Текст и перевод песни The Acacia Strain - Graveyard Shift

Graveyard Shift

I cut out her tongue when she said my name
My eyes are open but I am not awake
They found the knife buried deep inside her
The sky seems higher
The sun seems brighter
Black and blue broken bloodied and bruised
Just like a dream from which you never wake up
I am in hell
Trapped inside myself
Ignorance is bliss
And there is freedom in carelessness
I sleep,
But I refuse so dream.
Don′t you ever pray for me
Coming apart at the seams
There is no good inside of me
One day a storm will come and wash away the weak
Someday death will come and wake me from this sleep
We are defined by the burdens we keep
The burden I see is the burden of sleep
I am still in hell
Trapped inside myself
Regret unconsciousness as we spiral into the abyss
She told me she wanted to meet the reaper
I had only done her a favor
She didn't deserve to die
But I deserved to kill her
Grinding my teeth to dust
Prison bars have begun to rust
On the line between living and dead,
As your eyes roll back into your head.
This fog will never lift
Wide awake in nothingness
A mountain of torture a waits
I′ll see you at the pearly gates

Graveyard Shift

Je lui ai coupé la langue quand elle a prononcé mon nom.
Mes yeux sont ouverts mais je ne suis pas réveillé
Ils ont trouvé le couteau profondément enterré en elle
Le ciel semble plus haut
Le soleil semble plus brillant
Noir et bleu, cassée, ensanglantée et meurtrie
Comme un rêve dont on ne se réveille jamais.
Je suis en enfer
Piégé en moi-même
L'ignorance est un bonheur
Et il y a de la liberté dans l'insouciance
Je dors,
Mais je refuse de rêver
Ne prie jamais pour moi
Je me déchire
Il n'y a rien de bon en moi
Un jour, une tempête viendra et emportera les faibles
Un jour, la mort viendra et me réveillera de ce sommeil
Nous sommes définis par les fardeaux que nous portons
Le fardeau que je vois est le fardeau du sommeil
Je suis toujours en enfer
Piégé en moi-même
Regrette l'inconscience alors que nous sombrons dans l'abîme.
Elle m'a dit qu'elle voulait rencontrer le moissonneur
Je ne lui avais rendu qu'une faveur
Elle ne méritait pas de mourir
Mais je méritais de la tuer
Je grince des dents jusqu'à les réduire en poussière
Les barreaux de la prison ont commencé à rouiller
Sur la ligne entre la vie et la mort,
Alors que tes yeux se révulsent dans ta tête
Ce brouillard ne se dissipera jamais.
Bien éveillé dans le néant.
Une montagne de torture t'attend.
Je te retrouverai aux portes nacrées.