Текст и перевод песни Tamara - Anclame

Anclame

No hay exhibición
De dos magos ke al ke inician su labor
Por quererse dando amor
Por querer continuar
Por kerer salir a flote de este mar
Ke se nos va
Ke enfurece si hay tormenta ke se calma si es vencido sin ablar
Por querer continuar
Por querer continuar te pido

Anclame como tu sabes
Atame sin condicion
Mi piel va a la deriva sin tus remos
Ablame de si algun dia
Tomare por tanto mar
Nuestro escombro sin cesar
Tras la barca de mi voz

Son las cosas de la vida ke te llenan de ilusion
Esperanza amiga mia se a convertido en tu cancion
Que tal vez nos suene mas
Pero esconde la verdad
Por querer continuar de sol a sol hasta entender
O saciarme con tus aguas ke aunke turbias se nos fue
Por kerer continuar, por seguir keriendo amar te ruego

Anclame como tu sabes
Atame sin condicion
Mi piel va a la deriva sin tus remos
Anclame si ves un dia
Ya no vago por tu mar
Akel que me vio llegar
Y shora huele a despedida...

Ancre-moi

Il n'y a pas d'exhibition
De deux magiciens qui commencent leur travail
Pour s'aimer en donnant de l'amour
Pour vouloir continuer
Pour vouloir rester à flot de cette mer
Qui nous quitte
Qui se fâche s'il y a de la tempête, qui se calme s'il est vaincu sans parler
Pour vouloir continuer
Pour vouloir continuer, je te prie

Ancre-moi comme tu sais le faire
Attache-moi sans condition
Ma peau dérive sans tes rames
Parle-moi de si un jour
Je prendrai toute cette mer
Nos débris sans cesse
Après la barque de ma voix

Ce sont les choses de la vie qui te remplissent d'illusions
L'espoir, mon amie, s'est transformé en ta chanson
Qui peut-être nous sonne plus
Mais cache la vérité
Pour vouloir continuer du lever au coucher du soleil jusqu'à comprendre
Ou me rassasier avec tes eaux qui, bien que troubles, nous ont quittés
Pour vouloir continuer, pour continuer à vouloir t'aimer, je te prie

Ancre-moi comme tu sais le faire
Attache-moi sans condition
Ma peau dérive sans tes rames
Ancre-moi si tu vois un jour
Je ne vagabonde plus sur ta mer
Celui qui m'a vu arriver
Et maintenant sent le départ...