Текст и перевод песни Terxero - Caribe

Caribe

Mi herma cógela suave
Que si estos haters nos apuntas con su visaje
Que no confundan la idiotez con tener coraje
Pa' que vamo' a perder el tiempo y baja' la clase
Mala idea

Mi herma cógela suave
Que si estos haters nos apuntas con su visaje
Que no confundan la idiotez con tene' coraje
Siempre que rimo del caribe es un homenaje
Pague y vea

(Hu, ha) tintoso del caribe
De cora pa' toa' mi gente e' Cartacho City
Ya yo no sufro de esa crisis
Si no me quieren to' está bien, pero no niego mis raíces

Te pongo la bandera en alta
"Jhonky" con la champeta "Terxero" con bombo y caja
Relaja, que subió la marea y no se ataja
De "Olaya Herrera" y las "Gaviotas" yo no te hablo paja

Sáquese la estaca del ojo
Raperitos en remojo, no eres un tiburón sino un moncholo
Y ahora de polo a polo
Lo que hay es rap comprenderán que no compiten con nosotros

Que nosotros somos "La Pausa"
Déjenme la lisura y no se pase de la raya
Vaya, vaya que "Golpe Canalla"
Ese cuento ya me lo sé sigue y te corto las alas

Mi herma cógela suave
Que si estos haters nos apuntas con su visaje
Que no confundan la idiotez con tener coraje
Pa' que vamo' a perder el tiempo y baja' la clase
Mala idea

Mi herma cógela suave
Que si estos haters nos apuntas con su visaje
Que no confundan la idiotez con tene' coraje
Siempre que rimo del caribe es un homenaje
Pague y vea

El parche con la gente firme
Esos tiempos que con cinco lucas se pasaba increíble
Uno se pone sensible
Los momentos que se van no vuelven son memorias intangibles

Y pa' esos hijos de... muchas cosas indecibles
Yo dreno las malas vibras pues son inservibles
Siempre me dirijo al entendido es entendible
Que lo mío no conecte contigo por el calibre

Yo no te voa' rima de yuca con ñame
La identidad de mi ciudad me inspira rimas, para que declame
Amor por esos panas que defienden el mensaje
Los hijos del corralito son libres por su coraje

Quiero un atardecer en el paisaje
Y tomarme una fría aunque luego me quede sin los pasajes
Extraño esos lugares, de playas y manglares
Claro que regresaré, vagar en esos bares

Soltar esos pesares, estar en lo que sale
Esa luna de los bohemios que son cantantes
Yo antes... era nocturno y caminante
Ahora vivo atrás de la cordillera de los andes

Mi herma cógela suave
Que si estos haters nos apuntas con su visaje
Que no confundan la idiotez con tener coraje
Pa' que vamo' a perder el tiempo y baja' la clase
Mala idea

Mi herma cógela suave
Que si estos haters nos apuntas con su visaje
Que no confundan la idiotez con tene' coraje
Siempre que rimo del caribe es un homenaje
Pague y vea

Somos la cara de esto, aunque nadie lo note, (la, la, ra)
Somos la cara de esto aunque nadie lo note, (ha, ha, haaa, haa)
Nosotros somos la pausa, (hayy) cógela suave (heey)
Nosotros somos la pausa, elevo la bandera y te lo pongo en alta

Caraïbes

Mon frère, calme-toi,
Si ces rageux nous visent avec leur regard noir,
Qu'ils ne confondent pas bêtise et courage,
Pourquoi perdre notre temps et baisser notre niveau ?
Mauvaise idée.

Mon frère, calme-toi,
Si ces rageux nous visent avec leur regard noir,
Qu'ils ne confondent pas bêtise et courage,
Chaque fois que je rappe sur les Caraïbes, c'est un hommage,
Payez et vous verrez.

(Hu, ha) le teint basané des Caraïbes,
Du fond du cœur pour tous mes gens de Cartacho City,
Je ne souffre plus de cette crise,
S'ils ne m'aiment pas tous, c'est bon, mais je ne nie pas mes racines.

Je porte le drapeau haut et fier,
"Jhonky" avec la champeta, "Terxero" avec la grosse caisse et la caisse claire,
Détends-toi, la marée est haute et ne s'arrête pas,
De "Olaya Herrera" et des "Gaviotas", je ne te raconte pas de conneries.

Enlève la poutre que tu as dans l'œil,
Petits rappeurs en difficulté, tu n'es pas un requin mais un poisson-chat,
Et maintenant d'un pôle à l'autre,
Ce qu'il y a c'est du rap, ils comprendront qu'ils ne peuvent pas rivaliser avec nous.

Parce que nous sommes "La Pausa",
Laissez-moi tranquille et ne dépassez pas les bornes,
Voyez-vous ça, "Golpe Canalla",
Je connais déjà cette histoire, continue et je te coupe les ailes.

Mon frère, calme-toi,
Si ces rageux nous visent avec leur regard noir,
Qu'ils ne confondent pas bêtise et courage,
Pourquoi perdre notre temps et baisser notre niveau ?
Mauvaise idée.

Mon frère, calme-toi,
Si ces rageux nous visent avec leur regard noir,
Qu'ils ne confondent pas bêtise et courage,
Chaque fois que je rappe sur les Caraïbes, c'est un hommage,
Payez et vous verrez.

Le groupe, avec les gens solides,
Ces moments où avec cinq lucas, on s'amusait comme des fous,
On devient sensible,
Les moments passés ne reviennent pas, ce sont des souvenirs intangibles.

Et pour ces fils de..., beaucoup de choses indicibles,
Je draine les mauvaises ondes car elles sont inutiles,
Je m'adresse toujours à ceux qui comprennent, c'est compréhensible,
Que ce que je fais ne te parle pas à cause du calibre.

Je ne vais pas te rapper des rimes de manioc et d'igname,
L'identité de ma ville m'inspire des rimes, pour que je les déclame,
Amour pour ces frères qui défendent le message,
Les enfants du quartier sont libres par leur courage.

Je veux un coucher de soleil sur le paysage,
Et boire une bière fraîche même si après je n'ai plus de quoi payer le voyage,
Ces endroits me manquent, avec leurs plages et leurs mangroves,
Bien sûr que j'y retournerai, traîner dans ces bars,

Lâcher prise, profiter de ce qui se présente,
Cette lune des bohèmes qui chantent,
Avant... j'étais un oiseau de nuit, un promeneur,
Maintenant je vis derrière la Cordillère des Andes.

Mon frère, calme-toi,
Si ces rageux nous visent avec leur regard noir,
Qu'ils ne confondent pas bêtise et courage,
Pourquoi perdre notre temps et baisser notre niveau ?
Mauvaise idée.

Mon frère, calme-toi,
Si ces rageux nous visent avec leur regard noir,
Qu'ils ne confondent pas bêtise et courage,
Chaque fois que je rappe sur les Caraïbes, c'est un hommage,
Payez et vous verrez.

On est le visage de tout ça, même si personne ne le remarque, (la, la, ra)
On est le visage de tout ça, même si personne ne le remarque, (ha, ha, haaa, haa)
Nous sommes la pause, (hayy) calme-toi (heey)
Nous sommes la pause, je lève le drapeau et je le porte haut et fier.