Текст и перевод песни Silvito el Libre - A ti no te gusta el rap

A ti no te gusta el rap

El rap con P

Recuerdo que te conoci en, unos de esos bonches callejeros
Me pusiste el pero pa al final entrar al hormiguero
Descubri quien eras y te soy sincero
A ti no te gusta el rap, a ti te gustan los raperos
Sombrero, sudadera chop pa la cadera
Saca billetera porque las groupies no usan carteras
Veras, medias pa afuera (si) vocabulario abierto
Alcohol y converse pa entrarle mas fresca a los conciertos
Hablamos mucho aunque mucho no entendi
Si la fiesta no se acaba creo que me duermo ahi
No tenias quien te llevara y me preguntaste a mi
Que te iba a decir a ti si mi nombre comienza con si (si)
Pa que contaste la segunda parte del drama
Me caracterizo por portarme bien y respetar las damas
Me pongo chama siento que el deber me llama
Y asi fue que casualmente terminamos en la cama mama
Se de que esas cosas no son de verdad
Falsa realidad busca algo que estrofa mas pa atras
Descarga na mas, sientate y disfruta del momento
Que ese tipo e caso siempre termina en reprendimiento
Al otro dia ya La Habana lo sabia
Como perseguia por poco me busca hasta la policia
Con papelazos, escandalos, guaperias
Que hasta tube que inventarles que tenia una mujer paria
Historias que crea la mente, dañan a la gente
Y se repiten constantemente
Consciente, sigue y dejame vivir la vida busca la salida
Y echale la culpa a la bebida

A ti no te gusta el rap
Lo tuyo es la farandula, descarga na mas,
Entrar al concierto por atras
A ti no te gusta el rap
Tu sigue en tu universidad,
Despertate ma que yo hablo de la realidad
A ti no te gusta el rap
A ti te gusta las peñitas, las griterias,
La guarita tu tranquilita
A ti no te gusta
Entretiene mientra en palos vienes
Soy sincero es que a ti te gustan los raperos

Estube, buscandole sentido por saber, poder comprender
Escuchar criterios de mujer
Y asi pude ver, que hay personas que a veces no crecen
Su orgullo perece pues son victimas de inmadureces (se)
Pasaron meses tantos que casi olvide
To lo que pase, casi me enferme cuando le saque el pie
Un dia que me soltaron de esa pata y se
Marcando el porque, en la misma esquina ahi me la encontre
Por suerte la pepilla apenas me miro
Yo me dije yo, libre que rapido te olvido
Menos mal, que nunca le gusto la confusion
Porque estaba muy contenta de manos con un negron
De esos, pullover zero 5 xxl
Gorras de los yankees y unas botas de esas grandes como duelen
Buscaneriando y derritiendo papeles
Que espere en la guagua y fui bajando como el cha con velez
Pa la casa, son cosas que pasan como vicios
Y sacan de quicio pa el gusto se hicieron los oficios
Gente, inconsecuente caliente sin claros fines
Que los mismos bailan con calimba que con los patines
Al pan pan y al vino vino sin mucha intriga
Al muchacho de las botas grandes que dios lo bendiga
En lo que diga, puede ser mi amiga en unos años
Y a mi no me dan deseos
De salir ni el dia de mi cumpleaños
Las experiencias son cadenas que arrastramos
Le damos rienda al deseo y ahi nos despreocupamos
Pues caemos, en jueguitos algo peligrosos
Seas rapero, bombero, buzo o cazador de osos

A ti no te gusta el rap
Lo tuyo es la farandula,
Descarga na mas, entrar al concierto por atras
A ti no te gusta el rap
Tu sigue en tu universidad,
Despertate ma que yo hablo de la realidad
A ti no te gusta el rap
A ti te gusta las peñitas,
Las griterias, la guarita tu tranquilita
A ti no te gusta
Entretiene mientra en palos vienes
Soy sincero es que a ti te gustan los raperos

Tu n'aimes pas le rap

Le rap avec un grand R

Je me souviens t’avoir rencontrée à l’une de ces fêtes de rue
Tu as fait la difficile avant de finalement rentrer dans la fourmilière
J’ai découvert qui tu étais et pour être honnête,
Tu n’aimes pas le rap, toi tu aimes les rappeurs
Bonnet, sweat à capuche, chaîne qui pendouille
Sors ton portefeuille car les groupies n’utilisent pas de sacs à main
Tu vois, chaussettes remontées (ouais), vocabulaire cru
Alcool et conversation pour mieux t’introduire aux concerts
On a beaucoup parlé même si je n’ai pas tout compris
Si la fête ne se termine pas, je crois que je vais m’endormir là
Tu n’avais personne pour te ramener et tu me l’as demandé
Qu’est-ce que j’allais te dire quand mon prénom commence par Si (si)
Pourquoi as-tu raconté la deuxième partie du drame ?
Je suis connu pour être bien élevé et respecter les femmes
Je fais le gentil, je sens que le devoir m’appelle
Et c’est comme ça qu’on s’est retrouvé au lit, maman
Je sais que ces choses-là ne sont pas sérieuses
Fausse réalité qui cherche quelque chose de plus superficiel
Détends-toi, assieds-toi et profite du moment
Car ce genre de mec finit toujours par des reproches
Le lendemain, tout La Havane était au courant
À me pourchasser comme ça, j’ai failli avoir la police à mes trousses
Avec des histoires montées en épingle, des scandales, des vantardises
J’ai même dû inventer que j’avais une femme à côté
Des histoires que l’esprit crée, qui font du mal aux gens
Et qui se répètent constamment
Consciente, continue et laisse-moi vivre ma vie, cherche la sortie
Et mets tout sur le dos de l’alcool

Toi, tu n’aimes pas le rap
Ce que tu aimes, c’est le show-biz, détends-toi,
Entrer dans les concerts par la porte de derrière
Tu n’aimes pas le rap
Continue d’aller à la fac,
Réveille-toi, moi je parle de la vraie vie
Tu n’aimes pas le rap
Tu aimes les petites fêtes, les cris,
La tranquillité, être tranquille
Toi, tu n’aimes pas
Tu t’amuses en attendant le bon moment
Je suis franc, ce que tu aimes, ce sont les rappeurs

J’ai cherché un sens, pour savoir, pour comprendre
Écouter le point de vue des femmes
Et j’ai pu constater qu’il y a des gens qui ne grandissent jamais
Leur fierté s’effondre car ils sont victimes de leur immaturité
Des mois ont passé, tellement que j’avais presque tout oublié
Tout ce qui s’est passé, j’ai failli tomber malade en m’en libérant
Un jour où j’ai été libéré de cette emprise,
En cherchant pourquoi, au même coin de rue, je suis tombé sur elle
Par chance, la petite ne m’a presque pas regardé
Je me suis dit, Libre, comme elle t’a vite oublié
Heureusement qu’elle n’a jamais aimé la confusion
Car elle avait l’air très heureuse, main dans la main avec un grand noir
Un de ces mecs, pull-over Zero Five XXL
Casquette des Yankees et des grosses bottes comme celles qui font mal aux pieds
À faire des allers-retours en attendant des papiers
J’ai attendu en vain et j’ai déchanté comme El Cha avec Velez
Retour à la maison, ce sont des choses qui arrivent, comme des vices
Et qui rendent dingue, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas
Des gens incohérents, excités, sans but précis
Qui dansent aussi bien la calinda qu’avec des patins à roulettes
Appelons un chat un chat, sans détour
Que Dieu bénisse le gars aux grosses bottes
Au fond, elle pourrait être mon amie dans quelques années
Et moi, je n’ai aucune envie
De sortir, même le jour de mon anniversaire
Les expériences sont des chaînes que nous traînons
On cède au désir et on ne s’en soucie plus
Car on tombe dans des jeux un peu dangereux
Que tu sois rappeur, pompier, plongeur ou chasseur d’ours

Toi, tu n’aimes pas le rap
Ce que tu aimes, c’est le show-biz,
Détends-toi, entrer dans les concerts par la porte de derrière
Tu n’aimes pas le rap
Continue d’aller à la fac,
Réveille-toi ma belle, moi je parle de la vraie vie
Tu n’aimes pas le rap
Tu aimes les petites fêtes,
Les cris, la tranquillité, être tranquille
Toi, tu n’aimes pas
Tu t’amuses en attendant le bon moment
Je suis franc, ce que tu aimes, ce sont les rappeurs