Текст и перевод песни Serenata Guayanesa - Fiesta en Elorza
Fiesta en Elorza
Fête à Elorza
Un
diecinueve
de
marzo,
un
diecinueve
de
marzo
Le
dix-neuf
mars,
le
dix-neuf
mars
Para
un
baile
me
invitaron.
On
m'a
invité
à
un
bal.
A
la
población
de
Elorza,
a
la
población
de
Elorza
Dans
la
ville
d'Elorza,
dans
la
ville
d'Elorza
En
sus
fiestas
patronales.
Pour
leur
fête
patronale.
¡sus
muchachas
tan
bonitas!
! Vos
filles
sont
si
belles
!
Sus
muchachas
tan
bonitas
con
su
belleza
adornaban
Vos
filles
sont
si
belles,
leur
beauté
ornait
Y
bajo
el
cielo
llanero
se
paseaban
por
las
calles,
Et
sous
le
ciel
des
plaines,
elles
se
promenaient
dans
les
rues,
Con
sonrisas
de
alegría
y
perfume
de
sabana.
Avec
des
sourires
joyeux
et
le
parfum
de
la
savane.
Y
al
despuntar
la
mañana
con
aires
de
una
parranda,
Et
au
petit
matin,
avec
des
airs
de
fête,
Cantándole
a
las
muchachas
en
Elorza
me
encontraba,
Je
chantais
pour
les
filles
à
Elorza,
Y
entre
palos
de
aguardiente
la
vida
feliz
pasaba.
Et
entre
les
verres
d'aguardiente,
la
vie
heureuse
passait.
Y
un
lunes
por
la
mañana,
y
un
lunes
por
la
mañana
Et
un
lundi
matin,
et
un
lundi
matin
A
principio
de
la
semana,
Au
début
de
la
semaine,
Se
despidieron
mis
ojos,
se
despidieron
mis
ojos
Mes
yeux
se
sont
dits
au
revoir,
mes
yeux
se
sont
dits
au
revoir
De
ese
lindo
panorama.
À
ce
beau
panorama.
¡Recordando
con
cariño!
! Je
me
souviens
avec
affection
!
Recordando
con
cariño
muchachas,
pueblo
y
sabana,
Je
me
souviens
avec
affection
des
filles,
du
village
et
de
la
savane,
Llanero
muere
cantando
aunque
esté
penando
el
alma,
Un
llanero
meurt
en
chantant
même
s'il
souffre
dans
son
âme,
Soy
nacido
en
el
Apure,
cantor
de
la
tierra
llana.
Je
suis
né
dans
l'Apure,
chanteur
de
la
terre
plate.
Y
mañana
cuando
muera
no
me
lloren,
mis
paisanos,
Et
demain
quand
je
mourrai,
ne
pleurez
pas,
mes
compatriotes,
Que
me
entierren
en
Arauca
a
sombras
de
un
matapalo,
Que
l'on
m'enterre
à
Arauca
à
l'ombre
d'un
matapalo,
Y
que
la
espuma
del
río
traiga
recuerdos
lejanos.
Et
que
l'écume
de
la
rivière
apporte
des
souvenirs
lointains.
Y
un
lunes
por
la
mañana,
y
un
lunes
por
la
mañana
Et
un
lundi
matin,
et
un
lundi
matin
A
principio
de
la
semana,
Au
début
de
la
semaine,
Se
despidieron
mis
ojos,
se
despidieron
mis
ojos
Mes
yeux
se
sont
dits
au
revoir,
mes
yeux
se
sont
dits
au
revoir
De
ese
lindo
panorama.
À
ce
beau
panorama.
¡Recordando
con
cariño!
! Je
me
souviens
avec
affection
!
Recordando
con
cariño
muchachas,
pueblo
y
sabana,
Je
me
souviens
avec
affection
des
filles,
du
village
et
de
la
savane,
Llanero
muere
cantando
aunque
esté
penando
el
alma,
Un
llanero
meurt
en
chantant
même
s'il
souffre
dans
son
âme,
Soy
nacido
en
el
Apure,
cantor
de
la
tierra
llana.
Je
suis
né
dans
l'Apure,
chanteur
de
la
terre
plate.
Y
mañana
cuando
muera
no
me
lloren,
mis
paisanos,
Et
demain
quand
je
mourrai,
ne
pleurez
pas,
mes
compatriotes,
Que
me
entierren
en
Arauca
a
sombras
de
un
matapalo,
Que
l'on
m'enterre
à
Arauca
à
l'ombre
d'un
matapalo,
Y
que
la
espuma
del
río
traiga
recuerdos
lejanos.
Et
que
l'écume
de
la
rivière
apporte
des
souvenirs
lointains.
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Авторы: Eneas Perdomo
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