Текст и перевод песни Santiago Insane - Nexos Raros

Nexos Raros

Le debo dos canciones una por el dia en que la encontré
Y otro por el que se marchó,
Junta los versos que le dedico a los seres que eres,
Dime que eres, definitivamente mortal no.

Dedicado a tu desmedida pación momentánea,
Ilusión de euforia disipada
En relojes de arena llenos de nieve y vegetación,
Solo llevo de escudo una canción.

Mirada de fiera en calma de diosa benevolente,
Cuento pasos hacia tus pupilas donde llevo grullas de papel,
Grutas por pinceles moldeadas, moradas,
Algo manchadas por el transfer.

No es nada, se quita en el proceso,
Y sin recesos que la piel se enfría
Sin sus textos sería un largo día,
El desierto secó mi melancolía.

Sonría, siempre sonríame,
Descaradamente bien te vez,
Escucha mi blues sobre tu piel,
Amor y odio como mi relación con el papel.
Sonría, siempre sonríame,
Descaradamente bien te vez,
Escucha mi blues sobre tu piel,
Amor y odio, mi relación con el papel.

Si hay tardes frías no las siento,
Llegó de forma extraña a convertirse en parte importante,
Toca el cajón, te acompaño con la guitarra,
No soy experto pero algún experimento raro nace.

Aquí se hacen buenas películas entre Margaritos
Que curan crudas los fines de semana,
Estoy bebiendo lo justo y tomándome mi tiempo,
Inviérteme el panorama, tus montes bajo mi techo.

Mariposa de pentagramas que se posa sobre mí,
Explotó Saturno,
Derribó mis murallas con asteroides cósmicos,
Fragmentos de lunas asesinadas, vomito el lunes.

Volverán al trabajo, volveremos al relajo,
¡Salud! ¡Por la vida carajo!
Sin dinero o con fajos, el viento que te trajo
Lo enviaron mis antepasados desde allá abajo.

Buscar tanto, cansarte, dejar todo de lado,
Y luego terminar encontrando sin buscar,
Perdiendo sin querer, amar o acostumbrar,
Solo me resigné

A que la herida de mis alas estaba tan gangrenada
Que la única opción que quedaba fue amputar,
Recuerdo que cuando le hablaba su mirada brillaba
No te canses de quererme pero la llegué a cansar.

Es complicado no lo entiendes,
No lo sé ¿Qué sientes?
(Nada...)
Mientes...

Me rio de mi dolor porque realmente duele mucho,
Me quedo en casa el menor tiempo posible por si vuelves,
Hoy todas las burbujas de la chela son para mí,
Ando perdido encontrándome de nuevo, no entiendes.

Nunca estuvimos solos,
Solo en silencio,
Maltrato a mi odio queriéndolo mucho
Respiro humo nocivo de la ciudad en viernes.

Sonría, siempre sonríame,
Descaradamente bien te vez,
Escucha mi blues sobre tu piel,
Amor y odio como mi relación con el papel.
Sonría, siempre sonríame,
Descaradamente bien te vez,
Escucha mi blues sobre tu piel,
Amor y odio, mi relación con el papel.

Liens étranges

Je te dois deux chansons, une pour le jour où je t'ai rencontrée
Et une autre pour le jour où tu es partie,
Réunis les vers que je dédie à tes êtres,
Dis-moi que tu es, définitivement pas mortelle.

Dédicacé à ta passion démesurée du moment,
Illusion d'euphorie dissipée
Dans des sabliers remplis de neige et de végétation,
Je n'ai qu'une chanson comme bouclier.

Regard de bête féroce, calme d'une déesse bienveillante,
Je compte les pas vers tes pupilles où j'emporte des grues en papier,
Des grottes sculptées par des pinceaux, des demeures,
Légèrement tachées par le transfert.

Ce n'est rien, ça s'enlève au cours du processus,
Et sans répit, la peau se refroidit
Sans tes textes, ce serait une longue journée,
Le désert a asséché ma mélancolie.

Sourire, souris-moi toujours,
Tu es indéniablement belle,
Écoute mon blues sur ta peau,
Amour et haine, comme ma relation avec le papier.
Sourire, souris-moi toujours,
Tu es indéniablement belle,
Écoute mon blues sur ta peau,
Amour et haine, ma relation avec le papier.

S'il y a des soirées froides, je ne les sens pas,
Tu es arrivée de manière étrange, tu es devenue une partie importante,
Joue du cajón, je t'accompagne à la guitare,
Je ne suis pas expert, mais une étrange expérience naît.

Ici, on fait de bons films entre margaritas
Qui soignent les gueules de bois le week-end,
Je bois juste ce qu'il faut et je prends mon temps,
Inverser le panorama, tes montagnes sous mon toit.

Papillon de pentagrammes qui se pose sur moi,
Saturne a explosé,
A brisé mes murs avec des astéroïdes cosmiques,
Des fragments de lunes assassinées, je vomis le lundi.

Ils retourneront au travail, nous retournerons à la détente,
Santé ! A la vie, bordel !
Sans argent ou avec des liasses, le vent qui t'a amenée
Mes ancêtres l'ont envoyé d'en bas.

Chercher autant, se fatiguer, laisser tout tomber,
Puis finir par trouver sans chercher,
Perdre sans le vouloir, aimer ou s'habituer,
Je me suis juste résigné

A ce que la blessure de mes ailes était si gangrénée
Que la seule option qui restait était d'amputer,
Je me souviens que quand je lui parlais, ses yeux brillaient
Ne te lasse pas de m'aimer, mais je l'ai fatiguée.

C'est compliqué, tu ne comprends pas,
Je ne sais pas, que ressens-tu ?
(Rien...)
Tu mens...

Je ris de ma douleur parce qu'elle fait vraiment très mal,
Je reste à la maison le moins de temps possible au cas où tu reviendrais,
Aujourd'hui, toutes les bulles de la bière sont pour moi,
Je suis perdu à me retrouver, tu ne comprends pas.

Nous n'avons jamais été seuls,
Seulement en silence,
Je maltraite ma haine en l'aimant beaucoup
J'inspire la fumée nocive de la ville le vendredi.

Sourire, souris-moi toujours,
Tu es indéniablement belle,
Écoute mon blues sur ta peau,
Amour et haine, comme ma relation avec le papier.
Sourire, souris-moi toujours,
Tu es indéniablement belle,
Écoute mon blues sur ta peau,
Amour et haine, ma relation avec le papier.