Mullet - Sage Francis перевод на французский

Mullet

It was the (beatboxing) that got me (beatboxing)
It was the (beatboxing) break (beatboxing)
Deflate cuz i was gassed
Head over heals in love with the electric drums
And spoken vocals which was the joke of locals
And laughing stock of my rock and roll ass town
But the rhythmic acupuncture pierced my skin
Pinning the butterflies to my stomach
Which would flutter everytime i heard the (beatboxing)
More than the (beatboxing)
I was no devil worshiper
Higher level interpreter
I refuse to lose focus and recite satanic verses
With (?) curses
Drug induced worst i know they were saying
Kill your mother cuz it paid them well
Yet it my flashback i see the foreshadow
Ironic twist my first purchase was a hip hop record
Called raising hell
I should have run when i had the chance but dmc's
Made be wanna breakdance, made me wanna spin vinyl,
Made me wanna graph right, made me want to not act white
And not to perpetuate any stereotype but
I was not about the mullet icehockey haircut
You know the mullet, short on top for the fellas
Long in back for the ladies, yea!
I was not about stonewash nuthuggies with the french
Rolls on the bottom so tight that it turned my toes purple
Nor was i about the ripped jean jacket with the megadeath,
Metallic, and slayer patch
I had an internal itch for the (beatboxing) and never
Could i get with () guitar riff, () guitar riff, ()
I had wild style wars, i rented (blue) street every week
As i rocked steady wearing out the play rewind and slow mo
Buttons on my vcr
I did the pause-play, pause-play, pause-play, pause-play
All day forcing my wage comprehension of inner city invention for me
Was in the expression which would eventually win the exception
(What exception) those around me couldn't give me affection
But i played and paid that video attention till i eventually i
Completely bit the (beatboxing)
And found my new religion, born again b-boy, born to destroy
Decoys and be the real mccoy, yea boy!
I wore the clock so you could know the time
Chuck d told me to keep a sober mind, and even though his
Sidekick liked the flavor of booze, i swear to god
Hip hop was about being drug free
I swear to god hip hop is about the upliftment of humanity
And i swear to god hip hop was what rock was not was what bach
Was not was not pop, (pop! pshhhh)
Guess i was gassed!, see i remember when dr. dre use to express
Himself about hating the chronic, a few years later he's
Endorsing it while drinking gin and tonic
Suburbanites that blast mace learn their mad face from onyx
It was a rat race the first to properly use ebonics
Dynamite like jj, but it was a fad like super sonic
Hip hop flipped from being artistic to a pop hit
Mainstream took control and we cannot stop it
Its a black art, being manipulated by white controllers
Just like rock and roll is ... we took the (beatboxing)
We took the (beatboxing) ...

Rouflaquettes

C'est le (beatbox) qui m'a eu (beatbox)
C'était la pause (beatbox) (beatbox)
Dégonflé parce que j'étais à bout de souffle
Éperdument amoureux de la batterie électrique
Et du chant parlé qui était la risée des gens du coin
Et la risée de ma ville de rock and roll
Mais l'acupuncture rythmique m'a transpercé la peau
Épinglant les papillons à mon estomac
Qui voletaient à chaque fois que j'entendais le (beatbox)
Plus que le (beatbox)
Je n'étais pas un adorateur du diable
Interprète de niveau supérieur
Je refuse de perdre ma concentration et de réciter des versets sataniques
Avec des malédictions (?)
Le pire que je connaisse, disaient-ils, c'était la drogue
Tuer ta mère parce que ça les payait bien
Pourtant, dans mon flashback, je vois le présage
Ironie du sort, mon premier achat a été un disque de hip-hop
Appelé "Raising Hell"
J'aurais dû courir quand j'en avais l'occasion, mais Run-DMC
M'a donné envie de faire du breakdance, m'a donné envie de faire tourner du vinyle
M'a donné envie de bien écrire, m'a donné envie de ne pas me comporter comme un Blanc
Et de ne perpétuer aucun stéréotype, mais
Je n'étais pas du genre à avoir la coupe de cheveux mulet de hockeyeur sur glace
Tu connais la coupe mulet, courte sur le dessus pour les mecs
Longue derrière pour les filles, ouais!
Je n'étais pas du genre à porter des jeans délavés avec le revers
Si serré en bas que ça me rendait les orteils violets
Je n'étais pas non plus du genre à porter la veste en jean déchirée avec le patch Megadeth,
Métallique, et Slayer
J'avais une envie viscérale de (beatbox) et jamais
Je ne pouvais comprendre le riff de guitare (...), le riff de guitare (...), (...)
J'avais "Wild Style" et "Style Wars", je louais "Beat Street" chaque semaine
Pendant que je dansais en boucle, usant les boutons de lecture, de rembobinage et de ralenti
De mon magnétoscope
Je faisais pause-lecture, pause-lecture, pause-lecture, pause-lecture
Toute la journée, forçant ma compréhension de l'invention du centre-ville, pour moi
C'était dans l'expression qui allait finalement gagner l'exception
(Quelle exception ?) Ceux qui m'entouraient ne pouvaient pas me donner d'affection
Mais j'ai joué et prêté attention à cette vidéo jusqu'à ce que je finisse par
Complètement mordre le (beatbox)
Et trouver ma nouvelle religion, renaître b-boy, né pour détruire
Les leurres et être le vrai McCoy, ouais mon pote!
Je portais la montre pour que tu puisses connaître l'heure
Chuck D m'a dit de garder l'esprit clair, et même si son
acolyte aimait le goût de l'alcool, je jure devant Dieu
Que le hip-hop, c'était être clean
Je jure devant Dieu que le hip-hop est synonyme d'élévation de l'humanité
Et je jure devant Dieu que le hip-hop était ce que le rock n'était pas, ce que Bach
n'était pas, ce que la pop n'était pas (pop! pshhhh)
Je suppose que j'étais à bout de souffle! Tu vois, je me souviens quand Dr. Dre exprimait
Sa haine de la weed, quelques années plus tard, il en fait
La promotion en buvant du gin tonic
Les banlieusards qui balancent du gaz lacrymogène apprennent leur grimace à Onyx
C'était une course de rats, le premier à utiliser correctement l'ebonics
De la dynamite comme J.J., mais c'était une mode comme Sonic
Le hip-hop est passé d'artistique à un succès pop
Le mainstream a pris le contrôle et on ne peut plus l'arrêter
C'est un art noir, manipulé par des contrôleurs blancs
Tout comme le rock and roll l'est... On a pris le (beatbox)
On a pris le (beatbox)...