te mêle pas de ça, sale conne, ta mère la salope a mis au monde un connard.
Je ne te souhaite que du mal, le sida, beaucoup d'argent et d'être un tocard aux yeux des gens.
Ivan, Takahumaj, t'as un beau corps, entre les barres d'immeubles, une DCA t'attend.
Avec qui la mère d'Ivo a bien pu coucher pour pondre un sale toxico pareil ?
Elle a dû se faire un yéti, vu le tas de merde qu'elle a mis au monde.
Alors, espèce de gadjo bronzé avec ta merde dans la peau, je fais partie d'un gang agressif, je fume de temps en temps de la weed, Spartak va te défoncer, qui va te défoncer la tête, je vais niquer ta mère, son nom, le mien dans cette histoire Ivan, Ivan, fais gaffe à moi, sinon tu vas te retrouver avec un couteau dans le dos, c'est pas pour rien que je suis dingue des cons comme toi, je n'ai pas besoin d'être bourré, je ne lèche les bottes de personne, je ne me sens pas bien quand des cons se mêlent du rap.
Avec ta tête, t'es comme un gland, je suis appuyé sur toi, t'es un connard dans l'âme, je suis de Petržalka, je t'emmerde et je veux dire bonjour à ta mère.
Tu ne trouves pas que t'as un gros problème ? Rien ne va s'arranger parce qu'on est des durs, on va te défoncer avec du rap, on va t'emmener avec nous, comme une bande de voleurs, ça crie, ça va te détruire, tu vas finir dans la merde.
Ça va te forcer la main et t'apprendre, ne mets pas les pieds dans le rap, sinon tes yeux vont sortir de leurs orbites.
Personne ne te prendra dans ses bras, c'est clair.
Ouais, tu sens cette odeur ? C'est Ivan, le vieux pédé.
Je l'ai chargé une fois, je le chargerai deux, c'est un coup dur pour lui.
Je t'ai vu prendre de la coke aux toilettes du Kenvelo, c'est la vérité et ne discute pas.
Dans le monde des camés, t'es comme un poisson dans l'eau, dans les médias, tu fais comme si tout allait bien.
J'ai plus de monde que toi à l'est, avec ton père chauve en plus.
Tu as coulé ton groupe, mon groupe, ce sont des connards sans cœur, j'espère que tu as compris.
Tu te souviens quand tu as appelé Čeky ? Tu pleurais au téléphone, tu faisais semblant d'être honnête.
Que le petit EGO te manipulait, pour être honnête, suce-moi la bite.
Quand tu m'as passé ta pipe de beuh, tu m'as serré la main Ivan, tu te foutais de ma gueule, tu devrais te rendre à l'évidence, que tu n'aurais pas dû appeler ton ancien groupe, ton guitariste m'a appelé, le bassiste aussi, ils disaient que t'étais un fasciste.
Ton ex m'a aussi appelé, pour me demander si j'avais froid aux pieds, sale pute !
T'as une si grosse gueule qu'on ne peut pas te regarder, tes beaux-parents ne veulent pas de toi, t'es un cas désespéré.
T'es l'exemple parfait du retournement de veste, avec qui, avec qui, euh, avec qui.
Avec qui la mère d'Ivo a bien pu coucher pour pondre un sale toxico pareil ?
Elle a dû se faire un yéti, vu le tas de merde qu'elle a mis au monde.

Hé, hé, espèce de gadjo.
Tête de con.
Avec ta gueule de télé.
Ne te mêle pas de rap, prends ta guitare bon marché et va te faire foutre près du feu.
Espèce de tafiole.
Quand tu chantes, tu trembles comme si le tonnerre s'abattait sur toi, espèce de con...