Текст и перевод песни The Smiths - Cemetary Gates - Live in London, 1986

Cemetary Gates - Live in London, 1986

A dreaded sunny day
So I meet you at the cemetery gates
Keats and Yeats are on your side
A dreaded sunny day
So I meet you at the cemetery gates
Keats and Yeats are on your side
While Wilde is on mine
So we go inside and we gravely read the stones
All those people, all those lives
Where are they now?
With loves, and hates and passions just like mine
They were born and then they lived and then they died
It seems so unfair, I want to cry
You say, "Ere thrice the sun done salutation to the dawn"
And you claim these words as your own
But I've read well, and I've heard them said
A hundred times maybe less, maybe more
If you must write prose and poems
The words you use should be your own
Don't plagiaries or take on loan
'Cause there's always someone, somewhere
With a big nose, who knows
And who trips you up and laughs when you fall
Who'll trip you up and laugh when you fall
You say, "Long done, do, does, did"
Words which could only be your own
And then produce the text from whence was ripped
Some dizzy whore, eighteen hundred and four
A dreaded sunny day
So let's go where we're happy
And I meet you at the cemetery gates
Oh, Keats and Yeats are on your side
A dreaded sunny day
So let's go where we're wanted
And I meet you at the cemetery gates
Keats and Yeats are on your side
But you lose
'Cause weird lover Wilde is on mine
Sure

Cemetary Gates - Live in London, 1986

Un jour ensoleillé, mais qui me donne des frissons
Alors je te retrouve aux portes du cimetière
Keats et Yeats sont de ton côté
Un jour ensoleillé, mais qui me donne des frissons
Alors je te retrouve aux portes du cimetière
Keats et Yeats sont de ton côté
Tandis que Wilde est du mien
Alors on entre et on lit les pierres avec gravité
Tous ces gens, toutes ces vies
Où sont-ils maintenant ?
Avec des amours, des haines et des passions comme les miennes
Ils sont nés, puis ils ont vécu, puis ils sont morts
Ça me semble tellement injuste, j’ai envie de pleurer
Tu dis : « Avant que le soleil n’ait salué trois fois l’aube »
Et tu prétends que ces mots sont les tiens
Mais j’ai bien lu, et je les ai entendus dire
Une centaine de fois peut-être moins, peut-être plus
Si tu dois écrire de la prose et des poèmes
Les mots que tu utilises doivent être les tiens
Ne plagie pas et ne les emprunte pas
Parce qu’il y a toujours quelqu’un, quelque part
Avec un gros nez, qui sait
Et qui te fait trébucher et rit quand tu tombes
Qui te fera trébucher et rire quand tu tomberas
Tu dis : « Long done, do, does, did »
Des mots qui ne pourraient être que les tiens
Et puis tu produis le texte d’où il a été arraché
Une fille volage, dix-huit cent quatre
Un jour ensoleillé, mais qui me donne des frissons
Alors allons là où nous sommes heureux
Et je te retrouve aux portes du cimetière
Oh, Keats et Yeats sont de ton côté
Un jour ensoleillé, mais qui me donne des frissons
Alors allons là où nous sommes désirés
Et je te retrouve aux portes du cimetière
Keats et Yeats sont de ton côté
Mais tu perds
Parce que le bizarre amant Wilde est du mien
Bien sûr