Текст и перевод песни The Who - It's Your Turn

It's Your Turn

Up here on the ledge
I'm getting pushed to the edge
People line up behind me to step into my shoes,
Up here in the precipice
I'm getting close to my nemesis
People fighting each other to jump into my blues

There's a young kid inside me somewhere
He stays up all night, a vampire that never dies,
With the blood and the moon in his eyes
I hear his voice when I'm comin' down,
Sleep is for fools, whe never see the sunrise,
Who never get to live twice.

I was a face in a magazine,
When you were still playin' with your plasticine,
Now you're doggin' my tail, ridin' the slipstream,
You can take the fans and the enemies
The little girls who squeeze and tease
Then pass on their social disease,
Go get your penicillin.

I know you young and dumb,
I know where you're comin' from.
Don't know where you're goin' to,
But I bin there same as you,
You're running out of ideas,
And new hats to try on.
I know you middle age
Same song, different page,
I know what you're goin' through
Made the same mistakes as you,
All you want is some hope
And a shoulder to cry on.

There's a stranger inside me somewhere
That shadow behind me, don't even look like me.
An echoed apology.
He's a wolf in sheep disguise,
I wake up in places I don't even recognize,
Pretender in paradise.

It's your turn, step up and take it
If you've got the guts to hang on
You can make.
C'mon, c'mon, come on,
Ooooh take it!

C'est ton tour

Là-haut, sur le bord du précipice
Je suis poussé à bout
Les gens font la queue derrière moi pour enfiler mes chaussures,
Là-haut, sur le bord du précipice
Je suis proche de mon ennemi juré
Les gens se battent pour plonger dans mes blues

Il y a un jeune garçon en moi quelque part
Il reste éveillé toute la nuit, un vampire qui ne meurt jamais,
Avec le sang et la lune dans les yeux
J'entends sa voix quand je descends,
Le sommeil est pour les imbéciles, ceux qui ne voient jamais le lever du soleil,
Ceux qui n'ont jamais la chance de vivre deux fois.

J'étais un visage dans un magazine,
Quand tu jouais encore avec ta pâte à modeler,
Maintenant, tu me suis aux trousses, tu roules dans mon sillage,
Tu peux prendre les fans et les ennemis
Les petites filles qui me serrent et me taquinent
Puis transmettent leur maladie sociale,
Va chercher ta pénicilline.

Je sais que tu es jeune et bête,
Je sais d'où tu viens.
Je ne sais pas où tu vas,
Mais j'ai été là, comme toi,
Tu manques d'idées,
Et de nouveaux chapeaux à essayer.
Je sais que tu es à mi-chemin de ta vie
Même chanson, page différente,
Je sais ce que tu traverses
J'ai fait les mêmes erreurs que toi,
Tout ce que tu veux, c'est un peu d'espoir
Et une épaule sur laquelle pleurer.

Il y a un étranger en moi quelque part
Cette ombre derrière moi, ne me ressemble même pas.
Une excuse résonnante.
C'est un loup déguisé en mouton,
Je me réveille dans des endroits que je ne reconnais même pas,
Un imposteur au paradis.

C'est ton tour, avance et prends-le
Si tu as le courage de tenir bon
Tu peux le faire.
Allez, allez, allez,
Ooooh prends-le !