Текст и перевод песни Satelles - Our Father, Premonition

Our Father, Premonition

How much can a broken man take,
swinged away by a low tide in the stream?
Mesmerized by the bottom to leave,
too close to be swallowed by the deep.

"Sorrow makes us all children again." -
as (the) lack of compassion wants to remain,
nostalgia just offers a spade and a chain.

The whole world is painted in black -
the record skips to remind you all you had,
where scratches mark the surface,
just follow the noise of the purpose.

What needs to happen to break a man,
who feels an urge in the stains of his hands?
Premonition raised us in the room of upheaval,
But when we stick as a pack they treat us half-equal.

Silence and doubts are the worst to advise,
let the weak and the dumb seek for their demise,
Searching for answers, accepting lies.

The more they swallow the less they care,
(while) these cities were built on our elders' despair,
these buildings and bullet holes became our altair,
but prayers will not help us,
and the mass just feeds our flame.

What needs to happen to stick together in times like these,
to set an alarm that rings for the sacrificial sheep?
How many times must we become the ones
Will we gather to break this cycle?
Or our father, premonition becomes our rival?

Notre Père, la Prémonition

Combien un homme brisé peut-il endurer, ma chérie,
balayé par le faible courant du reflux?
Hypnotisé par le fond qu'il veut quitter,
trop près pour être avalé par les profondeurs.

"Le chagrin fait de nous tous des enfants à nouveau." -
alors que le manque de compassion veut perdurer,
la nostalgie n'offre qu'une pelle et une chaîne.

Le monde entier est peint en noir -
le disque saute pour te rappeler tout ce que tu avais,
où les rayures marquent la surface,
suis juste le bruit du but.

Que doit-il arriver pour briser un homme, ma douce,
qui ressent une pulsion dans les taches sur ses mains?
La prémonition nous a élevés dans la chambre du bouleversement,
Mais quand on reste soudés, ils nous traitent à moitié égaux.

Le silence et les doutes sont les pires conseillers,
laisse les faibles et les idiots chercher leur perte,
Cherchant des réponses, acceptant des mensonges.

Plus ils avalent, moins ils se soucient,
tandis que ces villes ont été construites sur le désespoir de nos aînés,
ces bâtiments et ces impacts de balles sont devenus notre Altaïr,
mais les prières ne nous aideront pas,
et la messe ne fait qu'alimenter notre flamme.

Que doit-il se passer pour rester unis dans des moments pareils,
pour déclencher une alarme qui sonne pour le mouton sacrificiel?
Combien de fois devons-nous devenir ceux-là ?
Allons-nous nous rassembler pour briser ce cycle?
Ou notre père, la prémonition, deviendra-t-il notre rival?