Текст и перевод песни Santiago Cruz - Cara y Cruz

Cara y Cruz

Me siento un niño
Que no sabe lo que hace aquí
Y solo vive porque así nació, creció
Y así entre brazos atrapado
Inconscientemente atrapado
Enredado entre brazos
Que consienten mas no sienten nada

Dios no aviso que Adán también es como el piso
Inocentemente abra solo que el no quiso
Preguntándose si la lluvia es un jardinero con fe
Que el mundo florezca como alguna vez lo hizo

La paz se desea, pero no existe cierto
El equilibrio emocional solo lo saborean los muertos
Quizá la tranquilidad esta solo en lapidas
Si la palabra siempre termina en la letra e que lastima
Y eso lastima se refleja en lágrimas
Que un por siempre termina cuando empieza entre las sabanas
Y nada más que eso, yo pienso mientras ando
Mientras tanto me deprimo
Oh dios me está acariciando, no lo se
Le pido algo que no se ve
Que si alguna vez tuve un granito me devuelva la fe
Tenemos que ser realistas
No existe un trasplante de ojos
Para un distinto punto de vista

Todo lo que nace fallece
Las maquinas a golpes funcionan
Y algunos humanos crecen
Me pregunto si existe una última rosa en este pantano
Corazón que poco a poco destroza
Antes de llegar al mundo no tuve un catálogo
Para la elección de esto que se llama vida
Cuando sentí frio y sentía escalofríos me abrazaste
Pero al final los escalofríos fueron mentiras

Pero estoy tristemente feliz
Ya que si hoy me voy me llevo lo mejor de mi
Aparte de eso te conocí
Mi diario viví, mi diario viví

Face et Pile

Je me sens comme un enfant
Qui ne sait pas ce qu'il fait ici
Et qui ne vit que parce qu'il est né, il a grandi
Et ainsi, entre des bras, piégé
Inconsciemment piégé
Enchevêtré entre des bras
Qui consentent mais ne ressentent rien

Dieu n'a pas prévenu qu'Adam est aussi comme le sol
Innocemment ouvert, seulement il n'a pas voulu
Se demandant si la pluie est un jardinier avec la foi
Que le monde fleurisse comme il l'a fait une fois

La paix est désirée, mais elle n'existe pas vraiment
L'équilibre émotionnel, seuls les morts en savourent
Peut-être que la tranquillité est seulement dans les tombes
Si le mot se termine toujours par la lettre "e" qui blesse
Et cette blessure se reflète dans les larmes
Qu'un "pour toujours" se termine quand il commence entre les draps
Et rien de plus que ça, je pense en marchant
Pendant ce temps, je me déprime
Oh Dieu me caresse, je ne sais pas
Je lui demande quelque chose qu'on ne voit pas
Que s'il m'a jamais donné un grain, il me rende la foi
Nous devons être réalistes
Il n'y a pas de greffe d'yeux
Pour un point de vue différent

Tout ce qui naît meurt
Les machines fonctionnent à coups
Et certains humains grandissent
Je me demande s'il existe une dernière rose dans ce marais
Cœur qui se brise peu à peu
Avant d'arriver au monde, je n'avais pas de catalogue
Pour le choix de ce qu'on appelle la vie
Quand j'ai eu froid et que j'avais des frissons, tu m'as embrassé
Mais au final, les frissons étaient des mensonges

Mais je suis tristement heureux
Parce que si je m'en vais aujourd'hui, j'emporte le meilleur de moi
En plus de ça, je t'ai rencontrée
Mon journal, j'ai vécu, mon journal, j'ai vécu