Текст и перевод песни The Central Band of The Royal British Legion feat. Danny Dyer - In Memoriam

In Memoriam

So you were David's father,
And he was your only son,
And the new-cut peats are rotting
And the work is left undone,
Because of an old man weeping,
Just an old man in pain,
For David, his son David,
That will not come again.

Oh, the letters he wrote you,
And I can see them still,
Not a word of the fighting
But just the sheep on the hill
And how he should get the crops in
Ere the year got stormier,
And the Bosches have got his body,
And I was his officer.

Your were only David's father,
But I had fifty sons
When we went up in the evening
Under the arch of the guns,
And we came back at twilight—
O God! I heard them call
To me for help and pity
That could not help at all.

Oh, never will I forget you,
My men that trusted me,
More my sons than your fathers',
For they could only see
The little helpless babies
And the young men in their pride.
They could not see you dying,
And hold you while you died.

Happy and young and gallant,
They saw their first-born go,
But not the strong limbs broken
And the beautiful men brought low,
The piteous writhing bodies,
The screamed, "Don't leave me, Sir,"
For they were only your fathers
And I was your officer.

À la mémoire

Alors, tu étais le père de David,
Et il était ton seul fils,
Et les tourbes fraîchement coupées pourrissent
Et le travail reste inachevé,
À cause d'un vieil homme qui pleure,
Juste un vieil homme dans la douleur,
Pour David, son fils David,
Qui ne reviendra plus.

Oh, les lettres qu'il t'a écrites,
Et je peux encore les voir,
Pas un mot du combat
Mais juste les moutons sur la colline
Et comment il devrait rentrer les récoltes
Avant que l'année ne devienne plus tempétueuse,
Et les Boches ont pris son corps,
Et j'étais son officier.

Tu n'étais que le père de David,
Mais j'avais cinquante fils
Quand nous sommes montés le soir
Sous l'arche des canons,
Et nous sommes revenus au crépuscule—
O Dieu ! Je les ai entendus appeler
À mon aide et à ma pitié
Que je ne pouvais pas donner.

Oh, je ne vous oublierai jamais,
Mes hommes qui me faisaient confiance,
Plus mes fils que vos pères,
Car ils ne pouvaient voir que
Les petits bébés sans défense
Et les jeunes hommes dans leur orgueil.
Ils ne pouvaient pas te voir mourir,
Et te tenir pendant que tu mourais.

Heureux, jeunes et galants,
Ils ont vu leur premier-né partir,
Mais pas les membres forts brisés
Et les beaux hommes abattus,
Les corps piteusement agonisants,
Les cris, "Ne me quitte pas, monsieur",
Car ils n'étaient que vos pères
Et j'étais votre officier.