Текст и перевод песни Sister Crayon - Meager Leavings

Meager Leavings

Meager leavings,
I was so afraid
Of the constant edge that my mother gave
I inherit it
From her pale, white face
Rough from disappointment and a cold hard age
Oh, the things that she has seen
And because of it, so have I
With her own two eyes
Which are now sadly mine
I hold her frustration in my arms, in my chest
Because I'll never fully know her, I can never rest.

Stranger that birthed me,
Leave me unnerving.
Swallow my years as well as this anger,
Where does the time go?
I was a child once

It doesn't scare me, us looking back
'Cause the only truth I've known is from my past
Our lonely father
Wonder where he's at
Sometimes, I've wrung my hands in prayer
It's killed the effect
Oh, how you cling to your psalms
Clutched in your palms
I cry in near prayer
To pronounce your tragic prose
To confuse faith with labor is to let your kill linger

Stranger that birthed me
Leave me unnerving
Swallow my years as well as this anger
Where does the time go?
I was a child once
It doesn't scare me,
Us looking back.

Stranger that birthed me, leave me.

Restes maigres

Restes maigres,
J'avais tellement peur
De la pointe constante que ma mère m'a donnée
Je l'hérite
De son visage pâle et blanc
Rugueux de déception et d'un âge dur et froid
Oh, les choses qu'elle a vues
Et à cause de cela, moi aussi
Avec ses propres yeux
Qui sont maintenant malheureusement les miens
Je porte sa frustration dans mes bras, dans ma poitrine
Parce que je ne la connaîtrai jamais vraiment, je ne pourrai jamais me reposer.

Étrangère qui m'a mise au monde,
Laisse-moi angoissante.
Avale mes années ainsi que cette colère,
Où va le temps ?
J'étais une enfant autrefois

Cela ne me fait pas peur, nous regarder en arrière
Parce que la seule vérité que j'ai connue vient de mon passé
Notre père solitaire
Je me demande où il se trouve
Parfois, j'ai serré les mains en prière
Cela a tué l'effet
Oh, comment tu t'accroches à tes psaumes
Serres dans tes paumes
Je pleure dans la prière
Pour prononcer ta prose tragique
Confondre la foi avec le travail, c'est laisser ton meurtre perdurer

Étrangère qui m'a mise au monde
Laisse-moi angoissante
Avale mes années ainsi que cette colère
Où va le temps ?
J'étais une enfant autrefois
Cela ne me fait pas peur,
Nous regarder en arrière.

Étrangère qui m'a mise au monde, laisse-moi.