Текст и перевод песни Sorack'fu - Efímero

Efímero

Cómo decir que me parte' en mil
Las esquinita' de mis huesos
Que han caído los esquemas de mi vida
Ahora que todo era perfecto
Y algo más que eso
Me a'sorbiste el seso y me desciende el peso
De este cuerpecito mío
Que se ha convertido en río
De este cuerpecito mío
Que se ha convertido en río
Me cuesta abrir los ojos
Y lo hago poco a poco
No sea que aún te encuentre cerca
Me guardo tu recuerdo como el mejor secreto
¡Qué dulce fue tenerte dentro!
Hay un trozo de luz en esta oscuridad
Para prestarme calma
El tiempo todo calma (el tiempo todo calma)
La tempestad y la calma (la tempestad y la calma)
El tiempo todo calma (el tiempo todo calma)
La tempestad y la calma (la tempestad y la calma)
Escucho tu respiración y sólo es mi imaginación
Toda acción lleva una reacción
Dolor de polo a polo
Aspiras a la perfección en mí causaste destrucción
Mujer eres una adicción
Igual que ayer, hoy estoy solo
No sabes qué es amor, sólo imagina
El día que te marchaste también se fue mi autoestima
Y yo que era un bastardo que sabía de disciplina
Terminé llorándote con tu foto tras la vitrina
Eres, serás y fuiste una toxina
Me arrastré como un reptil por tus besos sabor morfina
Cada frase era un error nunca quisiste explicar
¿Por qué me trataste así?
¿De eso se trataba amar?
Esto más que una canción parece una carta
Por cuestión ajena a mí siento que el karma se tarda
Te fuiste y me dejaste huecos llenos de sangre
Yo que tenía sed de ti y hasta me mataste de hambre
Siempre me quedará
La voz suave del mar
Volver a respirar
La lluvia que caerá
Sobre este cuerpo y mojará
La flor que crece en mí
Y volver a reír
Y cada día, un instante volver a pensar en ti
En la voz suave del mar
En volver a respirar
La lluvia que caerá sobre este cuerpo y mojará
La flor que crece en mí
Y volver a reír
Y cada día un instante volver a pensar en ti
Ya vivo con el alcohol por el cual me excedo
Los recuerdos son la clave por la cual me empedo
Pregunto ¿Por qué seguir? mejor retrocedo
Para no escribirte nada me arranqué los dedos
Cualquier palabra ahora me sale sobrando
Si sólo el techo sabe cuánto lo llevo observando
Mejor estar recibiendo que el corazón entregando
Yo te lo di todo a ti sólo me estaba matando
Y es que no te fuiste al cielo te quedaste aquí en la tierra
Cambiaste todo mi amor por los besos de un cualquiera
Me ahogo en mi coraje porque jamás volverás
Y si vienes pido perdón no hay segunda oportunidad
Y yo sé que el tiempo es el mejor doctor
Pero mientras tanto dígame ¿Qué hago con el dolor?
Ya no quiero decir más pero te hago un favor
Lo que das recibirás y yo ya estaré mejor
Siempre me quedará
La voz suave del mar
Volver a respirar
La lluvia que caerá
Sobre este cuerpo y mojará
La flor que crece en mí
Y volver a reír
Y cada día un instante volver a pensar en ti
En la voz suave del mar
En volver a respirar
La lluvia que caerá sobre este cuerpo y mojará
La flor que crece en mí
Y volveré a reír
Y cada día, un instante volver a pensar en ti
Lloré, lloré y lloré ¿Mientras tú qué hacías?
Sigo sin comprender si de verdad lo merecía
Acostado en la cama hasta hundirme en su vacío
Olvidé toda razón, motivo por el cual sonrío
Cada canción, cada poema me recuerda a ti
Cada fotografía, lo que a mí me hacía feliz
Me fulminó, lo destruyó creo que no hubo un nosotros
Me derrumbó y sólo huyó hacia los brazos de otros
La ciudad está vacía choca mi misantropía
¿Quién lo iba a decir, que ni tu ser me salvaría?
Y es que arde demasiado pero bueno es utopía
Ni el espejo ayuda mucho veo tu cara y no la mía
El amor duele susurraron los poetas
Y gritos de pasión que no salen de esta libreta
El amor duele lo dice éste desgraciado
Sólo yo tengo la culpa por amarte demasiado
Siempre me quedará
La voz suave del mar
Volver a respirar
La lluvia que caerá
Sobre este cuerpo y mojará
La flor que crece en mí
Y volver a reír
Y cada día, un instante volver a pensar en ti
En la voz suave del mar
En volver a respirar
La lluvia que caerá sobre este cuerpo y mojará
La flor que crece en mí
Y volveré a reír
Y cada día, un instante volver a pensar en ti

Éphémère

Comment dire que tu me déchires en mille morceaux,
Jusqu'au coin de mes os.
Que les schémas de ma vie se sont effondrés
Maintenant que tout était parfait
Et même plus que ça.
Tu as absorbé mon cerveau et le poids de mon corps s'envole,
De ce petit corps qui est mien,
Qui s'est transformé en rivière,
De ce petit corps qui est mien,
Qui s'est transformé en rivière.
J'ai du mal à ouvrir les yeux,
Et je le fais petit à petit,
Au cas où je te trouverais encore près de moi.
Je garde ton souvenir comme le plus beau des secrets,
Comme il était doux de t'avoir en moi!
Il y a un morceau de lumière dans cette obscurité
Pour m'apporter le calme.
Le temps apaise tout (le temps apaise tout),
La tempête et le calme (la tempête et le calme),
Le temps apaise tout (le temps apaise tout),
La tempête et le calme (la tempête et le calme).
J'entends ta respiration et ce n'est que mon imagination,
Chaque action entraîne une réaction,
Douleur d'un pôle à l'autre.
Tu aspires à la perfection, en moi tu as causé la destruction,
Femme, tu es une addiction.
Comme hier, aujourd'hui je suis seul,
Tu ne sais pas ce qu'est l'amour, imagine seulement,
Le jour où tu es partie, mon estime de moi s'est envolée aussi,
Et moi qui étais un bâtard qui connaissais la discipline,
J'ai fini par te pleurer avec ta photo derrière la vitrine.
Tu es, tu seras et tu as été une toxine,
J'ai rampé comme un reptile pour tes baisers au goût de morphine.
Chaque phrase était une erreur, tu n'as jamais voulu expliquer,
Pourquoi m'as-tu traité ainsi ?
Était-ce ça, aimer ?
Ceci, plus qu'une chanson, ressemble à une lettre,
Pour une raison qui m'échappe, j'ai l'impression que le karma tarde à venir.
Tu es partie et tu m'as laissé des trous remplis de sang,
Moi qui avais soif de toi, tu m'as même fait mourir de faim.
Il me restera toujours,
Le doux bruit de la mer,
Le retour du souffle,
La pluie qui tombera,
Sur ce corps et le mouillera,
La fleur qui pousse en moi,
Et le retour du sourire,
Et chaque jour, un instant pour repenser à toi.
Au doux bruit de la mer,
Au retour du souffle,
La pluie qui tombera sur ce corps et le mouillera,
La fleur qui pousse en moi,
Et le retour du sourire,
Et chaque jour, un instant pour repenser à toi.
Je vis maintenant avec l'alcool dont j'abuse,
Les souvenirs sont la clé de mon ivresse,
Je me demande pourquoi continuer ? Je préfère reculer,
Pour ne rien t'écrire, je me suis arraché les doigts.
N'importe quel mot me semble superflu maintenant,
Si seulement le plafond savait combien de temps je passe à l'observer,
Mieux vaut recevoir que donner son cœur,
Je t'ai tout donné, tu me tuais à petit feu.
Et tu n'es pas partie au ciel, tu es restée ici sur terre,
Tu as échangé tout mon amour contre les baisers d'un inconnu.
Je me noie dans ma rage car tu ne reviendras jamais,
Et si tu venais, je te demande pardon, il n'y a pas de seconde chance.
Et je sais que le temps est le meilleur médecin,
Mais en attendant, dites-moi, que faire de la douleur ?
Je ne veux plus rien dire, mais je te fais une faveur,
Tu récolteras ce que tu sèmes et moi, j'irai mieux.
Il me restera toujours,
Le doux bruit de la mer,
Le retour du souffle,
La pluie qui tombera,
Sur ce corps et le mouillera,
La fleur qui pousse en moi,
Et le retour du sourire,
Et chaque jour, un instant pour repenser à toi.
Au doux bruit de la mer,
Au retour du souffle,
La pluie qui tombera sur ce corps et le mouillera,
La fleur qui pousse en moi,
Et je retrouverai le sourire,
Et chaque jour, un instant pour repenser à toi.
J'ai pleuré, pleuré et pleuré, et toi que faisais-tu ?
Je n'arrive toujours pas à comprendre si je le méritais vraiment.
Allongé dans mon lit, me noyant dans le vide,
J'ai oublié toute raison, tout ce qui me faisait sourire.
Chaque chanson, chaque poème me rappelle toi,
Chaque photo, ce qui me rendait heureux.
Elle m'a foudroyé, elle a tout détruit, je crois qu'il n'y a jamais eu de nous,
Elle m'a brisé et s'est enfuie dans les bras d'autres.
La ville est vide, ma misanthropie me heurte,
Qui aurait cru que même ton être ne me sauverait pas ?
Et ça brûle trop, mais bon, c'est une utopie,
Même le miroir n'aide pas beaucoup, je vois ton visage et non le mien.
L'amour fait mal, ont murmuré les poètes,
Et des cris de passion qui ne sortent pas de ce carnet.
L'amour fait mal, dit ce malheureux,
Je suis le seul coupable de t'avoir trop aimée.
Il me restera toujours,
Le doux bruit de la mer,
Le retour du souffle,
La pluie qui tombera,
Sur ce corps et le mouillera,
La fleur qui pousse en moi,
Et le retour du sourire,
Et chaque jour, un instant pour repenser à toi.
Au doux bruit de la mer,
Au retour du souffle,
La pluie qui tombera sur ce corps et le mouillera,
La fleur qui pousse en moi,
Et je retrouverai le sourire,
Et chaque jour, un instant pour repenser à toi.