Текст и перевод песни Shirley Bassey - The Bus That Never Comes

The Bus That Never Comes

This godforsaken town
Year in and year out
Where everything is brown
The grass, the trees, the rose, the sky, the mud
Oh the mud

Im looking to the day
That I can clear out
Get far enough away
To New Orleans, New York, new hopes, new heights
And new blood

A bus that never comes
A train that never leaves
Mocks me like the wind
That whistles through the eaves
And doors

I pray someone arrives
I dont care from where
Change both our humdrum lives
By stopping off a while to see the town
And meet me

And when he starts to leave
Starts heading somewhere
The tugging at his sleeve
Could even be a tugging at his heart
Could it be?

A bus that never comes
A train that never leaves
Wakes me from my dreams
I dreamed a dream that weaves

A bus that never comes
A train that never leaves
A bus that never comes
A train that never leaves

Le bus qui n'arrive jamais

Cette ville maudite
Année après année
Où tout est brun
L'herbe, les arbres, la rose, le ciel, la boue
Oh, la boue

J'attends le jour
Où je pourrai partir
Aller assez loin
À la Nouvelle-Orléans, à New York, de nouveaux espoirs, de nouvelles hauteurs
Et du sang neuf

Un bus qui n'arrive jamais
Un train qui ne part jamais
Se moque de moi comme le vent
Qui siffle à travers les gouttières
Et les portes

Je prie pour que quelqu'un arrive
Je m'en fiche d'où
Change nos vies monotones
En s'arrêtant un moment pour voir la ville
Et me rencontrer

Et quand il commence à partir
Commence à aller quelque part
La traction à sa manche
Pourrait même être une traction à son cœur
Serait-ce possible?

Un bus qui n'arrive jamais
Un train qui ne part jamais
Me réveille de mes rêves
J'ai rêvé d'un rêve qui se tisse

Un bus qui n'arrive jamais
Un train qui ne part jamais
Un bus qui n'arrive jamais
Un train qui ne part jamais