Текст и перевод песни The Residents - Migration

Migration

We're rising as the sun retreats into the trees
Thinking of our destination as we start to leave
Marching to the sea, we're marching to the sea

Marching to the sea, we're marching to the sea
Marching to the sea, we're marching to the sea
Marching to the sea, marching to the sea
Marching to the sea, we're marching to the sea

Marching to the sea, marching to the sea
Marching to the sea, we're marching to the sea
Marching to the sea, marching to the sea
Marching to the sea, we're marching to the sea

Smiling from the gentle touches of the evening breeze
And no one is unhappy now and no one is fatigued
We're marching to the sea, marching to the sea

I'm a tired old man in a tired old land
Watching shadows moving across the sand
Now they move at night and I understand
That they cannot see more than they can stand

I have been deceived, I have been murdered
I have seen the soul of a unborn lamb
It can burn a hole in a guilty man
But it cannot stand in a foreign land

We have left our lamb, we have left our land
We have left behind all we understand
Now we must cry out, yes, we must demand
That children live in a land that's low

Where the holes are deeper than light can go
Let them have not pride but instead a soul
That sees the shame of the hands that hold

Migration

Nous nous levons alors que le soleil se retire dans les arbres
Pensant à notre destination alors que nous commençons à partir
Marchant vers la mer, nous marchons vers la mer

Marchant vers la mer, nous marchons vers la mer
Marchant vers la mer, nous marchons vers la mer
Marchant vers la mer, marchant vers la mer
Marchant vers la mer, nous marchons vers la mer

Marchant vers la mer, marchant vers la mer
Marchant vers la mer, nous marchons vers la mer
Marchant vers la mer, marchant vers la mer
Marchant vers la mer, nous marchons vers la mer

Souriant des douces caresses de la brise du soir
Et personne n'est malheureux maintenant et personne n'est fatigué
Nous marchons vers la mer, marchant vers la mer

Je suis un vieil homme fatigué dans une vieille terre fatiguée
Regardant les ombres se déplacer sur le sable
Maintenant ils se déplacent la nuit et je comprends
Qu'ils ne peuvent pas voir plus qu'ils ne peuvent supporter

J'ai été trompé, j'ai été assassiné
J'ai vu l'âme d'un agneau à naître
Elle peut brûler un trou dans un homme coupable
Mais elle ne peut pas tenir dans une terre étrangère

Nous avons quitté notre agneau, nous avons quitté notre terre
Nous avons laissé derrière nous tout ce que nous comprenons
Maintenant, nous devons crier, oui, nous devons exiger
Que les enfants vivent dans une terre qui est basse

Où les trous sont plus profonds que la lumière ne peut aller
Laisse-les n'avoir pas de fierté mais à la place une âme
Qui voit la honte des mains qui tiennent