Текст и перевод песни Schokk - Perekur

Perekur

Я слышал успех – дьявол, ждём встречи,
Бродяга ночью на понтах, ему днём нечем,
Я как-то просто оборвал контакт, долой с плеч их,
А кто-то прозевал, без денег сон крепче.
Не беспокойтесь, время всё уляжет,
Тот, кто ебалом щёлкал попусту, добро не нажил,
Вдали от поля боя лох отважен,
Но я молчу, бог правду видит, да не скоро скажет.
Дальше земли не упадёшь, я не боюсь провалов,
И я уверен, мне когда-нибудь набьют ебало,
Но не один из вас, а кто-нибудь помолчаливее,
Мало желающих спросить, хотя пасут навалом.
Вам, загинаясь раком, падает лапша с ушей,
Назад дороги нет, и каждый из вас с радостью кусал бы локоток, да коротка шея,
Альбом говно, где нет работы там и нет зарплаты.
В твои года жизненный опыт невелик, кто много видел, мало верит, брат, и
Мы все на золоте стоим, но нам нагнуться лень, и
У вас хасола не может быть, вам нужен Ленин.
Бродяге море по колено и по уши лужи,
Мы как Серёга по районам вашим кружим-кружим,
С вами лохами мы с расчётом, пока нужны дружим,
И как петля на горле, туже и туже,
Ваш самогон на мескалине, весь колхоз бредит /Ак-47/,
(???) едет, русский рэп как тёща, ей долго терпят,
Втихаря желая ей жестокой смерти.
И ты тут нахуй не упало упомянут, дабы ты знал, что среди нас ты лишний,
Сюда как в рай – а волоса не тянут,
Рэп выбрал тебя, иначе,
Где не обитает дичь, там голодает хищник.
Ты не рэп, и с такой хуйней успех - пиздец,
Как говорят, на гнилой товар слепой купец.
Вот так и /с Кастой/, типо мудро, но говно на слух,
А стадо радо, не догадываясь, что несут,
Но с новым ветром ваше лето подошло к концу,
Хуёво овцам, когда волк пастух.
Я себя чувствовал как Nas, когда ловили мысли,
Я себя чувствовал как Pac, когда хотелось биться,
И когда дни мои как Vista висли,
Мне помогал мой Sony minidisk на время смыться.
Сегодня J. Cole, если я спокоен,
Любовь я запер в Drake'а « Marvins Room»,
Внутренний мир в моём айподе,
Я всё тот же, ты не заметишь разницу.

Perekur

J'ai entendu parler du succès – le diable, on se retrouve,
Un vagabond la nuit sur le pont, il n'a rien le jour,
J'ai rompu le contact d'une manière ou d'une autre, débarrasse-toi de leur poids,
Et quelqu'un a raté, sans argent le sommeil est plus profond.
Ne t'inquiète pas, le temps mettra tout en ordre,
Celui qui a claqué du bec inutilement, n'a pas gagné de bien,
Loin du champ de bataille, le suceur est courageux,
Mais je me tais, Dieu voit la vérité, mais ne la dira pas tout de suite.
Tu ne peux pas tomber plus bas que la terre, je n'ai pas peur des échecs,
Et je suis sûr qu'un jour on me mettra une raclée,
Mais pas par l'un de vous, mais par quelqu'un de plus silencieux,
Il y a peu de gens qui veulent demander, même si on les surveille en masse.
Vous, en vous pliant en deux, vous avez des nouilles qui vous tombent des oreilles,
Il n'y a pas de retour en arrière, et chacun de vous mordre la poussière avec plaisir, mais le cou est trop court,
L'album est de la merde, il n'y a pas de travail, il n'y a pas de salaire.
À ton âge, l'expérience de la vie est faible, qui a beaucoup vu, croit peu, frère, et
Nous sommes tous debout sur l'or, mais nous sommes trop paresseux pour nous baisser, et
Tu ne peux pas avoir de hasola, tu as besoin de Lénine.
Pour un vagabond, la mer est au niveau des genoux et les flaques d'eau jusqu'aux oreilles,
Nous tournons et tournons comme Sergueï dans vos quartiers,
Avec vous les suceurs, nous sommes calculés, tant que nous sommes amis,
Et comme une boucle au cou, de plus en plus serrée,
Votre moonshine à la mescaline, tout le kolkhoz rêve /Ak-47/,
(???) est en route, le rap russe est comme une belle-mère, on la supporte longtemps,
En souhaitant en secret une mort cruelle.
Et tu es là pour rien, mentionné pour que tu saches que tu es superflu parmi nous,
Ici c'est comme au paradis – mais les poils ne tirent pas,
Le rap t'a choisi, sinon,
Où il n'y a pas de gibier, le prédateur a faim.
Tu n'es pas du rap, et avec ce genre de conneries, le succès est nul,
Comme on dit, pour les marchandises pourries, le commerçant est aveugle.
C'est comme ça avec /la Casta/, apparemment sage, mais de la merde à l'oreille,
Et le troupeau est heureux, sans se rendre compte de ce qu'il porte,
Mais avec le nouveau vent, votre été est terminé,
C'est merdique pour les moutons quand le loup est le berger.
Je me sentais comme Nas quand j'attrapais des pensées,
Je me sentais comme Pac quand j'avais envie de me battre,
Et quand mes jours étaient comme Vista, ils étaient lents,
Mon Sony minidisk m'a aidé à m'échapper pour un temps.
Aujourd'hui, c'est J. Cole, si je suis calme,
J'ai enfermé l'amour dans la « Marvins Room » de Drake,
Le monde intérieur dans mon iPod,
Je suis toujours le même, tu ne remarqueras pas la différence.