Текст и перевод песни Rytmus feat. P.A.T. - Stokára Nemóžeš Dojebať

Stokára Nemóžeš Dojebať

P.A.T.:
Tam odkiaľ pochádzam, sa ku mne nikdy od nikoho nedostalo pekné slovo.
Odmalička vychovaný v ojeboch, tá faloš tam číhala za každým rohom.
Tie miesta ma naučili ako odolať hate-u, neprepadať fame-u, dať na seba pozor.
Papule natreté medom mám prečítané, preto nikdy nevyjebú so mnou!
A špekulácie som zjedol,(zjedol!), takže neplatí na mňa váš falošný úsmev.(ne!)
V myslení som stále pred tebou,(pred Tebou!), kým sa snažíš ma dojebať, stúpa môj úspech.
A hate-ery nemajú slovo,(he-he-he-he), odmalička som zvyknutý na neprajníkov.
Lebo tam odkiaľ pochádzam, bolo ich mnoho a urobilo ma to silnejším tvorom.
Stres, upadá mi stále, keď ťa vidím ako sleduješ čo robím, ako čítaš moje kroky.
Ale dnes, do papule povedané na rovinu nemôžeš ma dojebať, aj keby si do toho dával cash.
Iba kŕdeľ vrán, s ktorými sa stretávam, závidí to, čo tebe uniká a to čo chceš.
Ja som vychovaný stokou a chudobou a kokotou, ako ty, som preskočil, asi o desať miest.
A miesta kde vyrastáme, budujú našu psychiku, charakter, rýdzosť.
Stokára nemôžeš dojebať, pretože z nás to vychovalo lídrov!
Vaše vyjebané, povýšenecké tváre môžem jebať, smrdíte pýchou!
A pochopte to, že ja vo vašom prežijem, ale vy v našom nenájde východ!

REFRÉN(P.A.T.):
Feťáci v kravatách chcú byť múdry a vyvíjajú na mňa tlak!
Zabudli na to, že sa nedám kúpiť a ani inak ojebať!
Tá stokárska krv vo mne stále prúdi, môj život by nevedeli ustáť!
Vypočítavé, špekulantské kurvy, stokára nemôžu dojebať!

(Yeah)Môj svet a ten ich je niečo úplne iné.
Keby si tu mal prežiť minútu, neprežiješ!
(Yeah)Nepokúšaj sa dojebať stokára, ty bíreš!
Vaše zákerné pičoviny sú jak zemákové pyré.
Bulvárne mrdky aj každý deň, píšu tie hovná nepravdivé!
Ojeby, intrigy hanlivé, väčšina z nich žije v rasizme!
Chceli by ma vidieť dole, snažia sa ma nachytať na chybe! (na chybe!)
Smutný, rozjebaný život jak oni, tak sorry, ja dúfam, že nikdy nezažijem!
V tomto som prežil, detstvo, mou, a nepekný domov.
Nenávisť a závisť sa stali výhodou, zažitou príhodou.
Vtedy keď víchor bol, jediný východ bol, najebať otčimovi na ksicht a odísť s dobou.
Obrniť seba, svoje srdce, dušu výzbrojou, korisťou z tých bojov, kerých výhra nezávisela od vyjenaných gádžovských výplodov.
(Ej, oú, yeah)
Odmala som vycvičený na potkanov.(ha-ha!)
Váš agresívny hate je mojou potravou.(ej, oú)
Vaše beefy si namiešam na stroganov.(hh)
Život ma naučil byť vaším zrkadlom.(ej oú)

REFRÉN(RYTMUS, P.A.T.):
Feťáci v kravatách chcú byť múdry a vyvíjajú na mňa tlak!
Zabudli na to, že sa nedám kúpiť a ani inak ojebať!
Tá stokárska krv vo mne stále prúdi, môj život by nevedeli ustáť!
Vypočítavé, špekulantské kurvy, stokára nemôžu dojebať!
Feťáci v kravatách chcú byť múdry a vyvíjajú na mňa tlak!
Zabudli na to, že sa nedám kúpiť a ani inak ojebať!
Tá stokárska krv vo mne stále prúdi, môj život by nevedeli ustáť!
Vypočítavé, špekulantské kurvy, stokára nemôžu dojebať!

Tudududududududu, tududududududu, tudududududududu, tudududududududu...

Un gosse de la rue, tu peux pas le baiser

P.A.T.:
Là d'où je viens, je n'ai jamais entendu un mot gentil de la part de personne.
Élevé dans la tromperie depuis tout petit, la fausseté se cachait à chaque coin de rue.
Ces endroits m'ont appris à résister à la haine, à ne pas succomber à la gloire, à faire attention à moi.
J'ai déjà vu les beaux parleurs, donc ils ne me la feront pas à moi !
J'ai bouffé des spéculations,(bouffé!), donc ton faux sourire ne marche pas avec moi.(non!)
Je suis toujours en avance sur toi dans ma tête,(sur toi!), pendant que tu essaies de me baiser, mon succès grandit.
Et les haineux n'ont pas leur mot à dire,(hé-hé-hé-hé), je suis habitué aux envieux depuis tout petit.
Parce que là d'où je viens, il y en avait beaucoup et ça a fait de moi quelqu'un de plus fort.
Le stress, ça me tombe dessus à chaque fois que je te vois regarder ce que je fais, lire mes faits et gestes.
Mais aujourd'hui, je te le dis en face, tu ne peux pas me baiser, même si tu y mettais tout ton fric.
Seulement une bande de corbeaux, que je croise, envie ce que tu n'auras jamais et ce que tu veux.
J'ai été élevé dans la rue et la pauvreté et j'ai dépassé des connards comme toi, d'au moins dix longueurs.
Et les endroits où on grandit, ils construisent notre mental, notre caractère, notre authenticité.
Un gosse de la rue, tu peux pas le baiser, parce que ça a fait de nous des leaders!
Vos gueules de merde, vos airs arrogants, je peux les baiser, vous puez la fierté !
Et comprenez bien que moi je peux survivre dans votre monde, mais vous dans le nôtre, vous ne trouverez jamais la sortie !

REFRAIN(P.A.T.):
Des tocards en costard veulent faire les malins et me mettent la pression !
Ils ont oublié qu'on peut pas m'acheter ni me baiser autrement !
Ce sang de la rue coule toujours en moi, ils ne pourraient pas supporter ma vie !
Sales putes calculateurs et spéculateurs, vous ne pouvez pas baiser un gosse de la rue !

(Yeah) Mon monde et le leur, c'est deux choses complètement différentes.
Si tu devais survivre une minute ici, tu ne tiendrais pas !
(Yeah) N'essaie pas de baiser un gosse de la rue, tu vas perdre !
Vos coups fourrés minables, c'est comme de la purée de pommes de terre.
La presse à scandale tous les jours, elle écrit des conneries fausses !
Des mensonges, des intrigues haineuses, la plupart d'entre eux vivent dans le racisme !
Ils aimeraient me voir au fond du trou, ils essaient de me prendre en faute ! (en faute !)
Une vie triste et foutue comme la leur, désolé, j'espère ne jamais connaître ça !
J'ai vécu ça, l'enfance, la misère, un foyer merdique.
La haine et la jalousie sont devenues un avantage, une expérience vécue.
Quand la tempête a frappé, la seule issue, c'était d'envoyer chier mon beau-père et de partir avec mon époque.
Me blinder, blinder mon cœur, mon âme avec une armure, le butin de ces combats, dont la victoire ne dépendait pas des résultats minables de ces connards.
(Eh, ouais, yeah)
J'ai été dressé contre les rats depuis tout petit.(ha-ha!)
Votre haine agressive est ma nourriture.(eh, ouais)
Je mélange vos embrouilles pour en faire un stroganoff.(hh)
La vie m'a appris à être votre miroir.(eh ouais)

REFRAIN(RYTMUS, P.A.T.):
Des tocards en costard veulent faire les malins et me mettent la pression !
Ils ont oublié qu'on peut pas m'acheter ni me baiser autrement !
Ce sang de la rue coule toujours en moi, ils ne pourraient pas supporter ma vie !
Sales putes calculateurs et spéculateurs, vous ne pouvez pas baiser un gosse de la rue !
Des tocards en costard veulent faire les malins et me mettent la pression !
Ils ont oublié qu'on peut pas m'acheter ni me baiser autrement !
Ce sang de la rue coule toujours en moi, ils ne pourraient pas supporter ma vie !
Sales putes calculateurs et spéculateurs, vous ne pouvez pas baiser un gosse de la rue !

Tudududududududu, tududududududu, tudududududududu, tudududududududu...