Текст и перевод песни The Felice Brothers - Inferno

Inferno

We were 17
Hoping for better things
Like worms waiting for wings
And high school rings
Fight Club was sold out
We went to see Inferno instead
You said, "I never even heard of it
But I liked Karate Kid"

Who′s that riding on the banks of the Rio Grande?
It's Jean-Claude Van Damme
It′s Jean-Claude Van Damme
Who's that riding on the banks of the Rio Grande?
It's Jean-Claude Van Damme
It′s Jean-Claude Van Damme

I can′t make sense of this
Why some memories persist
Halfway through we left
And shared a cigarette
I can't go home
The way is dark and overgrown
Although your hand′s in my hand
I fail to understand

Who's that singing in the land of the falling rain?
I think it′s Kurt Cobain
I think it's Kurt Cobain
Who′s that singing in the land of the falling rain?
I think it's Kurt Cobain
I think it's Kurt Cobain

In this recurring dream
Two swans on a rushing stream
Things are seldom as they seem
In a fevered dream
And into the fire
Into the fire, they go
Far from the world they know
Into the fire, they go

Enfer

On avait 17 ans
On espérait des choses meilleures
Comme des vers attendant des ailes
Et des bagues de fin d'études
Fight Club était complet
On est allés voir Inferno à la place
Tu as dit, "Je n'en ai jamais entendu parler
Mais j'ai aimé Karaté Kid"

Qui est-ce qui chevauche sur les rives du Rio Grande ?
C'est Jean-Claude Van Damme
C'est Jean-Claude Van Damme
Qui est-ce qui chevauche sur les rives du Rio Grande ?
C'est Jean-Claude Van Damme
C'est Jean-Claude Van Damme

Je n'arrive pas à comprendre
Pourquoi certains souvenirs persistent
À mi-chemin, on est partis
Et on a partagé une cigarette
Je ne peux pas rentrer à la maison
Le chemin est sombre et envahi par la végétation
Même si ta main est dans la mienne
Je ne comprends pas

Qui est-ce qui chante au pays de la pluie qui tombe ?
Je crois que c'est Kurt Cobain
Je crois que c'est Kurt Cobain
Qui est-ce qui chante au pays de la pluie qui tombe ?
Je crois que c'est Kurt Cobain
Je crois que c'est Kurt Cobain

Dans ce rêve récurrent
Deux cygnes sur un courant rapide
Les choses sont rarement ce qu'elles semblent être
Dans un rêve fébrile
Et dans le feu
Dans le feu, ils vont
Loin du monde qu'ils connaissent
Dans le feu, ils vont