Текст и перевод песни Sonic Boom Six - Welcome to the City of Thieves

Welcome to the City of Thieves

Look around at the corpse of a broken god, bones scattered across the landscape.
Dereliction, no congregation made minds up made their escape.
What do we worship in its place? The spirit of greed and excesses.
A poisoned ghost with a smiling face says "Yo ho ho write cheques," this

Welcome to the City of Thieves just another way to make a living.
Welcome to the City of Thieves whatever happened to giving and receiving?

Sing along to the words but we don't know why it's a hollow traditional thing.
Just as long as the sound drowning out any doubt we be servile slaves to this king.
Down in the tenements they fill their boots and bags made of plastic.
Across their screens a jester screams his song that sounds sarcastic.

Welcome to the City of Thieves just another way to make a living.
Welcome to the City of Thieves whatever happened to giving and receiving?
Welcome to the city of thieves come here anytime but we don't speak of leaving.

Bienvenue dans la ville des voleurs

Regarde autour de toi, le cadavre d'un dieu brisé, ses os éparpillés sur le paysage.
La déréliction, aucune congrégation n'a fait son choix, elle s'est enfuie.
Que vénérons-nous à sa place ? L'esprit de la cupidité et des excès.
Un fantôme empoisonné avec un sourire dit : "Yo ho ho, écris des chèques", ce

Bienvenue dans la ville des voleurs, juste une autre façon de gagner sa vie.
Bienvenue dans la ville des voleurs, que s'est-il passé avec le don et le recevoir ?

Chante les paroles, mais nous ne savons pas pourquoi c'est une chose creuse et traditionnelle.
Tant que le son noie tout doute, nous sommes des esclaves serviles de ce roi.
Dans les taudis, ils remplissent leurs bottes et leurs sacs en plastique.
Sur leurs écrans, un bouffon crie sa chanson qui semble sarcastique.

Bienvenue dans la ville des voleurs, juste une autre façon de gagner sa vie.
Bienvenue dans la ville des voleurs, que s'est-il passé avec le don et le recevoir ?
Bienvenue dans la ville des voleurs, viens quand tu veux, mais nous ne parlons pas de partir.